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  • Avatar darkscorpionw

    darkscorpionw

    3935 Crédits

    Nous entrâmes dans le restocaf… Seuls deux clients étaient attablés… et assoiffés, mais, le reste était désert. Edo scruta les alentours, et n’y vit pas la serveuse. Désespéré, qu’il était .
    Le gars, au comptoir, c’était un Weequay . Ces mecs étant spécialisés dans la protection personnelle des Hutts, Edo et moi eurent la même illumination…


    Edo
    :Tu t’en charges petit ?

    Moi
    : T’es marrant, t’as pas vu les deux autres , celui derrière le bar, et l’autre assis, là-bas…

    Edo : Ouais, en effet, pas l’air commodes… Mais bon, au pire, ils seront morts avant de t’avoir touchés.

    Moi
    : Oh… Quelle touchante attention… et si tu te loupes, je suis mort !

    Edo
    : J’me louperais pas !

    Moi
    : Bon, c’est ok, mais alors, c’est pas un verre que je veux à l’occasion, c’est une vibro-lame !

    Edo : On verra, occupe toi d’eux avant…

    Moi : La vibro-lame, tu me le promets !

    Edo : Promis ! Maintenant vas-y, sinon on sera morts de vieillesse avant d’avoir ces infos !

    Je me dirigeai vers le Weequay, qui, méchamment, me lança un regard.

    Moi : Dis moi, où on peut trouver ton patron ?

    Weequay : Qu’es-ce que vous lui voulez ?

    Les deux autres sortirent de leur cachette pour venir se joindre à mon interlocuteur…

    Gamorréen : Dégage minus ! Le patron veut des gars costaux, pas des petites ***censuré***s comme toi et ton pote.

    Abattu, pleine tête, Edo n’aimait pas qu’on se moque de lui. Le second homme, un Corellien, voulut abattre mon parrain, dégainant son blaster. Le petit couteau que j’avais pris dans le bar à un homme tout à l’heure me servit, puisque je l’égorgeai avant qu’il ne cause des dégâts à la veste (très moche au passage^^) de ce grand homme qu’était Edo ( je sais, j’en fais un peu trop ^^).
    Restait le Weequay. Il tâta sa ceinture, voulut y attraper son blaster.


    Moi (lui montrant son blaster…) : C’est ça que tu cherches ?

    Edo : Bien joué, p’tit, par contre, le picpocketissme, va falloir le freiner^^

    Moi : Bon maintenant, tu vas nouc conduire à ton patron, lui disant que nous souhaitons entrer à son service…

    Edo : Pas d’entourloupe, sinon, tu dis adieu à ce grain de sable géant !

    Weequay
    : Bien, on y va alors…

    dimanche 14 mai 2006 - 12:46 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Un seul mot : Beuark !
    Un Hutt, c'est moche, ça pue, c'est gluant, et une fois qu'il est carapacé, c'est encore plus horrible. Ca doit être le fait d'être en voie d'extinction, qui fait ça. Les Hutts, ils ont oublié le principe de l'évolution.

    Le type est grand, aux yeux rouges, moche, le corps brunâtre recouvert d'une carapace noire, ses petits bras ridicules s'ornant d'une main à quatre doigts et d'une autre à cinq préphalanges, ce qui doit constituer son orgueil ultime.
    De par sa nature, il est insensible aux tirs de blasters, et à la Force. Il peut être éventré d'un bon coup de vibrolame dans le gras du pied (qui est posé contre le sol, sous ses 500 kilos de chairs purulentes), empoisonné par une dose massive de quelques rares poisons, brûlé par une tonne de sel ou étranglé. Même l'humour ne l'atteind pas.
    Bref : j'aime pas les limaces.

    Les gardes, contrairement à ceux du bon vieux Jabba le machabbée, ne sont pas Gamoréens et Klatooïniens, mais essentiellement Barabels. Quelques espèces plus ou moins habituelles sont également présentes, pour attendre un contrat. L'endroit est sombre, humide, et de sinistres cris d'agonie accompagnés de rires sadiques émanent des cachots, résonnent dans les couloirs.

    Il s'agissait de nous faire engager comme transporteurs, pour la voie des sables, petite route incertaine serpentant dans le désert pour relier Mos Espa, Bestine, Mos Eisley, les Falaises et la plupart des domaines des Hutts.
    L'avantage de cette route était qu'on pouvait relier n'importe quelle agglomération à la capitale, l'inconvénient étant que les Tuskens attendaient souvent à proximité.

    Quels arguments fournir à la Limace ? Que nous avons un véhicule rapide et sécurisé, que nous possédons des armes et savons nous en servir, que nous le respectons bien et que ses crédits sentent meilleur que lui, sa puanteur détestablissime.
    Malheureusement, nous le réveillâmes dans sa sieste, il décida donc de nous jetter aux cachots, en attendant de savoir quoi faire de nous... ou de nous avoir oubliés.
    Ma seule consolation fut d'avoir une jolie Elomine et un amical Devish comme compagnie, les deux étant enfermés dans la cellule voisine, sans qu'eux-même ne sachent vraiment pourquoi. Oh ! J'oubliais : j'avais aussi réussi à garder le bas de mon armure, ce qui me permettait de dissimuler mon couteau dans le faux talon de mes bottes magnétiques.

