Les Trafics pour La Guilde (page 28)

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Si on nous proposait un cinquième forums pour la Guilde, qu'en feriez-vous ? (46 votes)


  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Alors que nous nous battions gentiment (une petite fusillade de derrière les fagots, rien de bien méchant, après tout, sauf si on se ramasse un mauvais tir dans la calebasse), Nausinette hurla soudain et sortit de sa planque en tirant comme une folle (folle, fille de Folle Intergalactique, fille d'un taré mégalo et arrière-petite-fille de malades mentaux divers), bâvant comme une enragée.
    Génial, là, ça devient comique ^^
    Avec ce renfort inespéré, nous prîmes les survivants en tenaille (bon, ils m'infligèrent 2 PdV de dégâts et 1 à Aven, mais rien de grave) et je pointai bientôt mon blaster sur le front du capitaine.

    Le Leader : Le code de désactivation ?
    Le Capitaine : Va te faire fou*** ! Bute-moi, tu n'obtiendras rien, vermine !
    Eddy le brave : Wow... le bantha ! Z'avez vu comment ce mec me cause ? Et devant ma fiancée, en plus ! J'ai besoin de ce code pour nous sauver la vie, alors je peux pas t'ouvrir le crâne, mais je peux toujours t'éclater le genou, tu me suis ?
    Le gallonné : Hein ? Non, je... WAÏEUH ! bîîîîp de bîîîîîp de BÎÎÎÎÎÎP, je te boufferai les bîîîp, bîîîîp de fils de BIIIIIIIIIIIIP !!! (ça, c'était la censure-matique du casque Mandalo, pour pas choquer la susceptibilité des guerriers)
    Édo : Wow, wow, wow ! T'en connais, des vilains mots, dis moi ? Enfin, je suppose, j'ai rien compris. Alors, ce code ? Ou je dois te broyer les doigts ?
    Le méchant petit militaire : Vous ne m'aurez pas vivant !

    Et de fait : le type en uniforme attrapa une gelulle collée sur son col avec sa langue et la croqua. Puis, il se mit à trembler, ses lèvres éclatèrent, ses yeux s'exorbitèrent, il bâva une mousse épaise et verdâtre puis resta immobile, la tête penchée, légèrement inclinée sur le côté avec une certaine élégance dans la morbidité. A l'armée, ils meurent, mais ils savent mourir avec classe !

    Ouais... n'empêche que là, on n'a pas le code, l'autodestruction est à 15 secondes de la fin -- la nôtre -- et nous sommes grosso-modo dans la bouse de bantha fraîche jusqu'au cou.
    Là, j'aimerais pousser un petit hurlement primaire, pour me détendre, vous voulez bien ?
    Merci.
    WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!! ON VA TOUS MOURIR !!!
    C'est dommage, dimanche y a l'marché.
    J'voulais y amener Nausicaä. La vie est trop bête et cruelle, d'abord ! Quand je pense à toutes ces jolies filles qui n'auront pas eu l'occasion de connaître le brave type que je suis (beau gosse, en plus), c'est trop injuste !
    Bon, ben, va falloir attendre notre ernière seconde avec résignation.
    Ca ne devrait plus être trop long, à présent : 6... 5... 4... 3...
    Kiffa Stamina : "Procédure d'autodestruction désactivée, bonne journée." Et Bien voilà !
    Édoras K. Terrik : Hmm ? Quoi, on va pas mourir bêtement ?
    Aven-Flar, le Mandalorien : Dans la mesure où ta Twi'Lek vient de désactiver la procédure en court-circuitant le tableau de contrôle, je crois pas, non.
    Albert : Alors, ça veut dire qu'on ne va pas mourir tout de suite ?
    Kiffa : Pas tout de suite, non.
    Albert : Dommage, je venais tout juste de me faire à cette idée d'une mort rapide et spectaculaire. Enfin, je suppose qu'on aura une autre occasion de mourir, plus tard...
    Édoras : Probablement. On ne sauve jamais la vie de quelqu'un, on ne fait que la prolonger un peu.
    " Dîtes, quelqu'un pourrait arrêter Corellia ? Parce qu'elle est toujours en train d'essayer de transformer les deux derniers gardes en compotes trop cuites...
    " C'est marrant, ça : si vous faîtes un croisement entre une Folle Intergalactique relativement non-violente et un Taré Congénital maniaque de la destruction de masse, vous obtenez une gentille petite fille pacifiste, qui devient une véritable machine à saucisse dès qu'elle devient folle.
    " Ah, les miracles de la génétique !

