[Review] STAR WARS 004 chez Panini

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Le magazine bimensuel de comics


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Voici la review du n°004 du bimensuel de comics de Panini Comics : STAR WARS.
Cette critique n'engage que son auteur, et je vous invite à donner la votre dans les commentaires.



Je vous rappelle que ce numéro est paru avec 4 couvertures dont 2 collectors, que je vous ai présentées dans cette actu.

Au programme de ce numéro :


Le premier récit constitue un interlude dans le récit principal de l'histoire de Star Wars, où l'on découvre la vie en exil d'Obi-Wan Kenobi sur Tatooine, qui doit apprendre à ne plus être un Jedi, à disparaître, à se faire oublier... On ne peut pas ne pas penser au roman Kenobi de John Jackson Miller, désormais classé Légendes, et que je vous avais présenté ici. On est sur le même principe, même dans les monologues intérieurs de l'ancien Jedi, qui étaient destinés à Qui-Gon dans le roman, et ici... à Luke, à travers son journal. Le récit est dur, désespéré, et on souffre avec Ben, condamné à ignorer les souffrances d'autrui pour ne pas attirer l'attention... le tout en protégeant le petit Luke de loin.

Côté dessin, c'est brut, agressif, sans concession. Les visages sont sombres et torturés, et moi j'aime bien ça. Par contre, les plans éloignés tiennent plus du croquis que du dessin, et les décors sont quasi inexistants... C'est un parti-pris de Simone Bianchi, qui personnellement me dérange un peu.


Le second récit reprend là où on s'était arrêté à la fin du premier arc (dans le magazine STAR WARS 003 et dans l'album Skywalker passe à l'attaque). Han Solo doit faire face à un triangle amoureux dont on se délecte, et Luke cherche la bagarre dans le pire rade de la pire planète de la galaxie... On avait l'habitude d'avoir 48 pages de chaque récit dans les précédents numéros, mais comme la moitié est prise par l'interlude de Ben, ici on se retrouve dans la même situation que les lecteurs américains, avec seulement 24 pages... On reste, du coup, un peu sur notre faim, car il n'y a pas vraiment le temps de se passer grand chose, et les questions posées à la fin du premier arc n'ont pas encore trouvé de réponse.

Les dessins d'Immonen, sont, une fois de plus, très beaux. Ses angles de vues subjectifs sont toujours très immersifs et la gestion des clair-obscurs est parfaite.


Le dernier récit (en 2 parties) constitue la suite de l'album Dark Vador 1 : Vador, mais reprend les éléments de l'album Skywalker passe à l'attaque, ce qui montre que ces 2 histoires sont toujours étroitement imbriquées. Vador poursuit sa quête et doit à la fois gérer les divergences avec sa dream team (ou plutôt sa nightmare team) et l'autorité du Grand Général Tagge, qu'il n'accepte pas. On pressent que quand tout ça va péter, ça va faire très mal ! Aphra révèle toute son intelligence machiavélique dans ce récit sombre, violent et malsain. On se régale ! 

Larroca, avec son style réaliste et ses plans très serrés, sublime l'histoire, qui est renforcée par un encrage très agressif et des couleurs sombres à souhait.


Enfin, une fois de plus, le Conseil Jedi du rédacteur en chef Aurélien Vives vient apporter un vrai plus à ce magazine, avec cette fois les biographies de Simone Bianchi et de Stuart Immonen.


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