    :jf:
    -------------------------------------
    Leader de la Guilde
    Un Vaurien koalaphile membre du R.H.HU.M.S
    TERRIK

    [Ce message a été modifié par: Edoras le 19-05-2006 10:04]

    vendredi 19 mai 2006 - 08:24 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar darkscorpionw

    darkscorpionw

    3935 Crédits

    Je regardai Edoras d'un drôle d'air... puis lui demandai :

    Moi : Euh, au fait patron(ne), tu comptes faire quoi ? Si on le tue, le gros moche carapacé là-haut, tu penses qu'on pourra mettre la main sur son trafic ?

    Edo : Ouais, pt'it, surement, mais, attends avant, sois patient...

    Le garde arriva, Eddy les bons tuyaux l'insulta. Le Barabel s'enerva, et se retournant, se fit insulter par le Devish. Edo en profita et l'égorgea. Un petit cri étouffé. Je récupérai les clefs, et nous sortîmes discrétement.
    Je regardais ce qui me servait de parrain, et, à nouveau, lui dis :


    Moi : Dis moi, si on libérait tous les prisonniers, les gardes là haut, même nombreux, seraient débordés...

    Edo
    : Tu sais que parfois tu as de bonnes idées ?

    Moi
    : Je dois tenir cela de ma famille ^^

    Les prisonniers tous libérés, ils montèrent en vitesse dans la grande salle, où se tenait l'immondice vivant.
    Arrivés nous aussi, Edo remarqua une cuve de liquide salé qui servait de nourriture au Hutt. A petite dose, cela le nourrissait, à forte dose, cela le tuerait !
    Les gardes du Hutt, submergés et tués les uns après les autres par es prisonniers insurgés, laissaient leurs armes au sol, pour échapper à une mort certaine. Edo et moi ne nous privâmes pas de les récupérer. J'héritai ainsi d'un vibro-dague et d'une sorte de lance. Cette lance, je m'en servis pour renverserla cuve sur le Hutt, en deversant du liquide un peu partout d'ailleurs...
    Mais bon, il brulait, et agonisant, et nous, nous riions...
    Restait à nous imposer en maîtres des lieux...

    -------------------------------------
    Darkscorpionw, novice élevé par Edoras.
    Fondateur de la Glandouille & Cie
    Fils de JanRacon, dit "Jan la case en moins"
    Guildeur déjanté...


    [Ce message a été modifié par: darkscorpionw le 20-05-2006 16:40]

    samedi 20 mai 2006 - 16:39 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Reprendre les affaires d’un Seigneur du Crime n’est pas chose aisée. Néanmoins, j’ai l’intuition que Scorpion pourrait m’aider à mener cette tâche. Afin de montrer mes intentions, je demande un seau d’eau, et dissous ce qui reste du Hutt, direction les sous-sols. Puis j'arrache une peau de bantha du mur où elle est accrochée, l'étends sur le trône et y pose la partie sensible de mon anatomie.

    Édoras : Écoutez ! Je suis Édoras Konix Terrik, Leader de la Guilde. Nous avons tué votre ancien maître et réclamons à présent son domaine et ses propriétés, par la loi du plus fort ! Nous sommes contre l’esclavagisme, engageons à prix honnête la main d’œuvre volontaire, offrons des primes de risques et garantissons la sécurité de nos collègues et de nos protégés. Que celui qui ose mettre en doute notre main mise vienne affronter l’un de nous, ou qu’il disparaisse de nos terres !

    Personne n’osa broncher. Un groupe de mercenaires s’éloigna dans un coin et nous observa. Puis, l’un d’eux, un Savrip (gros machin énorme et costaud), se rapprocha. Il monta deux marches jusqu’au trône… Scorpy lui attrapa un bras et glissa sous ses grandes pattes. Déséquilibré, le monstre chuta, manquant d’écraser le Guildeur au passage.

    Scorpionw : (murmurant) Pfiou... c’était chaud.
    Édo : Bravo, gamin ! T’as bien mémorisé la prise !
    Copain du Savrip : Monsieur ? Euh… notre pote venait vous offrir nos services, en fait.
    Eddy : Oups…

    Le Savrip se releva tant bien que mal, une énorme bosse sur le front. Nous l’aidâmes à se stabiliser. Il se passa de longues secondes sans qu’un seul bruit ne se fasse entendre, puis, soudain, la clameur éclata : toute l’assistance partit d’un fou rire – dont on ne sait d’où il commença – et acclama la mort du baveux. Certains applaudirent, et j’ordonnai de brûler les corps des morts, et de nettoyer le minuscule palais. Les pillages allaient commencer, et nous ne pourrions les refreiner. Nous descendîmes donc à la cave, et emportâmes toutes les armes et les données que nous pûmes emporter. Dans une pièce, je trouvai un millier de cristaux jaunes, bleus et verts, englués au mur par une matière visqueuse dont je préférai ne pas chercher à connaître la nature ni l’origine. Je les décrochai rapidement et les jetai dans deux caisses de bois. Sur une petite table, au milieu d’une kyrielle d’instruments de torture et d’objets étranges (généralement affreux), je trouvai une petite jarre (ach ! eine jarrette ! ^^) emplie d’un fluide brunâtre faisant songer à de la boue… au mieux. Dedans étaient plongés deux cristaux d’un noir de jais. Je chargeai le tout dans le VAUL, usant d’un épais réseau de câbles pour surcharger l’appareil.