    :jf:

    lundi 26 février 2007 - 08:57 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Aven-Flar

    Aven-Flar

    5177 Crédits

    Me rapporchant du panneau éventré qui avait été autrefois assigné à l'autodestruction, je me pris d'une envie soudaine...

    Missa kas : Edo'? Je peux tapper dessus? Pour voir si ça marche encore?

    Edo' le bricoleur : Ahhhh, comment réparer en 10 leçon par Aven Flar...Quelle finesse.

    Broahhhh! C'est bon hein! Je vais pas péter le vaisseau non plus... Bon, après l'effort, le réconfort, où est l'siège? Ah, le l'vlà. Tiens, la gamine à Edo' tire toujours, 10/1 qu'elle va gaspiller tous ses chargeurs... Allez, on se repose, tant qu'on y est, Dodo.


    ZzZzZzZ... ZzZzZzZzZz..... ZzZzZzZzZz....Grrrr...ZzZzZzZ... Grrr.... Gné?

    Edo l'empêcheur de dormir où on est : Il est réveillé! Miracle!

    Nausicaä : Attention y montre le dents c'est mauvais signe...

    Je vis Edoras prendre une truc et me l'enfoncer sur la tête... mon casque!

    Missa Bombad : Eh couillon! Tu m'las mis à l'envers!

    Edo the Rasci : Bref, le Pacifer viens sur nous. Faut faire quelques chose. je pensais à ...

    Moi : Tirer?

    Edo-las : (soupir) Nan... (lève les yeux au ciel) ... Contacter le Guildeur que j'y ai infiltré!

    vendredi 09 mars 2007 - 11:29 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    ♪ ♫ ♪ ♫ ♪ ♫ !!!

    - Allo ? Mon petit Chiss adoré que j'aime ? T'en es où, de ton carnage ? On peut venir te donner un coup de main ?
    - ...
    - Ah ? D'accord... Oui. Hé, tu connais la blague de la vieille radasse Besalik qui... Ah ? Tu la connais ? :D Allez, j'arriche, m'chou, prends soin de toi.
    - clic -

    Nausi : Alors, on fait quoi ?
    Édoras : Ben, Mundi s'est emparé de presque l'entièreté du vaisseau en flinguant sans semonce, mais il rencontre une petite résistance, alors on va aborder le vaisseau à l'avant, et on va le vider de son jus dans l'autre sens.
    Aven : Ca m'va. C'est quoi, la blague de la vieille radasse Besalik ?
    Édo : Ben, c'est une vieille radasse Besalik, fringuée extra, tenue de travail en cuir allégé, qui se promène sur le trottoir de Skywalker Avenue, à Coruscant, en fouillant systématiquement les poubelles, alors, y a un type qui l'arrête et lui demande...
    Kiffa : Édo, t'es sûr que c'est une blague pour les enfants, ça ? dit-elle en posant ses mains sur les oreilles de Corellia.
    Eddy : Euh... Ouais, j'veux dire : nan, t'as raison... Hem... bon, on y va ? Je prend la barre et la vitesse, Kiffa, le radar et les communications, Aven, les dérives d'énergie (boucliers, armement, etc...) et Nausicaä, tu observes attentivement l'un de nous, tu vas apprendre comment on pilote un engin de cette taille : c'est pas d'la tourte corellienne !
    Aven : Moi, j'veux bien, boss. Mais comment on fait sans énergie ? On devrait pas réparer, d'abord ?
    Le Leader : Euh... ouais, si ça peut te faire plaisir. Mettez-vous à vos postes, réparez ce que vous pouvez, et exécutez mes ordres. Go, Glark et Albert, essayez de nous trouver du cable pour refaire les branchements.

