Les Trafics pour La Guilde (page 27)

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Si on nous proposait un cinquième forums pour la Guilde, qu'en feriez-vous ? (46 votes)


  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    J'avançai un moment, peinard, mes blasters à la main, jusqu'à ce que j'entende un bruit singulier qui s'approchait derrière moi.
    Ca faisait "Tom tom tom tom, gniiiii" et "pffff...", le tout sur un rythme de marche funèbre.
    Plutôt intrigué, je m'arrêtai et attendis. Je vis bientôt arriver un Poli-Massanien, la tête penchée et le dos rond, traînant son blaster lourd derrière lui comme s'il pesait des tonnes. Un TX-1118 le suivait, d'un pas cadencé, agité de spasmes.
    Incroyable mais vrai : mon tueur d'élite maniaco-dépressif était parvenu à foutre le cafard à un droïde assassin !

    Albert : Tiens ? Boss... Je ne te demande pas comment ça va : tu es encore vivant, à bord d'un vaisseau ennemi fumant et crépitant, avec des arcs électriques de 50.000 Volts qui peuvent te frapper à tout moment. Heureusemnt, c'est pas les Volts qui te tueront : ce seront les ampères, et il y en a assez pour griller un bantha...
    Moi : Allons, courage ! Euh... avec la baraka qu'on se paye, on va s'en sortir, euh... il faut s'occuper du générateur de secours.
    Albert : Oh, bien sûr... avec la chance qu'on a, on va sûrement se tromper de bouton et enclencher l'autodestruction... si on a encore un peu de chance. Non, on va sûrement faire un trou dans la coque, et on sera aspiré dans le vide spatial... notre mort sera rapide, heureusement, mais elle sera particulièrement douloureuse.

    C'est ainsi que nous avançâmes joyeusement vers le générateur de secours. Soudain, une secousse fit trembler l'appareil et je me retrouvai à terre. Mon casque cogna contre la paroi et je me redressai d'un bond, quoiqu'un peu sonné.
    Albert : Et voilà. Encore une belle façon propre et nette de mourir, et on est toujours vivant. Et d'après mes oreilles, une troupe d'une vingtaine de soldats s'approche de nous avec des armes lourdes.
    Mézigue : Al, la ferme ! Aven essaye de me contacter !
    " On est là! Apparemment le génénérateur secondaire a explosé! On va profiter de la surprise pour prendre la cabine du capitaine, rejoins-nous vite parce que là c'est la m**de alors grouille toi!

    Albert est peut-être un chieur professionnel, il n'empêche qu'il est parfois bien utile -- si on connait son goût pour l'exagération fataliste. Dans sa bouche, une "vingtaine de soldats avec des armes lourdes" pouvait se traduire par "une douzaine de type équipés de disrupteurs assomants, d'un poids moyen de trois kilos, ce poids étant dû à l'ignorance et/ou à l'incapacité du fabricant".
    Bref, j'évitai sans trop de peine ces zigotos, en trucidai un peu plus de la moitié d'un à cinq tirs dans la poitrine par personne, et Albert élimina le reste de tirs ajustés dans la tête.

    Nous étions parvenus au couloir menant à la cabine du capitaine -- couloir gardé par de véritables soldats armés de E-11, de DH-17 et de grenades assomantes -- lorsque Kiffa nous rejoignit pour nous apprendre la capture d'une partie de l'équipage.
    Après avoir échangé un baiser quelque peu réconfortant avec la Twi'Lek, je me décidai à réfléchir au moyen de passer sans se faire trucider.

    :jf:

    dimanche 11 février 2007 - 10:07 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Nausicaa

