La Folle Histoire des Jeux Vidéos
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Suite à l'accord de Tyria (la gentille modo ^^) j'ouvre un topic visant à retracer la génèse des plus grands Softs et courant de ce Dixième Art (notez que je doit être l'un des premiers à employer cette désignation, je suis un visionnaire moi :D )
Concrètement, j'espère que ce topic permettra de faire découvrir d'anciens titres ayant marqués leur génération et façonner les jeux d'aujourd'hui. J'espère aussi que ceux connaissant ces hits du passé posteront afin de dire ce qu'ils pensaient du jeu à l'époque de sa sortie ou de ce qu'ils en pensent aujourd'hui au vu des réalisations actuelles.
En sorte d'hommage je vous propose de commencer avec l'un des plus grand jeu de tout les temps, un jeu qui engendra une saga mythique, j'ai nommé...
The Legend of Zelda
1987, les gamers du monde entier sombrent peu à peu dans une morosité grandissante, leur passe-temps favori s'embourbe dans une routine ennuyante, On passe un niveau facile, on enchaine avec un autre niveau un chouilla plus dur, et ainsi de suite jusqu'à finir le jeu... Mais le dieu du jeu vidéo, Mr Shigeru Miyamoto, envoya dans nos riches contrée son élu... il est petit, vert, a de grandes oreilles, et ce n'est pas Yoda ^^... Son nom est Link !!!
À sa sortie sur NES, The Legend of Zelda surprend tout le monde et devient rapidement une référence. Ce qui frappe tout d'abord, c'est le fait de pouvoir sauvegarder sur la cartouche et non par les antiques codes puis une fois le jeu lancé c'est son incroyable durée de vie qui épate, 128 tableaux (entendez part là écrans différents qui délimitent le cadre du jeu) c'est tout simplement le double voir le triple des softs de l'époque. Autre révolution, l'agencement du jeu en lui même... Le système de "niveau" a disparu et laisse place à un univers cohérent, immense et dense en péripéties. Le nom du héros, Link (lien en anglais), ne fut pas choisit au hasard puisque le petit elfe fait le lien entre le jeu, le joueur et le cinéma (domaine cher à Miyamoto). Inspiré du film de Ridley Scott, Legend, l'univers du jeu place le joueur dans la même situation que Link... alors que Link découvre l'étendue de sa quête, le joueur lui découvre un univers où items, monstres et donjons fleurissent à chaque coin d'écran. De plus le voyage initiatique qu'entreprend le joueur via Link n'est pas sans rappeler le parcourt initiatique d'un certain Skywalker dans un film à petit budget sortie en salle 10 ans plus tôt :cli:
Les graphismes (somptueux... pour l'époque) mettent en place les éléments qui feront le succès de la saga... forêts, montagnes, grottes, fées et même le boomrang sont déjà de la partie.
La difficulté, elle, reste à ce jour, l'une des plus élevée, trouver les différents donjons et battre Ganon n'est pas à la portée de tous, cela est dût au manque de renseignement, le joueur avançant tel un véritable chevalier... c'est à dire des heures d'errance pour trouver les donjons et autant pour cogiter et comprendre comment battre les Boss ^^.
Suite au succès du premier opus, sorti un an après Adventure of Link toujours sur NES. Cet épisode avait tout pour plaire: scénario plus recherché graphismes plus beau... mais le fun du premier opus ne fut pas au rendez-vous. Tout d'abord Link est devenu un chevalier aguerri et n'a plus trop à explorer pour s'affirmer, de plus l'aventure se fait par écran de profil à l'instar d'un Mario (du même Miyamoto) Bref... c'est plus un jeu commercial qu'une réussite :ple:
Heureusement notre petit elfe redora son blason avec l'un des meilleurs épisodes de la saga, A Link to the Past.
Sorti en 1992 sur Supernes, Link renoua avec ce qui a fait son succès (d'où le titre l'une des raisons du titre...) exploration, donjons et surtout un scénario des plus dramatique... Tel un film le début du jeu expose les événements: le père de Link (ou son oncle selon les versions) meure au combat, Link impuissant prend sur lui de continuer la quête de son père (ou son oncle ^^) qui est de sauver la princesse... la vue, redevenue comme dans le premier opus, prend une nouvelle signification, Link est maintenant perçu comme écrasé par le poids de sa tâche et son chagrin de plus l'errance à laquelle il fait face n'est plus celle d'un chevalier mais d'un orphelin... Le génie scénaristique de Miyamoto ne s'arrête pas là puisqu'il trouve une nouvelle signification au nom de son personnage... "link" ne fait plus référence à l'osmose entre jeu et joueur (puisque le joueur connait dorénavant le jeu) mais à la destinée du héros. Ainsi Link fait le lien dans cet épisode entre le monde de la Lumière et celui des Ténèbres mais aussi entre tout les épisodes, Link étant le héros récurrent.
Point de vue gameplay, A Link to the Past place la barre très haut, les 2 mondes du softs démultipliant les énigmes et la façon de les résoudre, l'aventure énorme que représenta ce titre coupler à sa réalisation graphique nickel fait de lui un épisode référence pour la saga mais aussi pour tout jeux vidéos (le système des 2 mondes par exemple fut reprit dans Metroid Prime 2 sur GC et ses graphismes sont toujours d'actualité sur GBA)
Après un épisode fantaisiste délaissant Hyrule sortie sur Game Boy en 1993 sous le nom de Link's Awaking, Link revint dans un autre monument de la saga... Ocarina of Time sortie en 1998 sur N64.
Considéré comme le meilleur épisode par beaucoup, c'est le premier épisode en 3D. Le système de A Link to the Past est ici reprit maisLink voyage maintenant d'une époque à une autre... le monde des ténèbres qu'il traverse n'est pas un autre monde... mais le futur. Basculant d'une époque à une autre, on découvre un héros insouciant durant l'enfance mais qui prend ses responsabilité durant son adolescence, le personnage de Zelda prend aussi une autre tournure... finis la princesse tête à claques qui n'arrête pas de se faire kidnapper ^^, elle devient une redoudable combattante sous les traits de la mystérieuse Sheik. Ocarina of Time c'est aussi l'apparition de nouveaux personnages secondaire comme Epona, Tinkle ou encore Marion et des évolutions comme une gestion du temps qui permet d'apercevoir un coucher de soliel dans les plaines d'Hyrule, un locke afin de mieux combattre les ennemis et un saut automatique par dessus les précipices.
La Saga des Zelda, devint ensuite plus calme au niveau des évolutions du fait que Miyamoto ne s'occupa plus personnellement du dévelopement de la série, désormais c'est Eiji Aonuma qui s'occupa des projets The Majora's Mask en 2000 sur N64 proposa une course éffréné contre la montre dans la province Termina... 3 jours pour sauver le monde. Les épisodes sur Game Boy Color sorti en 2001 tel que Oracles of Age and Seasons ne se sont contenté que de perpétuer l'héritage de ALTTP avec des univers "parallèles" (le temps et les saisons)
4 Swords (2003) l'épisode multi-joueurs permet de guerroyer jusqu'à 4 mais là encore dans un univers proche de ALTTP.
Enfin les 2 derniers volets en date ont quelques choses qui les démarque des autres opus: The Wind Waker sorti sur Game Cube en 2003 offre une aventure placée sous le signe de la poésie avec des passages superbes (notamment celui remémorant l'échec de Link avec le Château figée... Désolé j'ai pas trouvé de screenshot ^^) enfin The Minish Cap permet à Link de devenir minuscule et ainsi de voir le monde qui l'entoure d'une manière... plutôt originale...