    Un looooooong moment plus tard (Jacquy avait eu cins fois le temps de tomber là, transformé en une masse informe de chairs carbonisées et déjà à moitié putréfiées), un curieux assemblage fait d'un aviso des douanes auquel était soudé un yacht Baudo, sur lequel était soudé un chasseur Y-Wing (ces deux derniers vaisseaux ayant été largement modifiés), et bien, cet assemblage se dirigea vers le vaisseau géant que Jacquy était déjà en train d'essayer de nettoyer méthodiquement à coup de laser chirurgical.

    :jf:

    dimanche 18 mars 2007 - 07:59 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Aven-Flar

    Aven-Flar

    5177 Crédits

    Missa Bombad technicien de bord : Dis, tu me la raconte ta blague.

    Méchant regard de la partenaire actuelle du patron.

    The Pacifier : (en chuchotant) T'as b'soin d'un dessin pour comprendre?

    Aven les bons tuyaux : Avec ton casque tu peux parler en privé, sauf si tu l'as dépouillé de tous systèmes technologiques pour le blinder.

    Edo "le duracié" : Euh...

    La district : Bon les silencieux, l'IPV est amarré, on pourrait entrer non?

    Ooooups, oublié de réparer les commandes de mes blasters, quel étourdi, c'est bien moi ça. Bah, l'IPV c'est pas un YT-1.300, je devrais pouvoir changer ça pendant la traversée...
    ...
    ...
    Oh et mer**, on fonce dans le tas et on abat ce qui reste, non mais sans blague! D'un pas assuré, je me dirigeais quand soudain :
    Bom!
    Oups, avait oublié le trou. Aille, mon pieds. Génial, vais devoir aller au combat en boitant. En haut, Edoras soupirait "Mais pourquoi je l'ais choisis lui!". Là vache! Ca fait mal!Je pris 2min pour récupérer.
    L'IPV vibrait doucement, c'était agréable. Enfin un vrai vaisseau, par comme ces DSI avec plus de 125.000 erreurs de conception, ça vaut pas un Victory II ou un Carrack. Un petit "Bip" toutes les 15sec indiquait le bon fonctionnement des senseurs, bref, toute une mécanique en marche. Les plans techniques de l'IPV et une évaluation des améliorations apportées, c'était un sacré bazard, mais chaque "truc" avait une place. Ma tête était un peu vide; je voguait dans un océan de vide, assis ans une barque ressemblant étrangement à un cockpit de TIE, y avait même la verrière.
    *"Bêta 3 en formation!
    - Bien reçu, Groupe Bêta, rejoignez le groupe Gamma, cette CORCOR-M DOIT être détruite!*
    CORCOR-M, qu'était-ce donc?... Ah oui, une Corvette Coreilienne Modifiée.
    *Ici Bêta Leader, nous rejoignons le groupe Gamma et engageons la CORCOR-M!*
    J'entends encore les grésillements de mon casque. On attaquait une Corvette Rebelle qui détenait soi-disant des documents de première importance pour l'Empire.
    *Ici Bêta Leader, Bêta 3, passez vers les moteurs, Bêta 2, suivez moi avec 4 et 5. 6, 7, 8, passez par en-dessous, avec mon groupe on va prendre par dessus. 9, faîtes diversion.
    (Un "Oui chef" se fit entendre dans les haut-parleurs de mon casque) Oui chef!*
    Nous nous étions séparés, la Corvette tirait de tous côtés, des X-Wing flinguaient des Chasseurs TIE, on avait le champ libre. En évitant quelques tirs, je me planquais derrière les moteurs, je sélectionnais les torpilles.
    *Groupe Bêta, les Torpilleurs ont été abattus, d'autres X-Wing se dirigent vers vous.*
    La painique, ont voyait rien, on avait pas de détecteurs. J'étais en stationnaire et larguais quelques torpilles avant de bouger un peu puis recommençais. Soudain, on les vis, 5 X-Wing qui arrivaient à fond, 2 se fit éclater, son cockpit de dissolva sous les lasers rouges. 4 et 5 virèrent de côté mais deux X-Wing les réduirent en pièces, un cri sur-aigu résonna dans mon casque, 4 s'écrasa sur la Corvette, ou c'était peut-être 5. 6 largua une torpille pour se fit pulvériser par un missile. Le Groupe Gamma, qui était armé de missiles à consussion engagea les chasseurs, des Intercepteurs arrivèrent pour nous aider. Le leader et le reste du groupe se rassembla.
    *3, continue, nous distrayons les chasseurs le temps que tu t'occupes des moteurs de la Corvette.*
    C'était les ordres, et ont les discute pas, une instruction gravé dans notre cerveau de pilote, comme le fait de respirer. Je vidais mon lance-torpille sur la Corvette. Les bombardiers explosaient les uns après les autres. Je vis le Leader foncer dans un X-Wing après avoir perdu ses deux ailes. 7 abattis un X-Wing avant de se faire descendre, 8 et 9 essayèrent de fuir mais ils explosèrent inévitablement. J'étais le dernier. Soudain, une Lancier débarqua en plein milieu de la bataille, les chasseurs Rebelles se firent pulvériser 1 par 1. Un A-Wing fonça sur moi et je perdis une aile. Il parraît que même après la bataille, je continuais de tirer sur l'épave de la Corvette et qu'une navette d'assaut dû me neutraliser pour la récupération. J'étais le dernier. Un groupe de mec géniaux pulvérisés par de la lumière concentrée. La "légende" dit que tous les hommes de l'Empire sont endoctrinés jusqu'à la mort. Faux, ils y croivent, ils savent que c'est de la propagande, biensûr, mais ils croivent en ce système. Je crois que j'ai passé du temps à l'hopital, ça devait être se jour là que j'ai quitté la Chasse. Je revint au monde réel. Les joues me piquaient, je pleurais. Peut-être que je n'étais pas aussi solide mentalement que je ne pensais. je ne savais pas pourquoi je m'y était replongé, ça ne m'étais jamais arrivé, même dans un vaisseau Impérial, je pensais avoir tout oublié : j'avais tord... Et pourquoi maintenant? J'ai rien fait pourtant qui puisse...

