Le Temple Jedi 5 (page 3)

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  • Avatar Edoras

    Edoras

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    ~ Quelque part dans la Galaxie ~


    L'Humain dormit au moins deux jours et une nuit. La nuit suivante, il osa enfin s'aventurer hors de la caverne où il avait trouvé refuge. Nu comme un ver, le corps barbouillé de sang de scurrier, il aurait pu aisément passer pour une race cousine du wampa.
    La ville ne fut pas difficile à trouver : ses hautes tours pointaient loin au-dessus de la forêt. L'instinct fit le reste. La créature longea les rues sales des faubourgs encore endormis, en direction du centre-ville. Il lui fallait trouver des vêtements, de la nourriture, peut-être un barbier-coiffeur et un peu de parfum. Il aurait tué pour une bonne douche.

    Et il le fit effectivement, lorsque l'alien grisâtre se mit à glapir des impréactions féroces et condescendantes. Franchement, a-t-on idée de se promener dans son jardin à l'aube ? Ses yeux vitreux exprimaient encore une immense incrédulité lorsque son corps fut déchiqueté par l'explosion interne qui détruisit ses organes.
    L'Humain s'essuya les mains sur l'herbe tendre de la pelouse et pénétra dans le maison. C'était une petite villa comme il s'en trouve beaucoup dans les campagnes et les faubourgs des planètes n'ayant pas encore atteint le quatrième niveau de dévelloppement, celui de la conquête (hyper)spatiale. De toute évidence, il n'était pas sur Corellia. Les appareils électroniques primitifs et l'écriture bizarre lui étaient totalement étrangers.
    Heureusement, la douche ressemblait à une douche. L'eau avait un goût de chlore prononcé. Il n'y avait pas de rasoir, évidemment : pourquoi une créature à écaille en aurait-elle eu besoin ? Mais en fouillant un peu dans la maison, l'Homme découvrit un long couteau, sans doute destiné à la cuisine. Cela ferait l'affaire.

    En sortant de la maison, frais et rasé de près mais toujours nu faute de vêtements à sa taille, l'Homme fit la grimace : le jour était levé, les rues étaient pleines et de nombreux véhicules bleus étaient arrêtés devant la maison, agitant sirènes et girophares.

    Lui : Je me disais bien que j'avais du oublier quelque chose...
    Évidemment, les flics avaient trouvé le corps du propriétaire des lieux dans al pelouse. Du moins, ce qu'il en restait. Quand t'es retrouvé dans la maison d'un type massacré de frais, sortant de sa douche avec en plus la mauvaise couleur de peau et la mauvaise espèce, va-t-en essayer de te défendre en prétextant le délit de sale gueule, pour voir ?

    La bestiole avec un costume et une arme braquée : Watehaa glups gorti ! Vlukt 'hapi julio'n'arb ! Golpe !
    L'Humain : Woh, pus d'vornskr, les mecs ! Y en a pas un qui cause le basic ? Non ? Huttuk ? Raaaaah... c'est pas mon jour.
    La bestiole en uniforme : Golpe ! Vlukt tehapi !
    Human after all : Arrête de gueuler, lézard ! J'entrave que tchi à ton baragouin et j'ai la migraine !

    Tous les flics de la Galaxie ont un point commun : quand vous leur criez dessus dans une langue inconnue, en faisant des grands gestes et en ayant la tête d'un étranger, ils attrapent des crispations de l'index.
    Une détonation retentit.
    Ce fut le trou noir.

    L'Humain va devoir faire attention : on ne vit que deux fois.

    -------------------------------------
    Ca va chier...

    Ce message a été modifié par: Edoras le 01-04-2011 15:36

    vendredi 01 avril 2011 - 15:36 Modification Admin Permalien

  • Avatar Dark-Spencer

    Dark-Spencer

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    Dans le palais royal d'Iziz, la reine Wahalla est à la merci de Dark Spencer.

    Le plancher de la salle du trône est recouvert de macchabées. Les corps désarticulés et les morceaux de chaire éparpillés semblent flotter dans une étendue d'hémoglobine. Les cris ont fait place au silence. Au milieu de la pièce Dark Spencer se délecte. Il a attrapé le cou de la reine d'une main et la regarde se débattre au bout de son bras tendu.

    Spencer - Gnnr, Voalà Wahalla, Voihalavrai nature de la Force! Ahahah!
    Paad - C'est peut-être pas le bon moment de faire des jeux de mots...
    Spencer - C’est pas l'bon moment, c’est pas l'bon moment, tu m’as déjà sorti ça quand je peignais tout à l’heure, avec toi, c’est jamais l’bon moment quoi Gnn !
    Wahalla - Aarrgh, (étouffe), rreheuaha… kof ,rrrghaarr
    Paad - Arracher les boyaux des gardes pour les étaler sur le mur, vous appelez ça de la peinture !?
    Spencer - Ne soit pas insolente sith de pacotille, tu ne connais rien à l’art. Et ne t’avises plus de me reprendre, sinon je t’en colle une et je t’assure que ce sera le bon moment !
    Paad - Excusez-moi seigneur. Sans vouloir être désobligeante, la reine se meurt.

    En effet, la reine d’Ondéron commence à perdre connaissance, Spencer la lâche, elle tombe lourdement sur le sol. Le psychosith s’installe sur le trône, la reine allongée devant lui. Il pose une de ses grosses pattes sur la tête couronnée, toutes griffes dehors. Il se penche et lui murmure :

    Spencer - Où est Obitom Nabery et qu’est-il arrivé à la bibliothèque ?
    Je ne me répèterai pas, alors répond ou je te plante!

    Les griffes du matou cinglé sont de véritables sabres, la reine sait qu’un geste suffirait pour taillader son visage en lambeaux. Choquée, traumatisée, elle s’évanouit.