    Lorsque j'estimai avoir emporter tout ce que je pouvais me permettre avant d'hâter l'émeute du "preums sur la camelote", j'envoyai un message au QG annonçant que le secteur était nettoyé, exigeant qu'on envoie une équipe de fonctionnaire pour distribuer les primes aux volontaires. Je confiai au groupe du Savrip le soin de garder la place, et nous partîmes, non sans avoir expliqué que toute tentative pour usurper notre place serait punie d'une mort assez moche.

    Nous rapportions des armes au QG, lequel paya Scorpy de 5000 Cr.G.
    J'avais bossé gratuitement, mais je m'en cirais le sbottes : j'allais me refaire en vendant les cristaux aux Jedi, quitte à gagner moins que mon Novice... lequel méritait désormais son rang de Guildeur Expérimenté.

    Les soleils du système Tatoo se couchaient sur notre victoire...


    :jf:
    -------------------------------------
    Leader de la Guilde
    Un Vaurien koalaphile membre du R.H.HU.M.S
    TERRIK

    [Ce message a été modifié par: Edoras le 27-05-2006 18:27]

    samedi 27 mai 2006 - 18:23 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    Jes’ : c’est fait :

    Edo et DarkScorpionw: Edo, tu te gérera bien seul^^

    Aven : ok pour la prime, la prochaine fois, attends juste que ce soit moi qui te la donne, ok ? (mission un peu courte) Si ce n’est déjà fait, va poster au transaction fin’.

    Jan et Chaos : continuez, je vous donnerais des difficultés au prochain passage.

    Quelque mission mis à jour en première page.

    dimanche 28 mai 2006 - 23:32 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Chaos

    Chaos

    860 Crédits

    Jan partit donc du côté d'où venait le bruit. Quant à moi, je partis à l'opposé. Je fis très attention à ne pas me faire repérer, je longe les murs, le dos contre eux. J'entendais des bruits bizarre, de temps à autres. Je ne savais pas vraiment où j'allais. Tout ce que je savais sur ces moines, c'est que leurs cerveaux était plongé dans un fluide qui les rendaient immortel, je savais aussi qu'il ne savais pas bien se battre, même pas du tout.

    Après m'être arrêter pour me remémorer les quelques information que j'avais, je continuai mon chemin, jusqu'à arriver dans une salle, oui, cette salle je la reconnaissais, c'était la salle principale du palais, malheureusement, j'aperçus devant moi des choses horribles, c'était ces espèces d'araignée avec un cerveau à l'intérieur. Heureusement pour moi, elles avaient l'air d'être endormie, ou quelque chose comme ça, en tout cas, ce qui était sûr, c'est qu'elles ne bougeaient pas. Je m'approchai doucement d'une des araignée pour l'observer. Lorsque je fus tout prêt d'elle, elle me sauta dessus, j'étais coincé, je cherchai une solution, mais en vain. Ma seul solution était de la détruire. Je pris une de ces pattes et l'arrachai. Elles étaient très fragile. Une fois la patte arrachée, je vis l'araignée reculer. Je sortis mon E-11 et tirai dans la sphère contenant le cerveau, celle-ci se brisa et le cerveau tomba par terre. En voilà une de moins, maintenant, il en restait quelques unes. Je sortis de la salle en courant et lançai un Détonateur Thermique. J'entendis un gros ''BOOM''. J'attendis quelques secondes avant d'aller voir le carnage que j'avais créer. Je vis une dizaine de cerveaux par terre.
    Soudain, mon comlink sonna, c'était Jan qui avait entendu le ''BOOM''^^.


    Jan: Hallô?! Ta fait quoi???

    Moi: Disons que j'ai essayé mon détonateur thermique...

    Jan: Mais t'es fou?!

    Moi: Nan, il était une dizaine.

    Jan: Ok...

    Moi: Ce n'est pas les meilleurs combattant!

    Jan: Ok!

    Moi: Et toi, ta vu quelque chose?

    Jan: J'ai assisté à la mise en boîte des cerveaux!

    Moi: Ah...C'était ça les bruits?

    Jan: Ouaip!

    Moi: Ok, en garde contact!

    Je raccrochai mon comlink et continuai d'avancer prudemment...

    :bf:

    +++++++++++++++++++++++

    Jan est en vacances pendant deux semaines et il n'aura pas accès à internet donc voilà... C'est pour prévenir.
    -------------------------------------
    Chasseur de Primes, membre de la famille Skyuki et frère d'Aven-Flar.

    [Ce message a été modifié par: Chaos le 30-05-2006 19:24]

    mardi 30 mai 2006 - 19:21 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Gallia