Enfin j'ai fait l'impasse sur quelques titre, tout d'abord un épisode sortie sur Super Famicom (Super Nes japonaise) qui proposait un Zelda via satellite par modem, il répondait au doux nom de BS-X Zelda et proposait de revivre le tout premier opus remit au goût du jour. Enfin 3 épisodes inédits mettant en scène la Princesse Zelda sont sortie CD-i et furent développé par Phillips... le seul truc qu'ils avaient de potable c'était leur titre: The Wand of Gamelon / Link: The Face of Evil / Zelda's Adventure
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Tu bluf Martoni... ton blaster n'est pas chargé !!![Ce message a été modifié par: Rogue.Revan le 22-07-2005 00:24]samedi 16 juillet 2005 - 04:27 Modification Admin Réaction Permalien
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Grey.Fox
5215 Crédits
Haaaaaaaaa!!!! MAGNIFIQUE :amour: :amour: :amour: :amour:
Que dire, c'est tellement bôôôôôôôôôôô :ple:
Superbe travail! Que de souvenirs!dimanche 17 juillet 2005 - 18:06 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Après les plaines verdoyantes d'Hyrule, je vous propose de faire escale dans une galaxie lointaine, très lointaine...
L'univers Star Wars transposé dans les jeux vidéos:
Tout d'abord je ne serai pas aussi exhaustif que pour Zelda étant donné que le nombre de jeux dépasse la barre des 100 et nombre d'opus furent portés sur divers plates-formes (de l'Atari 2600 à la XBOX) , à plusieurs années d'écarts etc...
Je m'occuperai donc des jeux les plus illustres ayant marqués (en bien ou en mal ^^) l'univers des jeux vidéos.
Nous comencerons donc avec des antiquités, des jeux que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre, j'ai nommé Star Wars (oui je sais c'est original comme nom ^^) sortie sur Atari 2600, Intellivision et en Arcade en 1982. Ce jeu proposait de revivre sous une avalanche de pixels les plus grandes batailles de A New hope et The Empire Strikes Back. A l'instar d'un Space Invader les combats se déroulaient en scrolling horizontale, ça durée de vie ne fut pas à la hauteur mais compensait par une jouabilité merveilleuse et une difficulté énorme.
Cette simplicité durera jusqu'aux années 90 et jusqu'à ce que LucasArts prennent les commandes de sa licence. Dès lors le nombre de jeux va s'accroitre de manière démesurée et beaucoup tomberont dans l'oubli.
1991, donc LucasArts passe au commande de Star Wars et chamboule quelques peu les choses... tout d'abord avec la puissance des consoles présentent sur le marché (Snes et MasterSystem en tête) la licence se dote de graphismes haut en couleurs et riches en en détails. Les 3 volets de la trilogies sont transposé sur chacune des consoles Nes / Snes / MasterSystem, sans pour autant adaptés le jeux aux capacités de la console, de ce fait la version Snes se révéla être la plus décevante proposant des graphisme vide tout juste digne d'une Nes.
Avec l'arrivée des consoles 32 et 64 bits puis de la sortie de la seconde trilogie, les softs estampillés "Star Wars" devinrent des chapitres à part entière de l'UE délaissant le cadre de la trilogie originale. Ainsi en 1996 sorti sur N64 l'excellent Shadows of the Empire qui faisait la part belle à un grand chasseur de prime nommé Dash Rendar.
Suite à ce succès les titres concernant Star Wars devinrent légions et ratissent dans tout les genres avec une qualité plus que discutable, que ce soit dans le combat avec Masters of Teras Kasi (PS one) ou le beat'em all avec Jedi Power Battles (PS one / Dreamcast). De la floppée de jeux existant à cette époque seuls la série des Jedi Knights sur PC,Rogue Squadron sur N64 en 1998 et Star Wars Racer en 1999 sur N64 et Dreamcast furent encensés par la critique et les joueurs.
Avec la sortie des consoles dernières générations, la licence Star Wars à accueillit ses plus beaux fleurons. Tout d'abord les géniallissimes Rogue Leader et Rebel Strike, suite de Rogue Squadron sur GC en 2002 et 2003. Le but reste le même, Détruire l'Empire et revivre les péripéties de l'escadron Rogue durant la première trilogie à bord de vaisseaux mythiques, Rebel Strike proposant même des missions à pieds (mais elles se révèlent vraimment ratés dommage ^^)
Bounty Hunter en 2003 sur PS2 / GC et XBOX nous plonge dans le quotidien de Jango Fett et s'offre le luxe de servir de transition entre TPM et AOTC.
La série des Jedi Knights continue de brillée avec notamment le dernier opus en date nommé Jedi Academy et se déroule durant le rétablissement de l'Ordre Jedi sur Yavin 4.
En 2004 Star Wars Galaxies fait entrer notre Saga fétiche dans l'ère du MMORPG et se dotent d'excellents atouts (serveur compétent, cohérence sans faille avec l'oeuvre de Lucas, etc...) alors que Star Wars Battlefront
lui se veut être un défouloir à la hauteur de Counter Strike (mais à mon humble avis c'est raté... en attendant le 2 ^^) et question FPS rien ne vaut Republic Commando pour retranscrire l'horreur des affrontements à la tête d'une escouade de Clones ARC durant la guerre des clones.
Enfin je termine cette petite rétrospective avec LA meilleure adaptation de la Saga en jeu vidéo... j'ai nommé la série des Knights of the Old Republic !!! Sorti en 2003 sur XBOX et PC (^^) pour le premier opus et en 2005 toujours sur XBOX et PC (re ^^) pour le second volet intitulé The Sith Lords, ces softs réunissent tout ce qu'il faut pour faire un jeu culte: Univers SW original car peu adapté (4000 ans avant les films), possibilité de choisir sa voie, protagonistes charismatiques au background travaillé, possibilité de customiser son équipement (y compris le sabre laser), évolution à la manière d'un RPG, univers vastes avec de multiples quêtes et mini-jeux bref un must, ce n'est pas pour rien que Kotor premier du nom fut désigné meilleur jeu de l'année 2003 !!!
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Tu bluf Martoni... ton blaster n'est pas chargé !!![Ce message a été modifié par: Rogue.Revan le 10-08-2005 00:00]vendredi 29 juillet 2005 - 01:55 Modification Admin Réaction Permalien
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Tyria
8000 Crédits
Rogue> Je me permet de préciser que Kotor I et II sont aussi sorti sur PC.