    Nausicaa

    2200 Crédits

    Pour tous dire, je me faisais c**** là, enfin je faisais joujou avec mon blaster pour passer le temps quand j’entendis un bruit derrière, moi je me retournais un des membres d’équipage venais de se réveiller et avais défait ses liens « Le prochaine, je serrais plus fort… »
    Nausi : A ta place je ne bougerais pas mon grand, si tu tiens à finir à ta vie ici c’est à ton honneur, je n’hésiterais pas à tirer.
    Cet idiot fis l’inverse de ce que j’attendais, je tirais un coup, la slave de mon blaster lui arriva entre les yeux, je vis le corps de l’idiot tombé lourdement à terre.
    Nausi : Dommage pour toi mon grand…
    Le tir de blaster et la parlotes avec le cadavre qui gisait à mes pieds réveillas plusieurs autres membres d’équipage, ils défirent leurs liens avant que je ne réagisses « La prochaine je serrais plus radicale… ».
    Nausi : Manquais plus que ça, je vous prierais messieurs de bien vouloir vous rendormir…Non, c’est pas possible…Dommage…
    Ils étaient une bonne dizaine, j’avais deux solutions ou je m’en occupais ou je me partais, j’optais pour la première solution bien que je savais que je n’aimais pas ce que j’allais faire, si je partais j’en connais certains et en particulier un qui sera déçu par l’attitude de sa fille, je soufflais un coup.
    Je regardais mes futurs victimes quelques secondes. « Va s’y ma grande ne perds pas de temps… ». Je tirais dans le tas, puis je sentis l’un des membres de toucher, je lui attrapais le poignet et le mettais au sol, tirais une slave puis le lâchais, je continuais ainsi pendant quelques minutes, j’eu quelques petites difficultés mais ça passa. A la fin, je regardais les cadavres qui était là, puis regardais les membres d’équipage qui c’était réveillés et me regardais et ceux encore endormis. Je savais que je n’avais pas trop de choix si je voulais éviter d’avoir des problèmes, je répugnais cette acte, j’aurais presque préférée me tuer…Fermant les yeux, je leur tirais dessus sans sommation.
    Nausi dans un souffle : Pardon…
    Je me retournais, mettais mon blaster à ma ceinture, regardais si j’avais des blessures, une légère entaille à la jambe, un bleu au niveau de mon épaule en gros pas grand chose, j’ai vu pire. Maintenant que ils n’y avaient plus personnes en vie ici, ça ne servais à rien que je reste, je me décidais donc d’aller voir mon père, il saurait bien m’occuper. Je prenais un bout de tissu dans le petite pochette que j’attachais fermement au niveau de l’entaille, puis attrapais mon blaster, vérifiais bien qu’il était sur le mode mortelle, sortais dans les couloirs du vaisseau suivis du droïde.
    Comme déjà d’une je ne suis pas super niveau orientation et que de deux je ne connaissais pas ce vaisseau, j’eu vite fait de me perdre^^, mais qu’elle douée je vous jure. Je rencontrais d’autres personnes, le droïde se chargé en grande partie de les achever, je commençais à avoir eu ma dose de sang et de mort pour la journée, je commençait même à en trembler. « Reprends toi Nausi, que dirais Edo si il te voyait comme ça… » Cette réflexion eu pour but de m’énerver plus qu’autre chose, je commençais à en avoir marre de tuer, Edo arrivait peut-être à tenir avec sa conscience mais la mienne commençais à peser lourd très lourd.
    J’arrivais enfin à trouver l’endroit où était Edo, il réfléchissais, je remettais mon blaster à ceinture, adressais à un regard à Kiffa pour voir si elle n’avait pas eu de problème, puis me décidas à parler à Edo.
    Nausi : Désolée de te déranger Pa, nous n’avons plus d’otages dans le dortoir ils sont tous morts…Je suis à ton service père.
    -------------------------------------
    Nausicaa Correlia Terrik Sharkin
    Filleule et esclave de Angounette.
    Folle et fière de l'être
    Vive Nor-Win, Jenna et ma fraise à la chantilly ( elle se reconnaîtra )


    Ce message a été modifié par: Nausicaa le 11-02-2007 12:23

    dimanche 11 février 2007 - 12:22 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Quelque chose me blessa dans le ton de Corellia.
    Elle n'aimait pas tuer. C'était clair. Même enfant, j'avais eu facile, moi, mais était-ce une bonne chose ? Quand je suis passé de l'animal à l'être pensant, qu'ais-je ressenti ? De la haine, uniquement. De la haine pour venger les miens.
    Elle n'avait aucune raison d'éprouver celà, et c'était bien.
    Au moins, elle avait su faire ce qui était nécessaire.

    Je la serrai dans mes bras. Curieuse image que celle d'un guerrier en armure, armé jusqu'aux dents, tellement ému qu'il ne pouvait que serrer sa fille dans ses bras.
    Je la regardai dans les yeux.
    Édoras : Tu es une bonne fille, Nausicaä. Tu ne dois pas t'en vouloir. L'important est d'essayer de fair ce que te dicte ton coeur. Si les évennements extérieurs t'en empêchent, alors tu n'es pas responsable.
    " Ses hommes étaient des soldats, pas des innocents.
    " Tu ressembles beaucoup à ta mère... à notre retour, je lui demandrai de t'apprendre à gèrer ta conscience.

    " Bon, j'ai une idée. Il y a un soupirail, sur le côté. Il faut que quelqu'un passe par là et se glisse jusqu'aux pieds des soldats. Après, un détonateur léger fera l'affaire. Albert nettoiera les survivants. Mais il faut qu ecelui qui se charge du détonateur referme rapidement la trappe et soit protégé...
    ... Il faut une armure mandalorienne.
    C'est mon idée, c'est à moi d'y aller. Kiffa, reste ici avec Nausi, toutes les deux, protégez nos arrières. Faites avancer les droïdes quand l'explosion retentira, ils garderont l'autre côté du couloir.