    Gallia

    3375 Crédits

    J’avançai, sous la chaleur écrasante de Mos Espa, en direction de la première cantina s’offrant à moi. J’entrai. J’avançai au comptoir et commandai une boisson:
    _ Dis l’ami ! Un jus de fruit de Dantooine! Et c’est combien pour l’utilisation de la borne holonet ?
    _ Ça fait 3 crédits pour la borne et 2 crédits pour la boisson ! me dit-il en me tendant le verre. Je lui posai la somme sur le zinc et pris ma boisson. J’avançai calmement vers la borne holonet qui était isolé dans le fond de la cantina. Un humain de petite taille l’occupait déjà. Au bout de dix minutes d’attente, je commençai à perdre patience…Je lui fit remarquer ma présence en toussant. Il se retourna, me regarda, puis, se remit à sa conversation. Je décidai donc de prendre les choses en mains. Je me concentrai sur ses émotions pour lui faire ressentir la colère…Sa conversation n’était plus qu’un bruit d’arrière fond pour moi:
    _ Je ne pourrais pas venir te voir…..ton frère….., disait son interlocuteur.
    _ Mais….possible….toujours lui d’abord….
    _ Non ….malade…remettre à plus tard…avec plaisir…
    _ C’est toujours pareil…. Le petit homme avait la respiration qui s’accélérait et son visage devenait presque aussi rouge que le mien, j’y étais presque…
    _ Et sinon, poursuivit-il, dans une semaine tu peux venir….depuis longtemps….promesse….
    _ Je ne sais pas….
    _ Bon ! Ben dit le que tu veux pas !...toujours pareil…. Ma claque !... Il quitta la borne en colère sans se retourner et sorti directement de la cantina. J’étais fière de moi, ça s’était plutôt vite passer !
    Je sortis mon databloc de ma poche et le branchai à la borne holonet. Je me connectai aux services de renseignements : je rentrai le nom de mon futur mort et je vis s’afficher tous les renseignements qu’il y avait de disponible sur lui. Je les téléchargeai. Lorsque le téléchargement fut fini, je me déconnectai et effaçai sur la borne les éventuelles traces de mon passage. Je pris mon verre de jus de fruit et allai m’asseoir dans un coin tranquille de la cantina pour étudier attentivement les informations stockées sur mon databloc. Au bout de trois heures de lecture, je su désormais tout de sa vie publique, quelques passages de sa vie privée, il ne me manquais plus qu’à l’observer pour connaître réellement ma proie…

    Quand je sortis de la cantina le jour allait céder sa place à sa rivale, la nuit. Je me dirigeai vers la résidence très surveillée de mon haut dignitaire. Je pénétrai dans la rue. C’était une large rue où la foule passait vaquant à ses activités sans se soucier des gardes postés à l’entrée de la résidence où se trouvait ma cible. Je m’arrêtai au milieu de la rue et l’observai méthodiquement de bas en haut, de droite à gauche et vice-versa. Je remarquai que du toit de la résidence qui se situait en face de celle de ma proie, on ne pouvait rien en voir d’en bas. Je décidai donc d’aller jeter un œil sur cet éventuelle planque. Je pris alors la rue parallèle qui était bien plus étroite que la précédente. Cette ruelle était peuplée principalement de tas de détritus, de restes d’objets, etc. Je ramassai alors le plus possible d’objets solides et volumineux, et les rassemblai pour en faire un amas de bric et de braque montant jusqu’au toit. Je l’escaladai et arrivai sur le toit. Je me mis à quatre pattes et avançai jusqu’au bord : de là ma vue donnant sur la résidence du dignitaire était parfaite. Je dominai tout ! Je voyais tout et personne ne pouvait me voir ! La nuit avait gagné sur le jour. La première phase de mon plan allait pouvoir débuter !


    Phase1 : l’observation de ma proie.


    Avec la nuit venue, la rue était devenue d’un calme absolu ; seul les gardes campaient toujours devant le bâtiment. Les lumières de la résidence étaient éteintes, ma proie devait tranquillement dormir dans son lit…J’en conclus que rien de plus pourrait m’avancer pour le moment alors je décidai de dormir à mon tour.

    Soudain, un bruit me réveilla dans la nuit. Intriguée, je m’avançai du rebord et regardai ce qu’il se passait. Je vis alors le haut dignitaire sortir de la résidence. Il était accompagné de deux gardes du corps. Ils partirent tous les trois à pied. Je regardai alors ma montre, il était 2h30 du matin. Je les suivis du regard, ils se dirigèrent vers une maison qui se trouvait au bout de la rue. Le haut dignitaire entra, laissant ses gorilles devant la porte. Il finit par ressortir au bout de deux heures…Ils rentrèrent tous les trois à la résidence en prenant soin de le faire discrètement…Mais pourquoi était-il là ? Qu’avait-il fait à l’intérieur ? Toutes ces questions trottaient dans ma tête…

    Le lendemain matin, rien n’arriva avant midi. Je pris mes macrojumelles pour mieux observer. Je remarquai qu’il y avait des gardes partout surveillant la résidence, les jardins. Il était impossible pour quelqu’un de seul d’entrer par effraction. Il fallait donc que je frappe à l’extérieur de la propriété. Le haut dignitaire et quelques gardes montèrent dans un Arrow 23 qui se dirigea vers les bâtiments administratifs de la ville, à deux pas d’ici. Je décidai d’aller jeter un coup d’œil. Je descendis discrètement de ma planque et marchai jusqu’aux bâtiments. L’Arrow 23 était garé devant. Il était 13H à mon databloc. Je décidai d’entrer dans le bâtiment. A l’intérieur, la sécurité était forte, en effet il y avait des holocaméras et une multitude de gardes. Il était une fois de plus impossible pour moi de le tuer ici. Je sorti de cet endroit, et allai m’appuyer contre un mur, d’où je pouvais voir l’entrée. Six heures plus tard, ma cible reprenait l’Arrow 23, toujours accompagné de son escorte. Il démarra, et prit la rue principale et s’arrêta devant un restaurant du nom de « La Fouillouse », où les passagers entrèrent. Je me dirigeai jusqu’à l’entrée de « La Fouillouse ». Deux barabels, à l’air peu aimable, encadraient la porte. J’avançai pour pénétrer dans le restaurant lorsque les deux gros lézards me bloquèrent le passage.
    _ Hé bien ! Qu’est-ce qui nous fait la zeltronne ! Il ne s’est pas lire ? Restaurant privé ! Aller, dégage !
    Je senti mon sang bouillir….mais je fis demi tour et avant de partir je glissai dans un murmure « fils de p*** ». Pour qui se prenaient-ils ? Ils avaient de la chance que je sois en mission, autrement ma vibro rapière aurai fait des petits dés de barabels crus! Je m’éloignai du restaurant mais m’arrêtai un peu plus loin pour l’avoir toujours en vue. Vers environ 20h30, l’Arrow 23 avec ses passagers décolèrent et se dirigèrent vers la résidence du haut dignitaire, où ils se posèrent.