Par contre, un petit point qui m'a fait rebondir. Rebel Strike n'est pas génialisime. :cli: Seulement excellent. A cause des phases de jeu au sol (dans le genre bourrin et gameplay baclé :refl: ) et du trop grands nombres de cinématiques. Il laisse un gout de trop peu comparé à Rogue Leader qui lui en mettait plein les mirettes et ce à la sortie de la GC. (Aaaaaah ! La belle Epoque ! Factor 5 pourquoi tu nous as laché !? :ple: )
C'est tout pour mes réactions. 8)dimanche 07 août 2005 - 00:52 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Tyria > Content qu'il n'y ai que ça comme remarque ^^. Désolé d'avoir oublié les possesseur de PC, un oubli que je vais de suite réparer :cli:
En ce qui concerne le cas Rebel Strike, c'est vrai que Rogue Leader avait été beaucoup plus surprenant néanmoins, le superlatif "génialissime" peut tout aussi convenir à Rebel Strike... certes les phases à pieds sont toalement raté... mais malgré tout je préfère voir une licence qui ose et se renouvelle plutôt que des suites qui se ressemblent toutes, surtout en ce moment dans l'industie du jeux vidéos... Et puis je me suis d'autant plus éclaté avec le nouveau mode 2 joueurs qu'avec le mode solo (qui est bien quand même ^^) Pouvoir affronter un pote à bord d'un X-Wing... quel pied !!! Et ça change des sabres lasers... :cli:dimanche 07 août 2005 - 01:08 Modification Admin Réaction Permalien
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Tyria
8000 Crédits
Tu fais parti des veinards qui ont eu quelqu'un de suffisament doué pour survivre au mode Coéquipier ! :D Moi ça m'est arrivée une fois. J'ai bien tenté de jouer avec mes pieds mais Et je ne joue pas encore suffisament bien pour me passer de coéquipiers (essait la tranché de l'Etoile avec le gros orteil ! :strom: ).
Donc voilà pour moi le jeu reste sympatoche. Encore que j'adore les phases de jeu en TB-TT (si je me trompe pas). Là, on sent le gameplay reflechi.dimanche 07 août 2005 - 02:29 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Tyria > J'ai essayé la tranchée de l'Étoile Noire avec le gros orteil... et Vador en rit encore :D (admirez en passant ma maîtrise de la rime ^^)
3e grande saga que je vous propose... j'ai nommé... L'équipement Métallique !!! euh... vive la VO... ^^ ... j'ai nommé...
Metal Gear
1987 est une année bénie... tout d'abord parce que c'est l'année où j'ai fêté mes 1 an ^^ mais surtout parce que c'est l'année de naissance d'un jeu culte, ainé d'une longue saga, Metal Gear (oui je sais vous le saviez c'était marqué plus haut :D )
Sortie tout droit de l'imagination de Hideo Kojima, Metal Gear est le tout premier jeu vidéo d'espionnage / infiltration. S'appuyant sur un scénario complexe, ce premier opus se révèle être plus qu'un jeu. Son intrigue digne des plus grands romans d'Anticipation est un réquisitoire contre l'arme nucléaire alors que la Guerre Froide touche à ça fin. (ce discours idéologique cher à Kojima, perdurera à travers les différents volets.) Le jeu se déroule en 1995 en Afrique du Sud. Une faction militaire y a établit une base nommé Outer Heaven. Cette base militaire sert de façade à un projet nuclaire de destruction massive d'envergure...
Le gouvernement américain conscient de cette menace dépêche sur place un membre de l'unité dirigé par le légendaire Big Boss, ce dernier décide d'envoyer son meilleur agent nommé Grey Fox. Malheureusement ce dernier disparait en prononçant uniquement 2 mots... Metal Gear !!!
Dans l'urgence Big Boss décide d'envoyer sur place la nouvelle recrue nommé Solid Snake afin d'éclaircir le mystère...
Il en résulte une fin surprenante où Snake apprendra que c'était un complot de Big Boss et un combat titanesque entre l'élève et son mentor...
À sa sortie sur MSX et Nes, le jeu surprit les gamers par son coté tactique, ici foncer dans le tas était proscrit et c'est avec discernement que le joueur devait avancer dans l'aventure jusqu'à découvrir le fin mot de cette aventure épique...
Hormis des graphismes sommaires, le jeu fit sensation grâce à ce nouveau gameplay... naturellement Konami envisagea une suite...
...Suite qui sortie sur Nes en 1989 sous le nom de Metal Gear-Snake's Revenge.
Hideo Kojima ne fut pas au commande de cet opus commerciale et cela sans ressent manette en main, Snake étant ici plus dirigé vers l'action et le bourrinage que vers l'infiltration. Le scénario lui même ne respecte pas le premier volet et sombre dans le ridicule... Snake doit faire face à un terroriste appellé Highharolla Kockamamie (et pas la Coke à mamie... ^^) qui à pour objectif de diriger le monde... rien que ça... bref un épisode de second plan, aussi mauvais que mon jeu de mot, sans aucune évolution graphique et un gameplay régressif...
C'est alors que les fans de la première heure crièrent au 4 coin du monde... Où est tu Hideo ?...
Eh bin Hideo Kojima, pendant ce temps, préparait la veritable suite de Metal Gear premier du nom... Metal Gear 2-Solid Snake sorti sur Nes et MSX un an après l'erzatz de Konami.
L'histoire se déroule en 1999, pour contrer une pénurie de carburant, un scientifique nommé Kio Marv inventa une substance de remplacement baptisé Oilix qui interessa plus d'une puissance mondiale... L'état de Zanzibar kidnappa le scientifique et menaça le monde d'un hiver nucléaire.
Roy Campbell, nouveau dirigeant du Fox Hound, rappella Solid Snake pour parer à l'action terroriste. Durant sa mission, Snake découvrit que le meneur des terroristes n'était autre que Grey Fox, son ancien coéquipier et ami...
Mais Kojima va plus loin en faisant revenir d'Outre-Tombe Big Boss, qui défia Snake en duel et lui dévoila qu'il était son père... (ça ne vous rappelle rien :cli: ) ... suite au projet génétiques des "Enfants Terribles".
Un épisode riche et captivant dût à un scénario abouti et des graphismes techniquement très abouti pour l'époque.
La saga Metal Gear connu une période vide durant 8 ans, puis le fils prodigue revint en 1998 en faisant peau neuve, sur une nouvelle console, sous un nouveau nom (quoique proche de l'ancien) et sans numéro désignatif... maintenant on l'appelle Metal Gear Solid.
Dans cet opus on peut ressentir l'osmose entre le personnage et son créateur. Après cette "retraite" (même si retraite est égagéré) de 8 ans Kojima fait son come back comme Snake après son exil en Alaska.
Nous sommes en 2005 (scénaristiquement parlant ^^), les U.S.A. sont menacés. L'unité Fox Hound, dirigé par Liquid Snake (le frère génétique de Solid Snake) c'est rebellée et a pris le contrôle d'un complexe militaire situé à Shadow Moses dans lequel est construit une nouvelle arme nucléaire le Metal Gear Rex conceptualisé par le scientifique Otacon.
Roy Campbell reprit du service et demanda à Solid Snake de reprendre du service.
Une fois infiltré dans le complexe, Snake croisa de nouveau la route d'un vieux compagnon... Grey Fox devenu un redoutable cyborg expert en sabre.
Cette épisode fit forte impression lors de sa sortie, ces graphismes d'une beauté rare pour la Playstation, son scénario magistral et ses boss au charisme indéniable en ont fait une oeuvre à part dans l'univers vidéoludique et de Hideo Kojima une icône au même titre que Miyamoto.
Cet épisode est un tel chef d'oeuvre qu'il fut transposé sur Game Cube en 2004, arborant de nouveaux graphismes et baptisé Metal Gear Solid The Twin Snakes
New York vit probablement ces derniers instants de quiétude. Des terroristes ont pris possession d'une plateformes pétrolières situer à quelques encablures seulement de la Statue de la Liberté...
Ceci est le synopsis de Metal Gear Solid 2 Sons of Liberty qui circula quelques temps avant la sortie du soft début 2001, de ce résumé on peut aujourd'hui en conclure que non seulement Hideo Kojima est un scénariste de génie, mais aussi un visionnaire qui a réussi à décripter la situation géopolitique du monde dans lequel il évolue.