    Le Tyfférien : Aven, ça fait 10minutes.

    Sans mentir, je pensais que je m'étais assis depuis 2 heures. Je me levais pour repartir, bizarrment, mon pied ne me faisait plus mal. Heureusement que mon casque les empêchait de voir mes larmes. Le sas s'ouvrit, Le Pacifer était bien de l'intérieur, limite déco. Je pensais à un truc, tant mieux que mes camarades n'aient pas vu la fin de la guerre, ils auraient étés déçus. Je fis une petite prière Mandalorienne en leur hommage puis reprit le cours de la mission : terminer l'équipage du Pacifer.
    -------------------------------------
    Toutes choses ont une fin, sauf la saucisse, qui en a deux.

    "Notre passé est triste, notre présent est tragique, Dieu, merci, on a pas d'avenir"

    Ce message a été modifié par: Aven-Flar le 20-03-2007 17:41

    lundi 19 mars 2007 - 23:08 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Vous imaginez ça ? Un yacht et un Y-Wing, soudés sur un IPV de 150 mètres, qui aborde sans prévenir un Guardian de 40 mètres ?
    Bon, à bord de l'IPV, il n'y avait pas grand monde, mais dans le "Pacifier", on va être plutôt à l'étroit... Enfin, le carnage de Jacquy a du faire un peu de place dans les couloirs. Mettons qu'avec ce temps, il a du en flinguer une douzaine, reste à peu près la même chose...
    Le temps de coller une baffe à Aven pour l'aider à reprendre ses esprits (et puis, comme ça, il a mal ailleurs qu'à sa jambe et n'y pense plus) et nous passâmes à l'intérieur du vaisseau douanier...
    ... Pour tomber nez-à-nez avec un corps en uniforme, décapité, élégamment posé sur une auréole de sang. D'ailleurs, du sang, il y en a sur trois ou quatre pas de long, jusqu'au plafond... Jacquy devait avoir faim.
    Avançant joyeusement, tout en soutenant ma fille dont le visage était un peu pâle, nous arivâmes à un embranchement.

    - Euh... moi, je tourne à gauche, qui m'aime me suive. Les robots, vous restez ici.