    De retour à ma planque, j’observai la résidence qui devint rapidement calme : les lumières s’éteignaient une à une. Mais, cette fois ci je ne m’endormi pas. Je gardai l’œil ouvert…Le temps passait lentement, rien ne se passait. Tout à coup, je vis la même scène que la veille se reproduire sous mes yeux. Il était 2H30. Cette fois ci, je descendis de ma planque et m’approchai, toujours dans la ruelle, de la maison où se trouvait ma cible. Je ne pouvais pas aller dans la rue principale pour observer à cause des gardes. Je décidai de continuer dans la ruelle et quand je fus assez loin pour pouvoir traverser la rue sans être vu, je quittai ma ruelle pour aller dans celle qui donnait sur le derrière de la maison. Une fois au niveau de la maison qui m’intéressait, j’observai la façade en face de moi. La fenêtre de l’étage était éclairée. Je ramassai dans la ruelle des détritus assez massif, que j’empilai les uns sur les autres pour pouvoir grimper jusqu’à la fenêtre. Par la fenêtre, j’observai discrètement la scène. Le haut dignitaire était dans un lit avec une femme…Quelques minutes plus tard, ils discutèrent …
    _ J’ai quelque chose à te dire, dit la jeune femme, je…je…je suis enceinte de toi…Le haut dignitaire resta sans voix un petit moment, puis, la prit dans ses bras.
    _ C’est formidable ! Mais, il faut que cela reste secret pour l’instant… Ils continuèrent de discuter de choses et d’autres ensemble…mais j’observai la pièce… Vers 4h30, le haut dignitaire quitta la pièce, accompagné de sa compagne. Quelques minutes plus tard, elle remonta seule et alla se coucher.

    Le lendemain, la journée fut la même pour le haut dignitaire. De toute façon, je savais très bien que la sécurité autour de ma cible était parfaite que se soit à la résidence, dans les bâtiments administratifs, au restaurant,… Je ne pouvais rien faire. Heureusement pour moi, il y avait quand même une faille : le soir chez sa compagne….Je commençai à réfléchir à un plan pour le tuer chez elle ! La nuit venue, j’allai me mettre en position pour observer une dernière fois…Je repris la même place que la veille, à la fenêtre de la chambre. La jeune femme se trouvait assise sur le lit à tisser. On frappa à la porte. Elle se leva et sorti de la pièce. Elle revint une minute plus tard accompagnée de son amant. Ils s’allongèrent sur le lit et s’aimèrent…Au bout d’un moment, comme la veille, ils parlèrent, se racontant leur journée, se disant leurs sentiments,…Au moment venu, ils se rhabillèrent et sortirent de la chambre…J’entendis le haut dignitaire dire à sa belle « à demain, ma Chérie. Je t’aime. »

    A présent, je savais comment j’allai exécuter ma mission…Je pouvais désormais passer à la phase suivante…
    -------------------------------------
    Abyssus abyssum invocat
    Horresco referens...
    Membre du R.H.HU.M

    Ce message a été modifié par: Gallia le 05-06-2006 18:27

    lundi 05 juin 2006 - 18:23 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    Gallia : J’avais raison de t’envoyer ici. Bon post ;-)
    Arrivée près de ta première planque, sur le toit en face de la maison de ta cible, tu aperçois des hommes roder autour.
    Problème : tu as laissé des traces trop évidente en haut, que tu dois absolument effacer !
    Tu te doute que des scanners de sécurité t’ont repéré. Tu dois agir sans te faire repéré ni donner l’alarme (pas de mort, la disparition d’un garde serait trop flagrante.)

    Chaos : Tu entends des bruits différents de celui des pattes de ces araignées (normalement pas si fragile que ça, mais bon.)
    Elles ont engagé des mercenaires. Rapidement, tu en compte 5 dans un couloir, et 6 dans une pièce au fond. Il y en a sûrement plus.
    Le commanditaire de la mission veut que le palais soit ENTIEREMENT nettoyé pour l’habiter à son tour.
    Ils sont armés, EUX.


    Bonne chance à tous.

    Bon, ben, je post là...