Vidéoludiquement parlant, MGS 2 se décompose en 2 parties distinctes, une 1e (trop courte) partie dans laquel on incarne Snake, qui travail désormais pour une organisation anti-nucléaire qu'il a fondé avec Otacon.
L'introduction magistrale nous montre Snake prenant d'assaut un tanker de l'armée sous une pluie battante, mais un groupe de terroriste mené par Ocelot prend possession du nouveau Metal Gear que transportait le tanker, Snake est laissé pour mort...
La 2e partie nous met dans la peau du remplaçant de Solid Snake, Raiden. Le synopsis diffusé en avant première se met alors en place. Raiden est parachuté sur la structure pétrolière afin de parer à l'action du groupe terroriste "Les Fils de la Liberté" mené par Solidius Snake le dernier frère génétique de Solid.
Cet opus eu un accueil mitigé, alors que la presse écrite pestait contre la longueur impressionante des cinématiques, des fans de jeux vidéos mais aussi de cinéma criaient eux au génie de Hideo Kojima. Jamais un scénario n'avait été aussi loin avec le retour de figures emblématiques de la saga (comme Ocelot, Liquid...), des combats mythiques aux sabres ou contre plusieurs Metal Gear Rex et surtout dans la manipulation du joueur... (perso, je n'oublierai jamais le moment où Campbell me dit d'éteindre ma console parce que ma mission était voué à l'échec ^^) je n'en dirais pas plus sur la fin de ce jeu parce que... comment dire... elle ne se raconte pas... elle se vit !!! :cli:
Le fait même de relégué Solid Snake, la figure de proue de la Saga, au second plan est un tour de force que peu de génies ont réussient à faire avec leur oeuvre... À mon humble avis Metal Gear Solid 2 est le meilleur opus de la Saga !!! (je vois déjà les puristes me fustigés ^^)
Dernier épisode en date, Metal Gear 3 Snake Eater retrace la génèse de la Saga en nous proposant d'incarné Naked Snake, le futur Big Boss. L'histoire se déroule dans les années 60 durant la Guerre Froide.
La crise entre le bloc Occidental et le bloc Soviétique est au plus haut. Les service secret américain pour démêler le conflit, les services américains ont dépêché sur place Naked Snake, afin que la situation s'améliore. (ce n'est qu'un bref résumé afin que ceux ne l'ayant pas fini ne soient pas déçu de découvrir certains éléments et pour ceux qui veulent en savoir plus sachez que Grey.Fox a ouvert un topic plus que complet sur le jeu :cli: )
Ce que je peux en dire c'est que MGS 3 est un must de l'espionnage. Jamais les possibilités d'infiltrations ne furent si importantes ni l'aspect de survie si poussée à l'extrême, devoir soigner soi-même ses blessures (localisé siouplait ^^) chasser pour survivre... tout est fait pour que l'experience soit immersive. Les différents clin d'oeil et la variété des situations est aussi un plus indéniable, infiltrant aussi bien une jungle luxuriante qu'une base sous haute protection... Techniquement parlant... il n'existe pas mieux... (même si j'ai tendance à préféré MGS 2 ^^)
ps: J'ai ommis de mentionner 2 épisodes, l'un sur Game Boy Color, MGS Gost Babel et l'autre sur PS one intitulé MGS VR Missions... le premier fit honneur à la GBC tandis que l'autre n'e fut qu'un gagne pognon et ne proposant que des missions d'infiltrations dans des univers stériles...
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Tu bluf Martoni... ton blaster n'est pas chargé !!!Ce message a été modifié par: Rogue.Revan le 28-06-2006 11:56mardi 09 août 2005 - 23:47 Modification Admin Réaction Permalien
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Grey.Fox
5215 Crédits
Rogue.Revan >>> Haaa!!!! Tu sais que je t'aime, toi? ^^ Tes résumés sont prècis et bien écrits. Pour plus d'infos sur MGS 3, viendez sur mon topic (merci pour la pitite pub :cli: ), je vous ferez une joie de répondre à la moindre de vos question :amour:
lundi 15 août 2005 - 11:58 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
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Maintenant, je vous propose de parcourir la saga la plus prolifique de ces dernières années… c’est à dire…
Final Fantasy…
Euh… en fin de compte, je ne suis pas sûr de vouloir faire tout un développement sur Final Fantasy…^^ c’est vrai après tout les 6 premiers (bien que de bonne facture) sont assez méconnu en Europe du fait qu’ils ne furent pas distribués sous nos latitudes et les épisodes les plus récents (bien que souvent bonne facture) ne sont (à mon humble avis) que des films interactifs. Des scénarios souvent bien pensés mais d’une complexité désarmante, une pléiade de personnages ainsi qu’une non-cohérence entre les épisodes (en général) font que ce post sera aussi insupportable à rédiger qu’à lire… :D
C’est pourquoi j’ai décidé de vous faire partager mon admiration pour un seul volet. Le seul épisode que l’on peut qualifier de cultissime, le seul aussi qui devint une Saga à par entière à ma connaissance…
Final Fantasy 7...
Sortie en 1997 sur PS one, FF7 est (et je n’ai pas peur de l’affirmer) le meilleur RPG au tour par tour à ce jour… certes les graphismes ont un peu vieilli et le design des personnages en Super Déformed (grosse tête / petit corps) durant les phases de jeu est plus que discutable, mais la force de FF7 réside avant tout dans un scénario intelligent et toujours d‘actualité (écologie, terrorisme…) Le scénario est même évolutif, en gros aucun joueurs n‘aura les mêmes éléments de réponses à la fin du jeu, ce procédé habile est dût au flash back du héros ne se déclenchant qu’en présence de personnages précis dans votre équipe à des moments précis et à la curiosité même du joueur, plus il arpentera la carte du monde plus il a des chances de dénicher des infos… Bref il y a une infinité de possibilité et découvrir un secret peut fermer la porte à un autre. C’est pourquoi mon résumé de l’intrigue paraîtra incomplet pour certains, puisque je ne m’attarderais uniquement sur les bases afin d’être le plus clair possible.
Le jeu commence par un train entrant en gare de Midgard, la capitale… vous incarnez Cloud, un ex militaire devenu mercenaire ayant rejoint un groupe de terroristes connu sous le nom d’Avalanche. Votre première mission est de détruire un réacteur Mako appartenant à la multinationale Shin-Ra abusant de la corruption et autres magouilles afin de s’enrichir toujours plus. Après diverses péripéties, Cloud et ses compagnons se rendirent compte que la menace était bien plus grave… En effet, des générations auparavant une race d’élus, les Cetras (ou Anciens), peuplaient la Terre à la recherche de la terre promise… mais cette race disparut par la main d’Aliens. En mourant, les Anciens ne firent qu’un avec la Planète ce qui leur permit de contrer la menace Alien (à la manière d’un Jedi rejoignant la Force :cli: ) De ces Aliens, seule une individu survécue, Jénova. Jénova fut retrouvée dans un bloc de glace par des scientifiques de la Shin-Ra qui entreprirent des expériences génétiques en vu de créer des soldats invincibles. De cette expérience naquit Sephiroth, guerrier ultime qui perdit la tête contrôlé par l’esprit de Jénova qui (en se faisant passer pour une Cetras) l’exhorta à détruire la Terre. Voilà pour les (très) grandes lignes du scénario.