    Dans ma radio de chef d'équipe, je pouvais entendre des chuchotements et des gargouillis étranglés : Gortipka et l'Egorgeur faisaient de l'excellent travail.
    Aven Flar seraient sûrement bientôt là.

    :jf:

    lundi 12 février 2007 - 05:52 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Nausicaa

    Nausicaa

    2200 Crédits

    Des fois j’en voulais à mon père, mais parfois je l’aimais, il faut dire que je n’ai appris à la connaître que après que je sois aller chez les Jedi avant je ne le connaissais pas-enfin de nom seulement. Au début, j’avais même beaucoup de mal à le considérer comme mon père. Mais aujourd’hui il m’emmène avec lui, il me protège, il m’apprends pas mal de choses, je ne l’aurais jamais cru ainsi au départ, comme quoi il ne faut pas juger les personnes avant de les connaître, je le sais bien maintenant et je m’en souviens.
    Edo était parti devant posé le détonateur, Albert attendais e bruit de la détonation comme moi et Kiffa, j’avais la main posé sur mon blaster prête à tirer si je le devais. Je regardais vers le couloir, tendant l’oreille pour entendre le moindre son, pour une humaine j’avais une bonne ouïe mais je pense que Kiffa entendait mieux que moi, elle était plus habituée au métier que moi. Au bout de quelques minutes, je commençais à me demander si Edo n’avait pas échouer et pourquoi je n’entendais rien, je regardais derrière moi, questionnant Kiffa du regard, la Twi’Lek me sourit doucement pour me rassurer, son sourire me ramena une certaine sérénité « Edo à bien choisi sa compagne, cette Twi’Lek est vraiment exeptionnel… » pensais-je, puis je revenais à mon couloir, je tripotais mon blaster mais faisait attention, quand j’avais accompagné Jen pour sa mission au VA, j’avais tiré sur un Hutt sans le faire exprès, saleté de mèches blondes. Je commençais à tourner en rond, je dois avouer que je suis pas des plus patiente quand je suis en mission, en plus je n’avais rien pour m’occuper, j’aurais pu parler à Kiffa ou Albert pourtant je ne le fis pas.
    Une explosion me secoua, je prenais mon blaster bien en main. Albert commerçais déjà à partir, Kiffa et moi restions derrière pour bien surveiller les arrières. J’envoyais les droïdes comme l’avait demandé Edo.
    Nausi : Je sens qu’on vas avoir de pain sur la planche, avec le bruit de l’explosion ça va rappliquer ici.
    Je dis cela à Kiffa avec un léger sourire, elle me sourit. Elle se plaça prête à toute éventualité, je la regardais faire et fis de même. Je jetais à un coup d’oeil pour apercevoir Albert mais je ne le vis plus il était plus loin. Nous avancions doucement vers l’endroit de l’explosion, surveillant le couloir. Des soldats arrivèrent, Kiffa et moi tirions, je me répétais ce que m’avais Edo quelques minutes plus tôt, j’évitais les tirs et tirais. Des plus en plus de personnes arrivaient, mais Kiffa et moi finirent pas en venir à bout, je commençais à fatiguer mais la Twi-Lek elle était toujours en bonne forme, je cachais ma fatigue derrière un visage fermé. Kiffa et moi recommencèrent à avancer vers le lieu où Edo avait posé son détonateur. Quand nous arrivions enfin, je ne vis que des cadavres certains tués par l’explosion d’autres par Albert. Edo était là avec Albert, je lui signalais que Kiffa et moi allions bien que nous avions aucun problème majeur. J’étais plutôt calme, je commençais à m’habituer aux cadavres, au sang, je n’avais presque plus cette boule au fond du ventre et à la gorge peut-être étais-ce bien mais je n’aimais pas trop ça, même si cela m’évitait de me sentir mal, je préférais avoir cette sensation pour me rappeler que je dois tuer que lorsque c’est nécessaire…

    lundi 12 février 2007 - 14:10 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Aven-Flar

    Aven-Flar

    5177 Crédits

    L'IPV, un patrouilleur de conception Impériale. Je le connaissais comme ma poche. Immédiatement je me dirigeais vers la salle des moteurs. En fait un IPV, c'est pas très grand, c'est un peu comme si on empilais 3/4 YT-1300 en hauteur. Pi ptet 1.5 de largeur. Et euh... enfait, à part le plan intérieur, je savais pas grand chose, mais c'était déjà bien. Enfin, oui bon j'me comprend. Quoique. Oh tien, un Polis Massien. On épaule le fusil. Ahh... ahhhh, presque...

    Bip. Code 99913.