    Il pleuvait, comme toujours, sur cette planète.
    Jabiim.
    Plusieurs décennies après la fin de la guerre des clones, la planète en portait encore les cicatrices.
    Je songeai à Coyn.
    Combien de temps faudrait-il pour que les cicatrices de la guerre se referment ?
    Une seule certitude.
    Je serai mort avant.
    L’heure n’était pas aux souvenirs.
    Je venais remplir un contrat.
    Les Réprouvés avait besoin d’argent, certes.
    Mais celui là…
    Ce contrat était spécial.
    La cible était un criminel qui avait doublé les mauvaises personnes, et qui se retrouvait avec une prime telle qu’elle aurait convaincu un hutt de se bouger en personne.
    Mais ce n’était pas le plus important.
    J’étais sur qu’il possédait des informations sur les hommes responsable de la mort de ma première femme.
    De quoi, je l’espérais, prouver la responsabilité de la Guilde dans cette affaire.
    J’avais décidé de mettre de coté toute subtilité.
    J’entrai de force dans le bâtiment, je tuai toute personne sur mon chemin, je choppai le type (un dénommé Nial) je le forçai à parler, et basta, je l’envoyai vers d’autre cieux plus clément.

    Je le repérais sans trop de difficultés.
    Il se pensait bien caché, ce qui n’était pas loin d’être vrai, mais je connaissais encore quelques bon contact qui me permirent de le localiser rapidement.
    J’appris également qu’il était en déplacement pour quelques jours.
    Prenant mon mal en patience, j’en profitai pour me rendre sur les lieu le soir même, afin d’étudier la situation.
    Bien caché, pas très loin de la baraque, j’observai les systèmes de défense.
    Blasters automatique… Plusieurs gardes… système d’holosurveillance, mais bon, ça, c’était le dernier de mes problèmes.
    Et là… des gardes… à terre ?
    Anxieux, je scrutais les fenêtres… Là ! un homme !
    Il était poursuivit par des gardes, et semblait en mauvaise posture.
    Il ma fallais agir. Vite.

    Je me rapprochais du bâtiment.
    Une vitre vola en éclat. Je me cachais derrière une haie, et continuait à couvert, dégainant mon DC-15.
    Xéniamnléo bondit par la fenêtre brisée, et s’écrasa à terre, quelques mètres plus bas. Malgré la faible luminosité, je pu voir qu’il était blessé à l’épaule.
    Il se releva et courut, tirant derrière lui de temps en temps. Il trébucha, et tomba.
    Deux hommes, qui l’avaient suivit par le même chemin, approchaient, arme en joue.
    J’épaulais mon fusil blaster.
    Le premier coup frappa l’un des poursuivant à la tête. L’autre se jeta à terre, évitant mon coup. Je jurais.
    Le Guildeur s’était relevé, et fuyait.
    « Ah, ça ! Non, mon petit père ! »
    Je le poursuivi, et le mercenaire en fit de même. Par chance, j’étais plus rapide que les deux combattant, obligé de se cacher de temps à autres pour s’abriter des tirs.
    Le mercenaire semblait paniqué par le second tireur qu’il ne parvenait à voir (moi, quoi^^) mais continuais de poursuivre Xeniam avec une ardeur redoublé.
    Bon élément.
    Dommage.
    J’étais maintenant devant Xéniam, à quelques mètres de son dernier abri. Il rechargeait son arme.
    Je visais son poursuivant, et tirai.
    Il tomba, raide mort.
    Xéniam souffla, et se retourna… Pour se retrouver en face de mon canon.
    - Salut, Guildeur.
    - Qui ?... Oh non ! Sibass !
    - Lui-même. Bravo. Tu viens d’alerter ma proie avec tes inepties, je vais avoir un mal fou à le retrouver.
    - Mais…
    - Donne moi une seule bonne raison de ne pas te tuer sur le champ.
    - Quoi ? Attends ! moi, je n’ai jamais demandé à faire un boulot pareil, je…
    - Mauvaise réponse. Adieu.
    - ATTENDS ! Je suis explorateur ! Je pourrai te trouver ton type ! C’est mon boulot, un peu !
    - Pourquoi ferais-tu ça ?
    - J’ai un flingue qui menace de griller mon cerveau, or j’y tiens. Bonne raison ?
    - Suffisante.
    J’abaissai mon arme.
    - Si tu es explorateur, pourquoi es-tu là ?
    - Edo… Il m’a envoyé ici. Y’avais personne sur place, à part moi, et le boulot était urgent. Je vois pas en quoi tuer un type était tellement…
    - Il ne t’a rien demandé d’autre ?
    - Ben… Non… juste… le tuer… quoi.
    Je relevai mon arme.
    - Ok, ok ! Il m’a demandé de détruire ses archives ! Le type doit posséder de sacrée info, pour que ce soit si urgent.
    « Et c’est rien de le dire… »
    - Tu les as trouvées ?
    - Ouai, en partie. Relax, je les ai détruite…
    « NOOOOOOOOON !! »
    - … tu es bien là pour ça, toi aussi ? Enfin… Il doit en avoir aussi sur lui, faut quand même que je le trouve.
    - Tu as… tous détruit ?
    - Ben… ouai. Pourquoi crois-tu que les mecs me…
    Je lui collais l’arme contre le front, et enlevais le cran de sécurité.
    - J’EN AI FAIT UNE COPIE !
    - Quoi ? Demandais-je, abaissant mon arme.
    - Oui ! Je suis Guildeur, tu crois quoi ? y’a sûrement de quoi faire chanter un paquet de monde, avec ça.
    - Donne.
    - Non.
    Je le mis en joue de nouveau.
    - Tiens, c’est cette puce.
    Je m’en saisie, baissant mon arme (encore^^) et regardais la carte de données.
    - Les info sont cryptée, y’a que Nial qui en a la clé. Et pour les décoder sans, je sens qu’y’a du boulot.
    - Tu vas m’aider à le trouver.
    - Ah ouai ?
    - Contre ta vie et 40% de la prime. Non négociable.
    - Et si…
    Je lui collais une nouvelle fois mon flingue contre la tempe.
    - Vous ne voulez jamais rien comprendre simplement, vous, les Guildeurs, hein ?
    - Et tu sais de quoi tu causes, ex-guildeur ?
    Un point pour lui. Je le frappais avec le canon de mon arme.
    - Elle fait mal, ta vieillerie. Tu n’as pas assez de thunes pour un flingue neuf ?
    - Elle est très efficace, et là n’est pas le propos. Donne moi ton databloc, et tous tes comlink.
    - … Pas le choix ?
    - Non.
    - Je vais avoir besoin de mon comlink.
    - Je sais. Donne.
    Il me donna tout son matériel de communication. Je le mis dans une de mes poches. Je vérifiais son comlink. Pas de micro intégré. Je mis néanmoins hors d’usage l’émetteur. Pas de transfert de messages possible.
    - Eh, mon…
    - Tu le répareras, ton jouet. Je te laisse tes armes. Pas d’entourloupe, où tu es un homme mort. Passe devant. On va chercher Nial.
    - Par où commencer ?
    - Il devrait avoir une maison de campagne, mais mon informateur ignorait où sur cette planète. A toi de la trouver.
    - OK.
    Nous partîmes sous la pluie toujours battante. Il faudrait que je bosse avec ce Guildeur. Pour une fois…