De cet incipit naîtra nombres de rebondissements qui permettront accessoirement aux joueurs de s’interroger sur des questions philosophiques. La destruction du réacteur Mako pour le bien de la planète, par exemple, entraînera la mort de nombreux innocents. Le groupe se posera alors moult questions sur le bien fondé de leur action. Une noble cause excuse-telle un acte terroriste?
Outre l’aspect écologique éminemment présent, une autre question vient perturber l’esprit du joueur, celle de l’identité…
Le sort de Sephiroth notamment y ai pour quelque chose mais c’est surtout avec l’histoire du personnage principal, Cloud, que le joueur prendra conscience de ces questionnements… Cloud, enfant introverti, grandi à Nibelheim où il n’avait pas d’ami, excepté Tifa. À sa majorité, il s’engagea dans l'unité militaire SOLDAT de la Shin-Ra pour y trouvé la gloire et côtoyer son idole, Sephiroth… Cependant il n’avait pas l‘étoffe d‘un héros... Pour cette raison, il ne fut délégué qu’au rang de garde, il fut cependant choisi lui et l’un de ces frères d’armes Zack (qui lui faisait parti des SOLDAT) pour participer au projet Jénova qui consistait à injecter des cellules de l’alien baptisé du même nom. Pour cela ils furent enfermés dans un manoir proche de Nibelheim. Zack et Cloud s’enfuirent du manoir où ils étaient enfermé mais dans leur fuite Zack fut tué, Cloud lui prit alors son immense épée et bien que blessé réussit à s’enfuir. Dans sa fuite effrénée, Cloud arriva au générateur Mako, où il surprit Sephiroth… Cloud et Sephiroth s’affrontèrent, mais bien que blessé, Cloud réussit à toucher son adversaire… Sephiroth disparu alors…
Cet épisode se déroule bien avant les événements du jeu et c’est par le biais de flash back qu’on le découvre… Mais la force de FF7 provient du fait que le joueur, tout comme Cloud est manipulé par ces souvenirs… en effet, les expériences que Cloud a subit durant le projet Jenova, à quelques peu altéré sa mémoire, les flash back s’en trouve donc altéré… à vrai dire les touts premiers souvenirs que le héros nous fait partagé sont en fait… les souvenirs de Zack !!!
Et le gamer qui ne cherchera pas à percer certains mystères, finira le jeu sans connaître le véritable passé de son personnage… Cloud n’en sachant pas non plus davantage sur lui-même…
En manipulant ainsi le joueur, Tetsuya Nomura, exhorte le joueur à ne pas respecter les règles de linéarité propre au RPG et à se créer leur propre histoire…
Le génie de Nomura ne s’arrête pas là, pour impliquer davantage les joueurs dans le scénario, il décida de faire assassiner l’un des principaux personnages de FF7. Ainsi, Aerith, la dernière Cetras vivante, périt de la main de Sephiroth, alors que cette dernière se révélait être indispensable au dénouement du jeu…
Autre point important, l’on peut interpréter le jeu de différente manière… l’on peut voir Sephiroth comme le vrai méchant de l’histoire, mais on peut aussi le considérer comme une simple victime… victime de la race Alien puisque Jenova manipule son esprit, ceci étant dit, on peut tout aussi bien considéré Sephiroth comme la victime du complot fomenté par la Shin-Ra visant à dominer le monde par le biais de la terreur qu’inflige Sephiroth… Ainsi, le bien et le mal peuvent être lu différemment selon le degré de sensibilité de chacun…
Je pourrais encore m’étendre durant des lignes et des lignes sur cet opus vous parler des personnages charismatiques à souhait, de Sephiroth considéré par beaucoup comme le boss le plus difficile à éliminer, de la poésie qui se dégage de la relation entre les protagonistes et j’en passe… c’est pourquoi je vais finir ce premier et long paragraphe en évoquant les quelques clin d’œil qu’on fait les développeurs de la série vis-à-vis Star Wars… tout d’abord, un classique récurent dans les FF, la présence de 2 personnages secondaires qui accompagnent le héros… j’ai nommé Biggs et Wedge… Ensuite l’on peut évoquer l’analogie scénaristique du groupe de rebelles (Avalanche) qui lutte contre un terrifiant empire (Shin-Ra). Une p’tite dernière pour la route… il y a les Cetras, cette lignée élus quasiment éteinte qui en mourant retourne à la For… euh… « à la planète » comme des Jedi ^^ (à noter que des références à l’univers de Star Wars sont présentes dans tout les Final Fantasy…)
Maintenant passons à l’épisode 2 de cette Saga un peu particulière… particulière puisque le 2e volet s’avère être en fait… un film en image de synthèse !!!
Final Fantasy 7 Advent Children est un bijou de réalisation graphique et cinématographique qui enterre définitivement le premier film FF, (qui s’intitulait Les créatures de l’Esprit) et tout autres films d’animation 3D (que ce soit Disney, Dreamworks ou encore Pixar)
Ce qui suit est le résumé du film, pour ceux qui souhaite en savoir le moins possible avant de voir le film, bien entendu... NE LISEZ PAS ^^
2 ans se sont écoulés depuis la fin de la guerre civile. La planète se reconstruit doucement, tandis qu'un mal étrange baptisé baptisé Geostigmata sévit à travers la population. Pour aider à la reconstruction, Cloud et Tifa (décidément toujours aussi canon :amour: ) ont mis sur pied un orphelinat pour recueillir les enfants victimes du conflit et se subventionnent en livrant des colis. Cette entreprise, projet qu'avait fait Zack, a quelque peu séparé Tifa et Cloud, ce dernier se sentant coupable de la mort de Zack et de Aerith... et pour ne pas plombé l'ambiance, Cloud s'est installé dans la chapelle de Midgar, son seul contact avec Tifa étant par le biais du téléphone. Quant aux autres membres d'Avalanche, ils participes à la reconstruction (Barret recherche des gisements de pétrole pour relancer l'économie énergétique, Cid vient en aide à la population de son village, etc...) ce qui à eu tendance à les éloigner les uns des autres.
Mais en ces temps de fragile stabilité, la paix est nouveau troublé par l'arrivée de 3 frères (des inconnus mais c'est ni Bourdon ni Campan ni Légitimus ^^). Ces mystérieuses têtes à claques sont à la recherche de leur mère, Jénova.
Après avoir provoqué en duel Cloud puis Tifa, le gang de Kadaj (car tel est leur nom de scène ^^ Kadaj le leader, Yazoo et... euh... Kronk? Désolé j'ai zappé un nom ^^) décident de kidnappé l'ensemble des enfants victimes de la Geostigmata les réunissant dans la cité des anciens Adjit en leur promettant une guérison miraculeuse. Cloud mis au courant par les Turks de Rufus qui semblant vouloir se racheter une conduite, vole au secours des enfants de Midgar mais échoue dans sa tentative et est sauvé de justesse par Vincent.
De retour à Midgar et se servant des enfants comme bouclier, les 3 bad guys invoquèrent le puissant Bahamut afin de mettre la main sur les restes de Jénova, mais le retour de Barret, Rouge 13, Vincent, Cid, Cait, Youffie et l'esprit d'Aerith aux coté de Tifa puis de Cloud redevenu au meilleur de sa forme permirent de vaincre l'invocation.