    Merde, une comm. 99913? C'est Edo. Euh, alors, je répond ou je répond pas? Bah, aller je vais répondre. L'autre attendra.

    Aven THE Flar : Ouai? Qu'est-ce qu'il y a nomdiju?

    Edo THE Ras : J'ai un équipier Polis Massien qui est en route pour te guider vers nous.

    Oups, là gaffe que je viens d'éviter.^^ Je sortis de la planque et le Polis Massien m'aperçu.

    Un truc qui a falli se faire vaporiser : Eh toi! Là! Dépeche toi, suis-moi, on a besoin d'aide! (ses yeux se plissèrent et sa bouche se déforma) A moins que vous n'êtes pas celui que je cherche. Oh mon Dieu! Je n'ais pas trouvé la bonne personne! Zut zut! (il sortit maladroitement son blaster) N'approchez pas ou je vous flingue!

    Hum. Oui bon, On va dire qu'il porte le nom d'"équipier", en tout cas, j'aimerais pas avoir ça dans mes pattes.

    Missa : Calme, calme. Je suis celui que tu cherches. Où est Edoras?

    Le trouillard : Il est peut-être déjà mort! Oh mon Dieu! J'ai peut-être perdu mon patron et...

    Aven (légèrement en colère) : IL EST OU???

    Il tiqua un peu. Puis sembla se reprendre.

    Le calmé : Excusez-moi, venez je vous conduirais à lui.

    En un soupir, je me mis à courrir, histoire le rattraper il était déjà parti...

    lundi 12 février 2007 - 19:05 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Récapitulons... l'IPV est K.O., la cabine du capitaine est à nous, la salle des machines aussi et une grosse partie de l'équipage est décédé.
    Ca commence bien.

    Après avoir sollicité l'aide d'un détonateur thermique, je pu accéder au cybercoffre personnel de môssieur le capitaine. Des papiers sans importance, un ordre de mission pour les banques de données de la Guilde, une lettre coquine avec l'adresse de sa maîtresse (pour mes archives personnelles, ça peut toujours être utile), des bijoux, les plans du vaisseau...
    Des bijoux ?
    C'est à ce moment qu'Aven se pointa.

    Édoras : Hé, m'chou ! J'ai trouvé comment payer notre prise de risques ! C'est bon, on peut continuer !
    Aven : Mouais, 'faudra les changer, on y perdra un peu au change...
    Kiffa : Ca dépend à qui on s'adresse, et comment.
    ... Fit-elle en secouant son blaster.
    Ce que je peux aimer cette Twi'Lek !
    Je me rendis compte que j'étais en train de faire la démonstraton de mon sourire niais devant toutes mes troupes.
    Je me ressaisis.
    " Bon, ils doivent s'être barricadés avec le Capitaine sur le pont principal, ils sont faits comme des rats. Les droïdes, avancez en tuant l'équipage, convergez vers le pont principal.
    " Nous, on va d'abord faire un détour par le pont inférieur : on va jouer à la taupe et les prendre par en-dessous.
    " Allez !

    -------------------------------------
    Un moment plus tard...
    Tic Tac, Tic tac...
    Grmm... on ne sait jamais se concentrer sur une attaque massive sans être dérangé par un bruit.
    Surtout que celui-ci est plutôt stressant...
    Bon, tant pis, je balance la grenade.
    ...WHOM !!!
    Ca, c'est fait. Maintenant, il faut monter là-haut et descendre tout le monde.
    Ah ? mon cerveau surdévellopé à identiféi ce bruit : c'est le compte à rebours de l'autodestruction.
    'Va falloir débrancher ça, fissa. Problème : pour ce faire, il faut s'emparer du pont et obtenir le code du capitaine. Second problème : le capitaine est armé, les autres aussi et ils tireront à vue. La preuve : ils ne nous voient pas encore, mais il tirent par le trou quand même.
    Pff... monde cruel.

    :jf:
    -------------------------------------
    Édoras Konix Terrik
    Leader de la Guilde
    Pus d'vornskr ! Y a plus de p'tits profits !

    Ce message a été modifié par: Edoras le 16-02-2007 14:43

    jeudi 15 février 2007 - 19:31 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar ki-adi-mundi

    ki-adi-mundi

    2974 Crédits

    Alors qu'il regardait un brain nostalgique, un holo-film de la Reine-Mère de Hapès, ki-adi reçut un message sur la fréquence de la guilde. Le code d'identification était celui d'Edoras. Eteignant son film, il alluma la consolle de communication.

    === Besoin... aide.... capturer un vaisseau.... Bonadan ===

    Le message était cour et plein de parasites. Malgrès cela le chiss était bien décider à aller voir sur place de quoi il en retournait. Il entra Bonadan dans la banque de donné du Vétéran afin d'obtenir quelques informations.

    ki-adi : Bonadan, capitale du Secteur Corporatif. Dans quel pétrin ils sont encore allé se fourrer ?