    Sans me retourner, j'avançai tranquillement, croisante ncore quelques macchabées, avant ed tomber sur un type bien vivant, brandissant un fusil blaster à dispersion, une arme de répression massive...
    Je lui éclatai la boîte crânnienne d'un coup de talon et étalai sa cervelle sur des conduites d'air, comme des rillettes sur un toast.

    - Je crois qu'on nous souhaite la bienvenue.

    :jf:

    jeudi 22 mars 2007 - 11:20 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Nausicaa

    Nausicaa

    2200 Crédits

    Mon père me soutenait…ses corps…ça me donnait pire que froid dans le dos…je me sentais mal…écœurée par tout cela…Edo se mit à parler cela me réveilla, je l’écoutais. Je me décidais après quelques instants à suivre mon père, il m’avait fallut du temps pour reprendre mes esprits avec ses corps…rien que d’y penser j’en avais la nausée…Je me mis à courir après mon père et finit par le rattraper, quand je vis le corps de la personne qu’il venait de tuer, j’eu le haut-cœur mais je ravalais cela, j’avais une mission à accomplir.
    Nausi, tremblante : Bon…papa je t’accompagne mais si tu pouvais éviter ça…
    Je me sentis trembler et me reprenais, je respirais un grand coup et abordais un regard fermé, cela m’aidais à supporter plus facilement le dégoût. Mon père me regardait, je lui fis signe de la tête que ça allait passer. Il commença à avancer, je le suivais tout en sortant mon blaster de son étuis, je vérifiais qu’il était bien sur mortel, je ne l’avais pas bouger depuis tout à l’heure. J’avançais à la suite de mon père tout en respirant calmement et en évacuant mes pensées, après cette mission il allait falloir que je trouve des instants de calme pour récupérer tout ses morts…toutes ses personnes que j’avais tués de sang froid…mais je le devais c’était moi ou eux …j’avais appris ça grâce à mon père mais parfois je n’aimais pas ça…Je me reprenais, tenais mon blaster fermement entre mes mains, nous ne tardâmes pas à tomber sur des corps déchiquetés…ma nausée revint mais je la contrôlais rapidement et nous continuâmes notre chemin dès que j’apercevais un cadavre je détournais la tête et pensais à autre chose…cette mission allait m’éprouver mais j’étais là et je devais accomplir mon devoir coûte que coûte même si je devais en mourir, c’était mon devoir d’aller au bout…Je soufflais en avançant, mon père le sentais mais je penses qu’il savait que je pouvais me débrouiller, j’en suis capable, j’arrivais même à adresser quelques léger sourire quand mon père me regardait, même si nous étions là en mission ça me faisais plaisir d’être avec lui, en plus il m’insufflais du courage…

    vendredi 06 avril 2007 - 12:29 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    - Arrêtez le!

    Un tir explosa près de mon épaule.
    Passé un peu trop près, celui là.
    Je continuais à courir dans les rues perdus des pires niveaux de Nar Shaada.
    Quelle idée de venir se perdre dans ce trou puant.
    Mais après notre coup magistral au QG, nous avions décidé de nous séparé pour faire une cible moins groupé.
    J'avais à peine quelque nouvelle de Jes, un vague message alcoolisé de Leewa, rien de PO, ni de personne.
    Pire, pas de nouvelle de ma zeltron préféré.
    Nous avions été séparé au cours de nos périgrinations, peu avant que je perde mon comlink.
    J'avais alors décidé de passer mon ennui en buvant et en jouant au sabbac. Pour perdre, bien sur, et pas des sommes dans mes moyens immédiat.
    Bref, seul, paumé, un peu la gueule de bois, bien que se faire tirer comme un eopie désoule vite, et poursuivis par un bande de guignol mieux armé et plus nombreux.
    Y'a des fois...
    Un mec jaillit de nulle part, et tenta de me frapper.
    Peu entrainé, sans doute, il fut facile à parer. Je le repoussais violement contre un mur. Il gronda (il était shistavnéen) et bondit.
    Je l'acceuili d'un coup de coude à la machoire. Quelque chose craqua. Il s'éfondra à terre, visiblement KO. Je pris son arme, un DL 44 modifié.
    Un tir me frola. Au bout de la ruelle, quatres autres types me prenait pour une cible d'entrainement.
    Je leur lançais le blaster modifié. Surpris, ils cessèrent leurs tir un quart de seconde.
    Epaulant mon DC-15, je tirais sur l'arme. Le générateur modifié explosa, déclanchant les grenades d'un (pauvre) duro.
    Ils disparurent dans une boule de feu.
    Toujours ça en moins.
    Je dépassais les corps calciné, et m'engagais dans une nouvelle ruelle, puis une autre, puis... heu...
    Oh non! Perdu! Manquait plus que ça...