Après avoir tout de même récupéré ce qui restait de Jénova des mains de Rufus, Kadaj et ses 2 frères essayèrent d'échapper à Cloud lors d'une course poursuites d'anthologie. Yazoo et "Kronk" furent mis hors de course et c'est un duel final entre Kadaj et Cloud qui s'anonce.
Pendant l'affrontement, Kadaj révéla ses véritables origines, lui et ses frères étant en fait les esprits torturés de feu Sephiroth.
Kadaj utilisa les cellules de Jénova pour faire renaitre Sephiroth à travers lui.
Cloud et Sephiroth se réaffrontèrent comme ils le firent 2 ans auparavant. S'ensuivit une joute dantesque où Sephiroth trouva de nouveau la mort.
Epuisé par le combat, Cloud trépassa de la main des 2 frères restant mais fut ramené à la vie par l'esprit d'Aerith, qui semble être devenue la Déesse de la Rivière de la Vie.
Enfin une pluie torrentielle régénératrice apparut, (pluie déclenchée par Aerith) ayant pour effet de soigner les malades.
La paix revint sur Midgar...
Enfin le dernier volet de cette saga est encore plus mystérieux étant donné qu’il s’agit d’un nouveau jeu reprenant l’univers de FF7. Intitulé FF7: Dirge of Cerberus, le jeu mettra en scène Vincent, 1 an après Advent Children… (donc 3 ans après le FF7 initial, oui faut suivre ^^) Le jeu sera tourné résolument vers l’action avec un gameplay proche d’un Devil May Cry et sera prévu sur PS2.
Évidemment dès que je le peux, je rajouterai des infos sur le Advent Children (après sa sortie en France) et sur Dirge of Cerberus dès que je le pourrais…
affaire à suivre…
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Tu bluff Martoni... ton blaster n'est pas chargé !!![Ce message a été modifié par: Rogue.Revan le 30-03-2006 16:37]samedi 24 septembre 2005 - 00:20 Modification Admin Réaction Permalien
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Tyria
8000 Crédits
Ton dossier sur FF7 est super ! Il m'a permit de comprendre un peu mieux FF7 Children Advent que j'ai vu il n'y a pas longtemps. Dailleurs, va y avoir une sortie française ????? (Bah quoi ? C'est mignon le japonais mais voilà quoi... vous toujours matter l'écran pour comprendre^^)
En tout cas, encore un grand bravo pour ton dossier. Il est d'une superbe qualité !samedi 05 novembre 2005 - 10:58 Modification Admin Réaction Permalien
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Master-yoda...
2213 Crédits
Arghhhh ^^ !! Rogue.Revan !! Je t'aimmmme :amour: :amour: :amour: !!
En Tant que Fan exclusif de toute la Série Final Fantasy, je suis forcé de constater ton excellent travail sur ce qui restera pour moi le Meilleur Opus de la série mais également et sans aucune hésitation LE meilleur RPG de l'Univers du jeu vidéo ^^ !
(petite paranthèse, Univers du jeu vidéo que je parcours depuis ma plus tendre enfance, puisque qu'à l'age d'environ 6 ans je découvrais déjà les joies de l'Amstrad CPC 364, pour finir aujourd'hui avec un mini musée perso de Consoles de jeux et autres plateformes informatiques (environ 50 consoles et ordinateurs + les principaux jeux etc..etc... fin de la parenthése )
En revanche je trouve dommage que tu ne t'attaques pas à toute la Serie, qui est malgré ce que tu dis plutôt bien connu des Rolliste et autres joueurs quotidiens et qui surtout à bel et bien été éditée en France et en Europe.
Ensuite au niveau de l'incohérence, c'est tout a fait logique FF n'est pas un serie à ralonge (si ce n'est le X et X2 et autres jeux à venir autour de FFVII ), chaque Opus raconte une nouvelle histoire, met en scéne de nouveaux personnages et des épopées bien différentes.
Quand à la difficulté des scénarios, j'ai fait les premiers jeux en anglais et je n'ai pas eu plus de problémes que ça ^^ ( en revanche j'arrive à me bloquer dans un FPS ^^ ) !
Tu dis :"Un tel post sera insupportable à lire", je vais surement raisonner égoistement mais pour ma part ça ne me dérange pas ^^, il y a moyen de faire une synthése simple et efficace ( si besoin étant, ayant de bonnes connaissances sur la quasi intégralité de la série ( plus les FF tactics, Cristal Chronicles, chocobo dungeon ainsi que les films FF the spirit Within et FF advent children et les OAV Last order etc... ) je peux toujours te donner un coup de main ^^ ) !!
Pour en revenir au sujet ^^ ! (je donne mon avis)certes les graphismes ont un peu vieilli et le design des personnages en Super Déformed (grosse tête / petit corps) durant les phases de jeu est plus que discutable
C'est ce qui fait son charme ^^, au moins un jeu qui ne compte pas QUE sur les graphisme, bien que la qualité graphique du jeu soit tout de même Exceptionnelle ^^ !!
Pour le reste pas grand chose à rajouter, c'est vrai que la synthése est plutôt rapide, mais ça c'est mon point de vu de fan ^^ sinon rien à dire ^^ ...
FF VII advent Children :Cloud vit désormais en solitaire, Tifa (encore plus belle arrrrrg !!! :amour: ) Barret, Rouge 13, Vincent et les autres sont aussi de la partie et que les nouvelles têtes à claques sont de hautes gammes (comprenez… les vilains pas beaux ont la classe ^^)
On peut également noter la présence des turk's Elena, Rude, Reno and Co l'Ex président de la Shinra Rufus, et Cait Sith (enfin Reeves), Cid Highwind, Yuffie Kisaragi (coéquipier de Cloud ), à noter l'apparition D'Aeris (Sniff .. ) et de Zack ( Resniff ... ) !!
Ensuite je dois t'informer que Dirge of Cerberus n'est pas le 3eme opus ^^, je tiens à noter l'existence d'une OAV "Last Order" particulièrement bien réussie qui est sortie avec le DVD Advent Children dans le pays du soleil levant, L'histoire prend place peu avant le commencement de FF VII (le jeu) et regroupe la fuite de Zack et Cloud et les premiers évènements de Nibelheim (quand Sephiroth devient fou). ...
A Noter également que dans la même lignée que Dirge of cerberus (jeux du genre Devil may Cry, version Final fantasy^^) sortirons également les jeux Before Crisis (sur téléphone portable, plus précisément sur Panasonic FOMA P900iv ( que l'on voit dans Advent Children )) qui se déroule avant FF7 et où l'on apprend l'histoire des Turcs et enfin Crisis Core sur PlayStation Portable (PSP) dont le scénario reste ncore en suspens puisque SquareEnix n'a rien dévoillé à son sujet ... Pour parler au conditionnel, l’intrigue de Crisis Core se tiendrait à l’époque où Zack et Cloud évoluaient ensembles sous la tutelle du SOLDAT ... je ne suis pas en mesure d'en dire plus pour l'instant ^^ !
Et enfin pour info, lors du dernier E3, Square Enix avait réalisé une démo technique pour vanter les mérites de la PS3. Cette démo ahurissante reprenait l'introduction de Final Fantasy VII, jusqu'à ce que Cloud descende du train pour aller faire sauter un réacteur avec AVALANCHE ... Square Enix affirmait qu'il ne s'agissait là que d'une "démo technique" mais Yoshinori Kitase et le directeur et designer Tetsuya Nomura n'ont pas nié l'éventualité d'un remake de Final Fantasy VII sur PlayStation 3 cela dit, ce rêve est à mon avis à oublier :ple: ............ pour l'instant :cli: ...