    Il entra les coordonnées de la planète dans l'ordinateur de bore afin qu'il puisse calculer un vecteur de départ. Pendant ce temps, monta sur son siège et ouvrit le faux plafond du vaisseau. Prévoyant, ki-adi y gardait toujours un blaster pret à l'emploi ainsi qu'une boite de cigar. Il en sortit un et se l'alluma.

    ki-adi : J'espère au moins qu'il aura une bonne prime.

    La consolle de nagivagation s'éclaira, le vecteur venait d'être trouvé. Le chasseur de prime pianotta sur les touches, déclanchant le passage en vitesse lumière. Les étoiles se transformèrent en long traits de lumière et le vaisseau grinça du cockpite à l'assiette. N'y prétant guère attention, ki-adi se leva et commença à se préparer pour la mission à venir.

    Quelques heures plutard, le Yv-666 réapparut dans l'espace de Bonadan. A travers la verrière, le chiss distingua plusieurs vaisseaux. Il reconnu un IPV qui semblait en assé mauvais état, ainsi qu'un Guardian rutilant. Il chercha du regard le vaisseau d'Edoras, en vein. Pianottant à nouveau sur la console de communication il lança un message sur la fréquence de la guilde.


    ki-adi : Ici reine bleue, le loup et dans la bergerie, je répette le loup et dans la bergerie.

    Pour toute réponce, ki-adi reçut le silence du vide spacial. Il vérifia ses coordonnées, des fois qu'il aurait fait erreur, mais tout lui sembla en règle.

    ki-adi : On dirai que je suis arrivé le premier.

    Prenant en main les commandes, il dirigea le vaisseau vers le Pacifier. Arrivé à distance de tire il prit lança dans la console de com.

    ki-adi : Ici Jocell Nuruodo, capitaine du vaisseau diplomatique Vétéran. Nous venons d'essuyer une attaque de pirattes, la coque est persée et je pense pas que le vaisseau soit en état d'attérir à l'astroport. Demande assistance.

    Depuis sa mission diplomatique sur Hapès, le chasseur de prime n'avait pas eu le temps de repeindre son vaisseau, qui arborait donc les couleurs de la paix (le rouge et le blanc). Il n'avait même pas encore remis les armes, ce qui donnait au cargo un air totalement inoffencif.

    Voie : Très bien Vétéran, éteignez vos réacteurs, nous allons vous tracter à bors. Avez vous des blessés ?

    ki-adi : Mon mécanicien a pris un refroidisseur en pleine tête, il est inconscient et a perdu beaucoup de sang.

    Voie : Nous vous apprétons une équipe médicale.

    Ki-adi sourrit à pleine dent, son plan marchait comme sur des roulettes. Le vaisseau fut tracté lentement à l'intérieur du Guardian. Lorsqu'il arriva à l'intérieur du hangar, le chiss ouvrit une des fenêtres latérale. Une dixaine d'hommes, principalements des médecins et des millitaires entrairent dans la salle. A travers son cockpite, ki-adi distingua un bras rotatif, sortant du plafond et au bout duquel était installé un canon laser. Il s'agissait apparemment du seul système de défence intérieur. Le chasseur de prime, enfilla son gillet en kévlar et commença à s'armer.

    Soldat : Vous pouvez ouvrir votre écoutille, votre vaisseau semble en règle.

    Ne se faisant pas prier, Jocell enclancha l'ouvertur de l'écoutille qui descendit lentement. Les yeux rivés sur celle ci, les millitaires et les médecins ne virent pas le chiss passer son fusil-blaster à travers la fenêtre entrebaillé. S'en suivit un déluge de feu, qui s'abbatit sur les hommes d'équipages. Ceux qui ne s'écroullèrent pas, frapé par une décharge mortelle prire la fuite, scellant derrière eux les portes du hangar. Ki-adi rengea son arme, courrut vers la consolle du vaisseau et en leva les boucliers. Un fraction de seconde plutard, une décharge de canon laser vint rebondir contre lui. Au pas de course, le chasseur de prime attrapa son lance rockette hapien et sortit par l'écoutille, qui était maintenant grande ouverte. Il pointa son arme vers le bras articullé et tira. Sous la puissance du recul, le chiss tomba au sol, mais son projectile frappa de plein fouet sa cible qui s'écrasa à terre. Un syrène retentit dans tout le vaisseau, si le jeune homme avait put profiter de l'effet de surprise, il n'en avait désormé plus la possibilité. Se relevant il sortit la télécommande du Vétéran, afin d'en activer le système de sécurité. Puis toujours dans l'improvisation la plus totale, il chercha un moyen de quitter le hangar. La bouche d'aération lui sembla être la meilleur échapatoire. Fouillant l'étuit attachait à sa jambe, il en sortit un termo-cutter avec lequel il commença à découper la grille. Une foie l'oppération terminée, il s'engoufra d'en l'étroit tunnel et replaça la grille. Rempant dans l'étroit tuyau, il se mis à sifflotter. Arrivé à une autre bouche d'aération, il la découpa et descendit de sa cache. Il déboucha sur un étroit couloir à travers lequel il n'y avait pas ame qui vive. Pas mécontant de ce moment de répis, il brancha son data-bloc à une base de donnés plaqué dans la mur. Il téléchargea les plans du vaisseau et remonta dans le conduit d'aération.