    Xeniamnleo : Ben, trouve moi cette baraque. Je m’occupe du reste^^.
    -------------------------------------
    Guildeur indépendant.
    Co-fondateur du R.H.HU.M
    Pryvette geoque

    Ce message a été modifié par: Sibass le 12-06-2006 10:56

    mardi 06 juin 2006 - 12:49 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar xeniamnleo

    xeniamnleo

    5927 Crédits

    Je savais bien que je n’aurais jamais du accepté cette mission. Après tout je n’étais pas un tueur mais un explorateur. Et maintenant je me retrouvais là contraint sous la menace d’une arme à avancer dans une forêt sombre sans savoir où j’allais vraiment. Il fallait que je reprenne mes esprits car ma survie dépendait maintenant de mes capacités d’exploration et si je n’y mettais pas un peu du mien je finirais bien vite avec une décharge de blaster dans le dos. J’entendais les pas de Sibass derrière moi, ceux-ci étaient très appuyés et lourds. On pouvait sentir sa détermination rien qu’à sa façon de marcher, ce qui me faisait penser que je ne devais pas essayer de jouer au plus malin avec lui, du moins pour le moment... Il avait l’air de s’impatienter :
    - Tu sais ce que tu fais ou tu te moques de moi ?
    - Et bien notre homme se cache assurément, et quoi de mieux qu’une forêt épaisse pour dissimuler un bâtiment ?
    - Bravo ! Faut vraiment être Guildeur pour être aussi malin ! cria-il, très énervé. Mais ce que je te demande c’est pourquoi on marche depuis 10 minutes dans une direction et pas une autre !
    - Et bien la lisière ne nous renseigne jamais sur le passage de personnes, en effet la végétation n’est jamais représentative de la forêt intérieure. Quand nous serons vraiment dans la forêt nous pourrons y trouver des indices.
    - Bon assez causer alors ! On y va…
    Derrière ces paroles agressives je sentais bien que mon « compagnon » avait quelque peu peur, ni de moi bien sûr ni de l’environnement, il avait plutôt l’air de craindre de manquer de temps et cherchait toujours pour accélérer le rythme de notre marche. Aussi je sentis souvent le canon de son blaster dans mon dos, ce qui me faisait me hâter bien évidemment. Nous arrivâmes enfin au cœur de la forêt.
    - Alors l’explorateur ? Sibass appuya ce mot avec un petit accent méprisant…
    - Chut !
    - Quoi ? Tu me donnes des ordres maintenant ? Je te rappelle que c’est moi qui tiens le blaster.
    - Et moi qui croyez que la discrétion était essentiel dans ton métier
    - S’il y avait des ennemis, je les aurais déjà repérés, imbécile !
    Il me jeta par terre dans son excès de colère.
    - Tu veux me faire perdre mon temps ?
    - Il y a des signes qui ne se voient pas et qui pourtant indiquent mieux le chemin que n’importe quel carte.
    - Qu’est ce que tu veux dire ?
    - Ecoute les animaux… Ils essayent d’éviter les chemins où les humains passent surtout si ceux sont des chemins fréquentés comme le serait celui qui mène à la maison.
    - Alors tu vas trouver cette maison grâce aux…aux animaux !
    - C’est exact et nous devons aller par là, c’est le seul endroit où l’on n’entend pas la faune.
    Nous poursuivons notre chemin en direction du Nord-Est. Nous changions notre direction dès que l’on percevait un bruit d’oiseau ou de sanglier noir. Mais je m’arrêtais à un moment. Sous le coup de la surprise et de l’incrédulité, Sibass s’exclama :
    - On n’a pas de temps à perdre, il faut se dépêcher. Y’a pas de cris par là on peut y aller.
    - Non, non, je ne crois pas…à moins que mais oui !
    - C’est fini tout ce mystère ?! Moi j’aime quand les choses sont claires, j’aime pas les entourloupes, dit il en pointant son blaster sur moi.
    - Tu vois ces racines à la teinte mauve là-bas ? Et bien nous allons pouvoir suivre encore mieux la piste, car tu vois il s’agit d’une mutation d’une plante sous l’effet de carburants de landspeeders. Donc qui dis Landspeeder…
    - Dis habitation humaine. Ok, alors on y vas.
    Nous repartîmes de plus belles. En suivant ce chemin de racines, nous nous étions rendus compte que nous avions fait un détour de 800 mètres pour rien mais ce n’était pas encore grand-chose sachant que nous nous guidions à l’oreille. Nous marchions très rapidement car Sibass imposait une cadence très rapide mais qui n’était pas dur à suivre pour moi étant donné que l’endurance ne m’avait jamais posé de problème. Soudain m’arrêtais à nouveau et le retins alors qu’il me devançait.
    - Quoi encore ?
    - Nous sommes arrivés.
    - Comment peut tu dire ça, il n’y a que des arbres ici.
    - Oui mais observe cette fougère au pied de cet arbre.
    - Quoi encore, il s’agit d’un panneau d’indication spécialisé en maison perdue en pleine forêt ?
    - Non mais ces fougères ne poussent qu’avec l’aide des soleils. Il doit y avoir une clairière pas loin, car jusqu’ici la forêt était trop épaisse pour laisser passer les rayons des soleils. Donc qui dis clairière dis peut être maison…
    - Alors restons sur nos gardes mais ne traînons pas.
    Mon intuition était juste : quelques mètres à peine après la découverte de la fugère, nous avions devant nous une grande clairière, mais pas naturelle car on pouvait remarquer la taille très grossière des arbres. Là se dressait une bâtisse imposante, entouré de tourelles et lourdement surveillé par des gardes. Je me tournais vers Sibass :
    - Je t’avais dis que je la trouverais
    - J’ai bien fait de ne pas de tirer dans le dos après le coup de la fougère…