Bon et bien c'est à peu prés tout, je tiens avant tout à te féliciter pour ton choix et pour ton travail car il n'est pas évident de faire la synthése d'un jeu de ce calibre ... Encore Merci :amour: :amour: :amour:
( Ps: Et non Tyty ^^, je n'ai pas pu resisté à la tentation de poster sur ce sujet :cli: )
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Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. De même qu'il faut boire pour vivre et non pas vivre sans boire, sinon c'est dégueulasse.
Horn-Terrik POWWWAAA[Ce message a été modifié par: Master-yoda... le 13-12-2005 06:22]mardi 13 décembre 2005 - 00:03 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Arrrg tant d'éloges... snif... j'en suis tout ému... snif... Merciii !!! ^^
Tyria > Désolé mais aucune date de sortie française n'a été annoncé... va falloir que tu t'habitue aux charmes de la langue nippone... sumimasen ^^
Master-Yoda > Meuh non tu n'est pas égoiste... enfin pas plus que moi quoi... :D Si je n'ai pas fait un dossier sur toute la saga.... c'est aussi parce que j'avais un peu trop la flemme !!! (c'est ce que j'entendais par aussi insupportable à lire qu'à écrire ^^)
J'aimerai juste revenir sur quelques petits points:
Si je ne suis pas revenu sur toute la série des FF c'est effectivement parce que les épisodes 4 / 5 / 6 sont passé relativement inaperçu (c'est d'ailleurs pourquoi je croyais qu'il n'était qu'en import... honte à moi ^^) Pour les hard core rollistes, je ne doute pas qu'ils connaissent ces opus, mais pour le joueur lambda... c'est moins sûr... :refl:
Ensuite pour la difficulté des scénarios, je faisait allusion surtout aux softs sorti après FF7 qui a véritablement marqué un tournant dans le jeu de rôle en général :cli:
En ce qui concerne la non cohérence, j'entendais par la que ce n'est pas une saga à proprement parler puisque les épisodes ne s'inscrivent pas dans une logique narrative.
Enfin je te remercie pour tes infos avant tout sur l'OAV que je ne connaissais pas (et que je vais m'empresser de découvrir :cli: ) et pour les différents jeux certains n'étaient que rumeur lors de la rédaction du sujet donc merci de me les avoir confirmé. ^^
ps: Master-Yoda, si tu tiens vraiment à un dossier sur les autres opus de la saga Final Fantasy, alors un petit coup de main ne sera pas de Rufus... oups... de refus !!! ^^
MAJ > J'ai remis à jour le dossier FF7 à jour notamment sur Advent Children.
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Tu bluff Martoni... ton blaster n'est pas chargé !!![Ce message a été modifié par: Rogue.Revan le 20-01-2006 22:27]vendredi 16 décembre 2005 - 21:55 Modification Admin Réaction Permalien
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Rogue.Revan
2454 Crédits
Après une petite absence sur ce topic me revoilà de retour et accompagné d’une star mondiale…
Alors si je vous dis moustachu…vous me répondez… José Bové !? D’accord c’est pas faux… et si je vous dis salopette… Carlos !? gngngngn…pas faux non plus mais je commence à croire que vous le faites exprès… Bon si pour finir, je vous dis qu’il est italien, capable d’aligné les buts en foot comme les passing-shots en tennis, de conduire un karting ou de sauver une princesse des griffes d’une grosse tortue chevelue et q’il ne s’appelle pas Di Stefano… vous me dites… Super Mario !!! Ah bah quand même… ^^
Donc nous sommes en 1983, au Japon… 50 ans après avoir tremblé devant le gigantesque King Kong sur les écrans de cinéma, l’île nipponne tremble de nouveau devant un singe immense, mais cette fois c’est sur les écrans de bornes d’arcade… son nom est Kong… Donkey Kong (comme quoi ne pas obtenir une licence peut avoir du bon ^^) Et cette fois c’est pas Superman qui va sauver le monde… mais Jumpman !!! (encore une licence perdue qui à du bon ^^) Charpentier de son état, Jumpman est là et il n’est pas content… le gros poilu a kidnappé sa princesse et il entend bien aller la délivrer héroïquement… (à moins qu’il ne voulait uniquement remercier le singe pour l’en avoir débarrassé… mais ça c’est une autre histoire…) :D
Le succès en salle est énorme et la petite entreprise qu’est Nintendo à l’époque compte bien profiter de sa nouvelle trouvaille pour se faire un nom sur le marché naissant mais déjà moribond des jeux vidéos… Nintendo adapte donc son jeu phare sur un nouveau support, la Game and Watch… Nouveau succès commercial et la firme de Kyoto à l’idée du siècle… faire de Jumpman sa mascotte et une série phare… Shigeru Miyamoto, créateur du ch’tit nabot à donc la charge de le rendre plus charismatique… après quelques croquis et quelques flashs Jumpman le charpentier devient Super Mario plombier italien à moustache, salopette et casquette rouge. (La légende veut que se soit une collaboratrice de Miyamoto qui, en voyant les croquis c’est écrier: ma qué si mou Onclé Mario !!! Mais bon ça ressemble un peu trop à l’histoire des Oscars pour être vrai…)
Pour tester la popularité de Mario, Miyamoto et Nintendo sortirent un jeu à l’effigie du plombier sur borne arcade, il s’agit d’un battle entre Mario et son frère Luigi intitulé Mario Bros. Le succès n’est pas au rendez-vous, mais Miyamoto en a dans le ciboulot et fait de Super Mario Bros un jeu scénarisé…
2 ans plus tard, en cette année 1985, Nintendo prépare une autre offensive sur le marché des jeux vidéos dominé par l'Atari 2600... En effet c’est cette année là que sort au Japon la Famicom (NES), console 8 bits devenue aujourd’hui culte !!! (et Atari ne rie plus… Désolé ^^) Pour son lancement Nintendo envoie à la charge le nabot à moustache sous la bannière Super Mario Bros… Le succès est considérable. Le jeu abouti techniquement pour l’époque, pose les bases d’un genre jusque là inexistant, le jeu de plate-formes… le scrolling horizontal, les Warp zones, les bonus, la construction complexe des niveaux, le gameplay exemplaire, les sous-niveaux, les boss… Tout ces éléments furent repris par tout les clones 2D de Mario qui se développent encore aujourd’hui.
Le succès mondiale du plombier à moustache fait rapidement de Nintendo LA marque du jeux vidéos. Big N, sortit une suite de Mario uniquement au Japon intitulé Super Mario Bros II. Vous allez me dire oui mais moi j’ai joué à un Super Mario II et je suis pourtant pas japonais… c’est en effet le cas, puisqu’il existe 2 Super Mario II, une version japonaise baptisée Lost Levels et une version Occidentale remake d’un jeu intitulé Doki Doki Panic. (c’est d’ailleurs en « hommage » à cette version que le crie de guerre du plombier sera Doki Doki ^^)
1989, alors que les clones de Super Mario se sont multiplié, Miyamoto a pris son temps pour nous concocter le fameux Super Mario Bros III !!!
C’est bien simple, il écrase tout les softs de plate-formes et s’impose comme la nouvelle référence. Le principe établie 4 ans plus tôt ne change pas mais la multiplicité des situations, des transformations du plombier, la durée de vie phénoménale, un gameplay sans faille ainsi que des graphismes beaucoup plus fins font passer Mario du statut de star à icône des jeux vidéos.