    ki-adi : Bon je crois qu'un petit tour à l'armurie s'impose.

    Continuant à remper dans l'espace exigu de sa cachette, il arriva bientot en vue d'une autre bouche d'aération. La découpant à son tour, il se retrouva dans l'armurie, qui demeurai presque vide. Il y avait juste un retardataire entrin d'enfiller son équipement. Il n'en eut jamais l'occasion... Après avoir abattu le malheureux d'une décharge de blaster dans le dos, ki-adi commença à se servire. Il prit quelques détonateur thermique, des mines, ainsi que la radio de sa victime qui était branché sur la fréquence de l'équipage. Une foie qu'il eut finis ses "emplettes", le chasseur de prime remonta dans le conduit d'aération et repris son avancé. Il arriva bientot en vue la salle de controle du vaisseau, à laquelle étaient rélier toutes les caméras. Ne cherchant pas à jouer dans la finesse, le chiss découpa la grille et commença à canarder les membres d'équipages qui biensur n'étaient pas armés. Lorsqu'il fut sure de les avoir tous éliminés, il s'engoufra dans le couloir où il déposa plusieurs mines. Il déclancha ensuite l'alarme et s'enfuit par là ou il était venu. Inutile de signaler que lorsque les millitairs veinrent en nombre, porter secour aux hommes d'équipages, il explosèrent sur leurs propres mines. Satisfait de la confusion qu'il avait semé à l'intérieur du vaisseau, le chiss se mis en route pour le pont, bien décidé à prendre le controle du Guardian.
    -------------------------------------
    On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu.

    Ce message a été modifié par: ki-adi-mundi le 18-02-2007 19:03

    dimanche 18 février 2007 - 13:39 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Aven-Flar

    Aven-Flar

    5177 Crédits

    L'armure Mandalorienne grinça légèrement quand Edoras fit un roulé-boulé histoire de renvoyer de jolis tirs à nos amis du dessus qui nous ont si gentillement canardé. Quand à moi, je préfère plutôt compter sur mon armure, et à moi en dernier recours. Je m'avançais un peu... bon ok, j'ai sauté en avant comme un taré avant d'allumer le Jet-Pack. Je m'élevais et passa par le trou en canardant tout ce que je pouvais, en tout cas Edo' n'avait pas servi à grand chose, ses tirs n'avaient fais que quelques traces noires et grillé qu'on ordi qui faisait des étincelles. Le Capintaine était planqué avec deux hommes derrière une caisse et le reste totalement à découvert. Derrière moi, Edo' grimpait avec l'aide de la Twi'Lek, qui grimpa souplement juste après. Certains tirs passrent près du Capitaine. Edoras, en grand maintou oomniscient m'en fit la remarque :

    Le Demi-Dieu des Guildeurs : Aven! Il nous le faut vivant!

    [i]Je sais, je sais! A croire qu'il croirait que je croyais que je voulais le tuer. Non mais sans blagues! D'un coup de pouce, j'appuyais sur une commande que j'avais rajouté sur mon E-11 qui permettait directement de passer en "paralysant". La commande se cassa.

    *Ouuups*

    Le plus frustrant c'est qu'elle était relié à la manette un peu plus loin, et que ça l'avait cassée aussi. En jetant un coup d'oeil, je vis que c'était simplement une soudure. Et je les aivais toutes faites pareil. Pas la peine de toutes les tester. Un tir me toucha et fit une tache noir et fit fondr eun peu de blindage. Ca me ramenna à la réalité.[/i
    -------------------------------------
    Toutes choses ont une fin, sauf la saucisse, qui en a deux.

    "Notre passé est triste, notre présent est tragique, Dieu, merci, on a pas d'avenir"

    Ce message a été modifié par: Aven-Flar le 19-02-2007 19:01

    dimanche 18 février 2007 - 18:33 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Sibass

    Sibass

    4239 Crédits

    La vie de hors la loi est rarement rose.
    Parfois, elle est juste encore pire.