    lundi 12 juin 2006 - 18:58 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    Il m’avais bluffé…
    Rien à dire de plus.
    J’aurais été incapable d’analyser la nature comme il l’avait fait.
    Nous allâmes observer la maison.
    Le truc habituel, ce ne serait pas trop dur.
    Xeniam…
    Ce nom m’était familier…
    Pas un Terrik.
    Pas que je sache.
    Oui, bien sur !
    - Tu ne sais pas qui je suis, hein ?
    Il me fixa étrangement, sans comprendre ma question.
    - Sibass. Ex Guildeur, leader des Réprouvés.
    - Et ton demi-frère.
    Son regard passa à l’étonnement le plus sincère.
    - Oh ? J’ignorais que mon père … notre père … ta mère… heu ?
    - J’ai été adopté… plutôt tardivement, dirons-nous.
    « Comme toi tu as adopté Jes… comme quoi. »
    - Et tes vrais parents ?
    - Pas envie d’en parler.
    - OK. Pourquoi on te voit si peu ?
    - Comme ça. La mission, s’il te plait.
    - Ah, oui, bien sur.

    Le pauvre… il doit combattre l’un de ses frères.
    Etrangement, je n’aurai pas hésité un instant avant de l’abattre…
    Mieux vaux me méfier de lui, qui sait.

    - On va faire comment ?
    - Ben, on va neutraliser les gardes sur le toit, avant de…
    - Non. Nous… après la mission.
    - Ah… Ben… je suppose que je te laisserai filer. Et que toi aussi. On attendra la prochaine mission pour s’entre tuer.
    - C’est… vrai que tu as tué des Guildeurs.
    - Tu n’es pas sur ma liste aujourd’hui.
    - Pourquoi les avoir tué ?
    - Dis, tu me lâche, ou…
    - C’est le frère Guildeur qui te demande. Tue moi, si tu préfère.
    - C’est pas l’envie qui manque.
    Ah ! La famille.
    - Disons… que… j’ai mes raison. La Guilde à participer à la mort d’un être qui m’était cher.
    - Padm…
    - Ta gueule.
    - Désolé. … Tu as des preuves de…
    - Oui ! Oui ! j’ai des preuves, et j’en aurais d’autre à la fin de cette put*** de mission… oublie.
    - C’est pour ça que…
    - Oublie ! On fait cette mission, et je ne te tue pas. Le marché est bon.
    - Si tu le dis.
    - Tu vas occuper les gardes.
    - Quoi ? Tu n’avais pas dit qu’on devait les tuer.
    - Trop de risque. Attaque l’aile droite, foire ton attaque, et fuit en te faisant suivre. Sème les, et rejoints la baraque. J’aurais ouvert un passage dans l’autre aile. Zigouille les deux trois mecs qui reste, et suis moi.
    - Le combat, moi, c’est…
    - Je te demande de courir et de tuer 3-4 mecs à distance. T’es un Guildeur, non ?
    - Bon, ok. On commence quand.
    - Maintenant.
    - Pitié…


    Xéniam : post jusqu’à entrer dans le bâtiment (j’aurais brisée une fenêtre) sans te soucier de mon histoire. Je posterais en parallèle et la suite après toi.

    mercredi 14 juin 2006 - 00:26 Modification Admin Réaction Permalien

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