C’est aussi en 1989 que sort la Game Boy avec son Mario, intitulé Super Mario Land pour l’occasion. Ce Mario, moins fin techniquement, reste cependant un must d’inventivité qui en fait un excellent jeu.
1990, la Famicom, en fin de vie, laisse la place à une console tout aussi mythique, 2 fois plus puissante, la Super Famicom, (Super NES) et évidemment Miyamoto a préparé un nouvel opus de sa saga mythique pour l’occasion. C’est ainsi que sort Super Mario World. Nouvel épisode, nouvelle évolution. Tout d’abord Luigi, le frère maigrichon de Mario refait son apparition et pour la première fois dans un jeu de plate-formes, l’aventure est jouable à 2, chacun son tour, la fourberie s’invite donc chez le père Mario, le joueur ne jouant pas pouvant mettre des bâton dans les roues de l’autre afin de jouer plus vite… (aaaaah le débranchage de manette, le passage inopiné devant l’écran lors d’un saut ou encore le foutage de gueule capable de déconcentrer une sauce tomate… que des bons moments :D ) Techniquement époustouflant, le gameplay est de nouveau au top, la diversité des niveaux est une véritable prouesse tandis que les graphismes sont de toute beauté. Bref, tout est réunis pour faire de Super Mario World LE meilleur jeu de plate-formes de l’époque.
Mais le drame, ce produit… Mario devient dépressif… après avoir sombré dans l’alcoolisme, Mario remonte la pente… sur un Kart !!!
Nous sommes en 1992 et le monde entier s’envoie joyeusement des carapaces en pleine face. Nintendo et Miyamoto ont surpris le monde entier avec le jeu désigné comme étant le plus fun jamais crée. Sous ses air de course bon enfant, Super Mario Kart cache un gameplay riche et technique qui permet des heures de franche rigolade. (Étant devenue une série à part entière, je ne la développerai pas davantage, lui réservant un post exclusif retraçant sa saga…)
Donc revenons à nos plate-formes…
Nous sommes toujours en 1992 et Mario refait une petite incursion sur Game Boy dans Super Mario Land 2 qui se présente comme le Mario le moins bien réussi de la Saga. Le gameplay n’est pas à la hauteur tandis que les niveaux s’enchaînent et… se ressemblent, ennui et prise de tête font de ce jeu un ratage… ce qui s’explique assez facilement… sorti tout droit des studios américain Miyamoto ne fut pas dernière pour garantir la qualité du soft…
Après moult aventure à pied, en Kart, en grenouille, en raton laveur, avec une cape, en passant son diplôme de médecin (dans un Tetris-like intitulé Docteur Mario) ou encore à dos de Yoshi, Mario décida de fêter dignement ses 10 ans. Et quoi de mieux qu’une cartouche dorée regroupant l’ensemble de ses aventures passées pour fêter ça ? (et accessoirement ce remplir les poches :cli: ) La cartouche baptisé Super Mario All Star sous nos latitudes regroupa donc les opus sortie sur NES, donc Mario Bros, les 2 Mario Bros II et Mario Bros III ayant au passage subit un ch'tit lifting.
1995, la Super Famicom est en fin de vie, la Playstation a débarqué et peu pensèrent que la console de Big N puissent encore produire des softs de qualités… et pourtant, Miyamoto fit encore preuve de son génie en nous gratifiant d’un Super Mario World 2, sous-titré Yoshi’s Island. Ce n’est pas la suite de Super Mario World, mais sa préquelle. L’histoire ? Bébé Luigi est kidnappé par le vilain Bowser, bébé lui aussi (son premier méfait snif… c’est touchant… snif… :ple: ) Yoshi, embarque bébé Mario sur son dos et par à la rescousse du frangin… Des graphismes 2D d’une beauté sans pareille, un gameplay inventif, des situations diverses et variées, des vilains pas bô marrant, bref la Super NES en a encore sous le capot et fout la honte à la Playstation.
La même année sort le premier Mario RPG, qui donnera plus tard la série des Paper Mario, le gameplay simple offre une approche sympathique du jeu de rôle pour tout les novices du genre, les graphismes encore une fois se révèlent être à la hauteur de la console mais la facilité déconcertante du soft réduisit considérablement sa durée de vie.
Un an plus tard, Mario revient sur Game Boy… enfin, c’est son double maléfique puisqu’il s’agit du tout premier Wario, déjà Nintendo joue sur l’irrévérence de son personnage qui apparaît sous le sous-titre de Mario Land III, alors que les 2 séries se révèleront être assez différente.
Wario volant la vedette de Mario sur Game Boy, le plombier se vexa et décida de migré vers des contrées plus pixelisé, il débarqua donc en 1996 sur la nouvelle console de salon de Nintendo, la N64, sous le sobriquet de Super Mario 64. Là c’est tout un monde en 3D qui s’offrit à Mario, qui installa une fois de plus les bases de la plate-formes dans un format où le genre avait du mal à trouver ses marques. Les niveaux immenses ainsi que les différentes aptitudes nouvelles à Mario finirent d’enthousiasmer le public.
À noter que la N64 fut aussi le terrain de jeu du père Mario pour de nombreuses premières, c’est sur cette machine que naquirent des séries comme les Mario Tennis, les Mario Golf, les Smash Bros ou encore les Mario Party.
2002, Après être devenu une star de différent sports, Mario alla passer quelques jours de vacances sur l’île Delphino… euh en fait… sur Game Cube ^^
Et comme à chaque fois il y a une tuile… là Mario fini en taule… (ils ont confondu avec le Mario de la Star Academy :D )
Mario est donc condamné à nettoyer la ville qu’il a saccagé… mais en fait c’est pas lui bien sûr mais un autre double ^^. (ça en devient schizophrénique non ? ^^)
Il a donc droit à un Jet pack cracheur d’eau pour accomplir sa mission, au file de l’aventure d’autre outil vont venir compléter le jet pack pour un gameplay encore plus poussé, la 3D y est plus lisse que sur N64 et certain stage font carrément appelle à de la plate-formes pure !!!
Bref Mario étonne encore et démontre que sa série est toujours au top d’un genre qu’il a créé et popularisé près de 20 ans auparavant.
Sur Game Cube, Mario poursuit sa cure de remise en forme au se mettant au Base Ball ainsi qu’au Football, il repris aussi ses raquettes, ses club et son kart pour des parties toujours fun et délirantes, il n’oublia pas non plus son rôle de bout de papier dans Paper Mario… Nombreux remakes de ses précédentes aventure sont sortie sur Game Boy Advance et DS, un autre opus original des aventure du plombier et de son frangin est sortie sur GBA sous le titre de Mario and Luigi Superstar et se présente sous la forme d’un RPG où l’on contrôle les 2 énergumènes en même temps, chacun étant assigné à une touche de la console.
La Saga de Mario n’est pas prête de s’arrêter là, la Révolution pointant le bout de son nez, quand aux consoles actuelles, de nouveaux softs sont d’ors et déjà prévu sur GBA et DS…
Enfin il faut ajouter que Mario a été élu célébrité la plus complémentaire de Mickey aux USA… et vous savez pourquoi? Parce que lorsque que Mario Bros, Mickey Mouse… ok elle est nulle, je me cache... :Dsamedi 21 janvier 2006 - 16:18 Modification Admin Réaction Permalien
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