    Cela remonte à… Il y a bien 6, sinon 7 ans. Je venais a peine d’entrer à la Guilde. J’étais encore assez… indépendant.
    Assez pour me lancer seul dans des missions… relativement stupide. (maintenant, je n’y vais plus seul.)

    Une de ces missions m’avait justement amené à me mettre un dos un hutt, parrain de la pègre, mort depuis (avec son organisation, bien que je n’en soit hélas pour rien.)
    Je n’avais pourtant pas fait grand chose, sinon tuer son bras droit.
    Son fils.
    Est-il besoin de préciser qu’un hutt est extrêmement rancunier ?

    C’est ainsi que peu après, j’appris la disparition d’un de mes amis, Derek. Outre le fait que nous ayons souvent travailler ensemble, il était l’un des rares… non, le seul, qui me connaisse depuis la « disparition » supposé de mon mentor, Luky.

    J’appris très vite qu’il était prisonnier de ce dit hutt, dans l’une de ses tanière de Nal Hutta, une petite ville semi industrielle.

    Je m’y rendit de suite, à bord de mon Praemium (pas encore détruit, à l’époque, je le rappel).

    Il pleuvait.
    Je l’ignorais, à l’époque, mais la pluie ne m’a jamais porté chance.
    Je marchais peu avant d’arriver à l’entrée de la ville.
    Devrais-je dire devant l’entrée de la ville fantôme.
    Presque plus rien ne marchait ici. Et a peine plus était en état de marcher, de toute façon.
    La plupart des bâtiments étaient en ruines, ou dans un état de délabrement avancé.
    Cette ville avait basée son économie sur l’exploitation de ressource minière, maintenant épuisée.

    Je savais que les hutt avaient une sorte de QG dans l’ancien bâtiment administratif de la ville.
    Restait à m’y rendre.

    Je longeais la rue principale, jonchée de carcasses plus ou moins rouillées ou brûlées de speeders en tout genre. Le duracier des façade, recouvert de mousse, suintait d’une sorte de pue jaune, drainé par l’eau.
    Tout cet endroit était malsain.
    La résistance pour arriver jusqu’au bâtiment admin’ fut assez sporadique. Si mon blaster ouvrit le feu plusieurs fois, ma lame n’eut pas à goûter la chair à ce moment.
    Elle se rattraperait.

    J’arrivais donc au… « QG ». J’enfonçais la porte. Mal m’en pris, car une partie du toit s’effondra sur moi. J’esquivais du mieux que je pus (-1 PDV). Moi qui espérais être à l’abris de la pluie à l’intérieur… un véritable gruyère. En pire. Je progressais le long de nombreux couloirs à l’abandons, bien que semblant moins… pourris (mais toujours avec aussi peu de plafond) au fur et à mesure que j’avançais vers le centre de leur installation.
    Ma progression s’accompagnait d’un nettoyage des lieux au corps à corps, qui me valut quelles blessures (- 2 PDV). Mais rien ne pouvait entraver ma volonté de progresser, de venir au secours de mon ami que mon combat avait mis dans cette situation.

    Enfin, je vis l’escalier menant à la pièce que je savais être centrale.
    Il était là. C’était la seule solution !
    Dans ma précipitation, tout occupé à ma progression mètre par mètre bloquée par un imposant gamorréen, je ne vis le canon pointé sur moi.
    Je parais un coup du garde du corps, pivotant pour lui enfoncer ma lame dans la gorge. Cela me sauva la vie. Un tir me toucha au flanc, m’arrachant des chairs. (-2 PDV) Je tirais sur l’origine du tir et, plus chanceux que précis, j’eux le canonnier.
    Je me précipitais dans l’escalier. Malheureusement, le métal était pourri, et il s’effondra en partie. Je ne pus me rattraper qu’au prix d’une importante entaille au bras (-1) Un nouveaux garde du corps apparut, au dessus de moi. Je le tuais d’un tir dans la tête. J’arrivais sur une sorte de galerie, surplombant une pièce, visiblement réservée à l’interrogation des prisonniers.
    Au travers de la grille du sol, je pus voir Derek, attaché à un chevalet. Il bougeait encore, faiblement.
    Plusieurs gardes se trouvaient sur la dite passerelle, mais plus rien ne pouvait m’arrêter. Délaissant mon blaster de toute façon vide, je m’acharnais sur les mercenaires à coup de haches, les uns après les autres, sous une pluie quasi battante dut à l’absence de toit.
    Rapidement, j’atteins l’escalier me permettant de descendre dans la pièce.
    Un homme me mis en joue. Sans réfléchir, je sautais du haut des marches. Je le fis tomber sous mon poids, lâchant ma hache sous le choc. Je fis apparaître mon poignard, et lui entaillais la gorge. Il me fit lâcher mon arme d’un coup sur le poignet. Je l’étranglais. Le sang jaillit de sa blessure, le débit augmenté par ma pression, me couvrant le torse et les bras de liquide rouge, chaud, et poisseux. Son cou céda brusquement en un craquement sinistre. Je me relevait ainsi couvert de sang. Les deux derniers garde hésitèrent.
    Ce fut ma chance. Je bondit sur le premier, le forçant à tirer sur son camarade, avant d’attraper sa lame et de la lui enfoncer dans le poumon. Je l’achevais en lui brisant la nuque. Son camarade, agonisant, subit un sort semblable.
    Je me tournais vers Derek.
    Dans cette salle ruinée, ou la rouille était maintenant recouverte de filet de sang charrié par la pluie battante, je tombais au milieux des corps de mes victimes.
    Derek, a peine reconnaissable tellement il avait été torturé, depuis trois jour qu’il était là, était mort alors que je me débarrassait de ses derniers geôliers.