    mercredi 26 septembre 2007 - 01:25 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Jesand

    Jesand

    7509 Crédits

    - Et bien en voilà une idée!, s'écria Jes' dans le cockpit du Saber.
    - Une idée de cinglée, si tu veux mon avis.
    - N'empêches que nous nous sommes posés.
    - On va tous y laisser notre peau.
    - Si vous voulez pas sortir, rester ici. Lyster est bon à l'holo....
    - On a compris!
    Jésand allait répliquer '' qui m'aime me suive'', mais se ravisa. Personne n'allait le suivre, soit parce qu'il ne l'aimait pas, ou soit parce qu'il tenait à leur vie. La deuxième option était plus tentante.
    - Lyster, Armif, occupez-vous pour que personne ne touche à mon Saber, sinon ils vont connaître le Vurk le plus recherché du monde. Quert et Zol, restez ici. Deux vieux de la vielle sont le bienvenue pour une supervison. Fréquence normale pour le comlink.
    - D'ac, Jésand.
    - Krystal, Zephyr, vous venez?
    - Pas trop le choix.
    - Soit mourrir ici, soit mourrir là-bas... Je préfère là-bas.
    - Bande de pessimistes, lança Jésand en se penchant la tête pour quitter par la rampe d'accès.
    Il se releva et remarqua que le hangard était vide ; même pas un droîde mécanno. Rien. Le silence total.
    - Je n'aime pas ça...
    - Soit un Guildeur est passé, soit on est foutu.
    - Je préfère la troisième option ; On est juste chanceux, termina Zephyr en voyant les regard des deux autres.
    Il étira ses deux ailes et les rétracta vers son dos. Le groupe passa par une porte coulissante-verticale, continua dans un dédal de couloirs plutôt sombre, et arriva dans la cîté de la contre-bande. Tout en discutant amicalement, ils prirent un chemin parmis les nombreuses ruelles et marchèrent un bon bout de temps.
    - On va où?
    - 'Sais pas...
    - COMMENT?
    - Je cherche un lieu qui me plaît. On devrait trouver une mission dans un coin bizarre..
    - On est perdu?
    - Le Saber peut nous retracer.
    - Ça c'est si on est pas pris en fillature!
    - Halala!
    Ils avancèrent de quelques pas et débouchèrent dans un longue ruelle. Krystal se heurta sur une masse informe et rougeâtre au sol dans un ''toc'' sonore.
    - Ouatch!, cria Krystal en reculant. Ça fait mal ce truc!
    Jésand regarda le corps et regarda par la suite un peu partout. Zephyr se pencha et regarda de prêt, le bout de son arme foulliant le corps.
    - Armure assez solide, tranchée par une arme blance, machoîr brissé. Le pauvre, il c'est fait donné une raclée. Son arme est de l'autre côté de la ruelle... Jes'?
    - Ouais?
    - Tu vois quelqu'un?
    - Non, rien, le calme plat. Mais si on continue par là, dit Jésand, pointant la ruelle de droite, on va trouver le reste de corps. Il y en a même un qui semble fumer... Le gars qui a passé c'est se défendre.
    - Je ne reconnais pas l'emblême de ces types. Des mercenaires, sûrement.
    - On ne reste pas dans le secteur, lança Krystal peu encline à avoir une bataille dans le millieu de nul-part.
    Zephyr rengaina son arme et ils se remirent en marche, un peu plus aux aguets. Niveau ambiance, l'atmopshère n'aidait pas. Le coin était sombre, les murs noirs munis de graffitis de couleurs plus criardes les unes que les autres. Il manquait plus que du brouillard et on avait une belle petite scènette!