    lundi 19 février 2007 - 02:16 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Nausicaa

    Nausicaa

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    « Mais qu’es-ce que je fous là moi, je vous jure !! » J’étais resté le plus en arrière possible, déjà de un parce que je n’aime pas tuer et de deux je surveillais nos arrières, mais il fallait bien que je monte à un moment, Kiffa Edo et Aven étaient déjà là-haut à carnarder les gardes et à essayer d’atteindre le capitaine, j’entendais Edo causé enfin je pense plutôt qu’il hurlait. Je devais sûrement monter, même si je n’aimais pas tuer, je devais donner un coup de main, sinon j’en devenais presque lâche et j’ai horreur de ça.
    Je montais donc ayant quelques petits problèmes, mais je réussi tant bien que mal à grimper, arrivée dans la salle d’où venait les tirs je du vite me bouger pour éviter les tirs « Bordel dans quel pétrin je suis venue me foutre…espérons que je vais en sortir vivante… » Je commençais à tirer dans le tas, j’ai beau faire des jolis tirs, je n’atteints pas beaucoup de cibles- se dont j’ai horreur. J’essayais de me trouver un coin à peu près à l’abri pour pouvoir tirer dans me faire canarder, je ne trouvais pas bien sûr. Mon père, Kiffa et Aven essayais d’atteindre le capitaine, moi j’étais là à essayer de descendre les reste des gardes, enfin j’ai vu me dis-je, c’est vrai que sur Atzerri j’avais deux types armés jusqu’au débarqué et que je l’ai avait tués, mais là il avait beaucoup de monde et je risquais de me faire tuer toutes les 30 secondes. « Quelle idiote tu fais Nausi, tu aurais mieux fait de rester à rien faire ça aurait été moins dangereux… ».
    Je commençais légèrement à m’énerver, je n’aime pas être là alors qu’on essaye de me canarder et que je n’arrives à rien, j’allais finir par laisser ma colère me contrôler, c’est une chose que je déteste. Au bout de quelques minutes, je ne pus contenir ma colère, elle éclata alors dans ce genre d’état je ne me soucis de pas grand chose, à part de tuer et de ne pas me faire tuer…Je me battais donc avec plus de ferveur que jamais, je fonçais même dans le tas, je laissais le capitaine aux autres et m’occupais des gardes, je crois que je me fis toucher plusieurs fois, je n’en sais rien, ce que je savais c’est que j’étais bien plus efficace que quand j’étais calme, la colère est peut-être mauvaise parfois mais pas lors d’un combat, j’étais dans état second, je me battais et tuais. Je ne comptais pas les morts, je me battais simplement ça risquais de me peser sur la conscience derrière comme d’habitude, mais parfois il faut faire ce qu’il faut malgré ses états d’âme, ça me rappelait le moment ou j’avais retrouvé Milana morte dans le palais d’un Hutt, cette colère je l’a retrouvais, enfin la seul chose pour le moment qui comptait était de gagner et de tuer...

    lundi 19 février 2007 - 12:15 Modification Admin Réaction Permalien

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  • Xiss Zule --- Zule était une Zeltron à la peau rouge. A cause de son fort tempérament, le Conseil Jedi lui prédit de mourir dans une rixe de bar. Elle suivie l'enseignement du Maître Jedi Glaive, le seul capable de prendre en main la tumultueuse padawan. (Personnages - Jedi)
  • Mison Tarn, Lieutenant --- Cet ancien pilote impérial rejoignit l’Alliance Rebelle peut de temps après la Bataille de Yavin. (Personnages - Rebelles)
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  • Frégate d'Assaut --- La frégate d’assaut rebelle est un vaisseau lourd basé sur la structure de l’antique Dreadnought à laquelle nombre de modification ont été apportées par les ingénieurs de l’Alliance rebelle. (Vaisseaux - Vaisseaux capitaux)
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