    Ps : pas de logiciel de correction pour une meilleure révision^^.

    vendredi 28 septembre 2007 - 05:30 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Nous arrivâmes bientôt à un autre embranchement. Un long couloir, deux portes à gauche, une porte à droite. Ayant scanné le plan d'évacuation au passage, je l'affichai sur le brassard droit de mon armure. Il m'apprit qu'il y avait là la salle de repos de l'équipage, le mess et la salle de "DT".

    Kiffa : C'est quoi la salle de DT ?
    Konix : Comment tu veux que je le sache ? Sur le plan, c'est noté comme du matériel militaire. Peut-être des blasters, ou un acronyme désignant des "détonateurs thermiques" ?
    Nausicaa : Des détonateurs thermiques à bord d'un vaisseau ? C'est pas dangereux ?
    Aven : Si, très. De toute façon, c'est la dernière porte, on vide d'abord les deux autres, je prend la première à gauche.

    Malin, le mandalorien ! Une porte à gauche est toujours plus facile à couvrir, quand on est droitier. Albert épaula son A-280 et s'accroupit derrière Aven, au centre du couloir. Glark se mit en face d'Aven, de l'autre côté de la porte, prêt à bondir dans le mess. Kiffa, Nausicaa et moi-même nous occupâmes de la porte à droite : Je dépassai cette porte pour qu'elle soit à ma gauche, dos collé au mur (bien qu'étant ambidextre, je préfère qu'elle soit à main gauche, pour Corellia). Nausicaa se mit derrière moi, serrant fort la crosse de son blaster. Kiffa se mit en face de moi, de l'autre côté de la porte, saisissant sa vibrohache et sa vibrolame, prête au carnage. Derrière cette porte, la salle de repos de l'équipage, il pouvait y avoir entre zéro et six types là-dedans. Peut-être quatre dans le mess. Ki-Adi, notre Chiss d'amour, avait réussi une entrée discrète, bien que sanglante.

    * Quand je lèverais trois doigts. Un... deux... allez, allez, allez ! *

    Kiffa et Glark ouvrirent les portes avec un synchronisme déroutant. Albert tira le premier, faisant éclater la tête d'un quartier-maître de première classe. Glark et Kiffa entrèrent et se jetèrent sur le côté dans une belle roulade. Aven et moi-même commençâmes à tirer... j'épongeai un sergent et deux marins occupés à jouer aux cartes. Je fis un pas de côté et Nausicaa abattit un canonier qui me visait avec un blaster de poche B-22. Un joli tir, bien centré sur le coeur, comme je lui avais appris (je préfère tirer directement à la tête, mais cela implique une dose de violence létale personelle, dirigée précisément sur la cible par un sentiment proche de la haine, que Nausicaa ne pourrait utiliser). Kiffa venait d'égorger un machiniste. Salle vide. Je ressortis aussitôt et me retournai... pour me trouver devant une énorme masse de 2 mètres de phrik, métal fort résistant. Je fis un bond en arrière, entraînant Nausicaa dans la salle de repos. Des tirs de laser crépitèrent à l'endroit où je m'étais trouvé une demi-seconde plus tôt, noircissant le mur.

    Édoras : A terre ! Je sais ce que veut dire "DT" ! Dark Trooper ! J'en ai vu un seul, un gros qui em bouchait la vue, phase deux, mais il doit y en avoir d'autres... la pièce est assez grande pour en contenir six ou huit.
    Aven : Haar'chak ! On ne peut pas y aller à la grenade : derrière le mess, c'est l'espace !
    Eddy : Et un tir trop proche nous renverait les débris : les droïdes sont ausi dangereux quand ils explosent que quand ils vous retournent le feu.
    Nausicaa Terrik-Solo : Tu n'as pas tes grenades électromagnétiques sur toi, papa ?
    Ed' le honteux : Les IEM... j'avais oublié !

    :jf:
    -------------------------------------
    Édoras Konix Terrik
    Ex-Leader de la Guilde, retraité
    Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !

    Ce message a été modifié par: Edoras le 08-10-2007 10:55

    lundi 08 octobre 2007 - 10:54 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    Ma situation ne s'améliorait guère.
    Un peu moins perdu, un peu moins saoul, mais un peu plus poursuivit.
    Bon, perdre contre un Trandoshéen, c'est pas très fin.
    Pas le payer, c'est pire.

    Un tir m'atteignit à l'épaule gauche.
    Faible intensité. Rien de grave. Continuer de courir.
    Un gros bras tenta de me barrer le passage. Il se prit un coup dans le menton, qui le fit reculer. Je m'élançais dans un escalier, bousculant une pauvre dame.
    Je l'entendis hurler un moment. Le cri cessa brusquement. Trop brusquement. Mon « ami » saurien ne lui aura pas laissé le temps d'ameuter du monde.
    Encor qu'ici, pour que les gens bougent...
    Dire que je pourrais risquer ma vie pour de l'argent.
    Mais non, je suis là, à fuir...
    « Attend... mais pourquoi je fuis, au juste? »
    Je décidais de ne plus me laisser faire. Je suis un Réprouvé, non? J'épaulais mon DC, et me barricadais du mieux possible.

    La porte vola en éclats qui traversèrent la pièce. Un morceau de métal traversa même mon couvert (pas si couvrant que ça.)
    Je jettais un rapide coup d'oeil. Mon sang se glaça. Un fusil à concussion!
    Son porteur, un humain à la tronche patibulaire, me mit en joue.
    Bondissant sur une porte, je l'ouvris d'un coup d'épaule et entrais dans cette nouvelle pièce. Le tir raté réduisit ma dernière planque en un cratère fumant.
    Pauvre poprio.
    Je fermais la porte, me demandant quel en était l'intérêt.
    Le bruit caractéristique de l'arme se fit entendre. Une explosion créa une nouvelle entrée, directement dans le mur.
    J'ouvris le feu.
    Le tir suivant me manqua de peu. Je ne dus mon salut qu'au lit qui absorba le choc.
    Profitant du temps de recharche, je me levais, visais, et touchais l'humain en plein front. La réponse ne se fit pas attendre : une pluie de laser m'obliga à plonger au sol, tirant au jugé. Un cri m'appris qu'un tir avait fait mouche, et un bip que ma cartouche d'énergie était vide.
    Il est à moi, sombre larve! Hurla le trando.
    Je me relevais... pour voir le corps inerte de l'homme de main restant tomber à terre, tué par son propre patron.
    Ah! la bonne humeur légendaire des trando...
    Le dit lézard sorti une vibro lame de bonne taille. Je m'emparais de ma vibro hache.
    Il se jetta sur moi.
    Attrapant une chaise, je la lui lançais. Il ne la para même pas. Elle s'écrasa sur son torse sans le ralentir. Il frappa. Je parvins à parer, mais le coup me fit chanceler. Il tanta de placer un nouveau coup, que je parrais. Je frappais d'estoc, lui perçant le flanc. Il recula en criant de rage, m'arrachant mon arme des mains. Elle alla voler de l'autre coté de la pièce. Avec un sourir menaçant, il se jetta sur moi.
    Je sorti mon blaster de poche et lui tirais en pleine tête. Il recula en criant, portant ses mains à son visage. Je bondis, faisant apparaître ma lame à mon poignet, et l'enfonçant dans sa gorge. D'un mouvement tournant, il me projetta contre le mur opposé. Relevant mon regard, je le vis, avançant chancelant mais néanmoins menaçant, malgrès sa gorge saignant abondament et le cratère noir sanguinolant remplaçant la moitié droite de son visage.
    « Mais il lui arrive de mourir? »
    J'avisais ma hache près de moi. Je m'élançais vers elle, retenant à grand peine une grimace de douleur. J'avais au moins une côte félée.
    Il frappa, mais fut trop lent. J'évitais son coup, et lançais mon arme dans un mouvement circulaire, le décapitant.
    Je m'écroulais au sol, haletant sous l'effort et la douleur.
    Finalement, la fuite, parfois, c'est plus simple...

    lundi 22 octobre 2007 - 01:38 Modification Admin Réaction Permalien

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