    Spencer - E’shutta !
    Paad - On l’embarque ?
    Spencer - Non, j’ai une meilleure idée, on va l’emmener avec nous !
    Paad -
    Spencer - On n’a pas assez de place dans nos chasseurs, trouve nous un vaisseau et attends moi au spatioport. Je prends l’altesse de mes fesse avec moi, j’m’occupe de la famille de l’autre bouffon et je te rejoins, sois prête à décoller.

    Tout-à-coup Paad se fige.

    Paad - Attendez ! Je ressens un trouble dans la Force, une présence…

    Spencer se concentre.

    Spencer - Pour une fois tu as raison, on dirait… Un jedi, un jedi puissant, serait-ce cet Obitom ?
    Paad - Non, cette présence m’est familière, je n’arrive pas à la reconnaitre, mais tout ça ne me dit rien de bon, nous devrions filer.
    Spencer - Gnnr, je n’aime pas « filer », mais un imprévu jedi pourrait compromettre la mission. Finissons ce pour quoi nous sommes là et on avisera ensuite.

    PN est surprise. Le fauve vient de résonner ! Elle pensait qu’il ne savait pas réfléchir. Léger temps de flottement, puis la clone part à la recherche d’un vaisseau spacieux et rapide. Spencer jette la reine sur son épaule, s’élance et saute à travers la fenêtre de la salle du trône. Il utilise ses facultés afin d’amortir sa chute, en créant une sorte de coussin de Force. Il atterrit sur le pont levis du Palais, sans s’arrêter, il fonce sur les gardes les plus proches, les percutes si violemment qu’ils s’envolent dans les façades des commerces, le félin fêlé trace se route en sautant, en bondissant et rebondissant à une allure folle, il semble zigzaguer dans les rues, sans jamais poser une patte à terre, le crâne des passant, soldats ou civiles, lui servent d’appuis entre deux réverbères. Il arrive à proximité de la place principale d’Iziz, l’alarme de la ville retentit, la foule s’éparpille, les tourelles lasers sortent de leurs silos et mettent Dark Spencer en joue.

    Spencer - J’ai bien fait de prendre leur souveraine avec moi, ils n’osent pas tirer avec les tourelles!

    Le sith traverse la place en quelques sauts en longueur, les passant fuient et hurlent à la vue de se malfrat poilu poursuivit par une quantité phénoménale de gardes, de soldats, de policiers et autres réservistes. Son holo-GPS lui indique que sa destination est proche, plus qu’un rue à emprunter, droit devant. Dark Spencer n’a pas une minute à perdre, éviter les obstacles le ralenti, alors, à l’aide de son bras libre, il nettoie devant lui son passage, à grands coups d’éclairs de Forces. Plus que quelques mètre avant d’être chez les Ogings, Spencer lâche derrière lui 2 bombes cryoban, afin de ralentir ses poursuivants. Enfin, il se trouve devant la porte qu’il cherchait. Il sent son otage bouger, la reine se réveille. D’un petit coup sec, il la fait décoller de son épaule, la laisse rouler le long de son bras et l’agrippe par l’arrière de la ceinture avant qu’elle touche terre. De son autre main, il lui prend le col et dans un mouvement de balancier, il défonce la porte des Ogings avec la tête de Wahalla. Les Ogings sont attablés et ébahit devant ce spectacle peu ordinaire. Un géant velu et muni d’un sac de sport se tiens dans l’entrée de leur salon.

    Spencer - Vous êtes bien la famille Brundzel ?
    La mère - Non, il y a erreur, ici vous êtes chez les Ogings !

    Spencer pose la reine.

    Le fils - M’man, c’est pas un sac de sport…
    Spencer - Bien bien, Vous avez l’bonjour de Bortal le mort !

    Le Cathar se jette sur le fiston, le chope par la cheville et s’en sert comme un maillet pour fracasser tout se qui se trouve dans la pièce, y compris la mère. En moins d’une minute, les corps des Ogings ne sont plus qu’une sorte de bouillabaisse galactique. Puis Spencer se propulse à travers le plafond afin d’atteindre l’étage du dessus, où il a entendu du bruit. Là se trouve un nourrisson dans un berceau et un vieux fusil au bout d’un vieux papi. Paniqué, il tire, Spencer pare, retour à l’envoyeur, papi meurt d’une balle dans le cœur. Enfin il se penche sur le couffin du nouveau né.

    Spencer - Génial ! Un amuse gueule !

    L’affaire aura pris moins de deux minutes, l’affreux sith sort de la propriété, reine sur l’épaule et sang sur les moustaches. Les rues sont désormais désertes, il n’y a plus que l’armée d’Izis qui est assez folle pour courir après le lion. Un char bouche la rue à l’Est, un autre à l’Ouest. Le sith est pris au piège, l’étau se ressert. Les assaillants sont trop nombreux et bientôt trop proches. Spencer reste debout sans broncher, il réfléchit au plan B, les soldats arrivent, 10 mètres, 9,8,7, plus que 5 mètres… Spencer met la reine devant lui, fait glisser sa lame krath sous sa carotide et s’en sert comme bouclier.

    Spencer - STOOOP ! N’approchez plus ou JE L’EGORGE !

    Tous s’arrêtent, la tension est palpable chez les sujets de sa majesté, Dark Spencer ricane.

    Spencer - Ahaha, c’est bien, vous êtes bien dressés, bons petits toutous. Voilà comment on va jouer, vous allez vous écarter et me laisser aller aux quais d’appontages, faites sortir tout le monde du spatioport. Si vous êtes obéissants, avant de partir je laisserais votre précieuse altesse sur la piste de décollage ! On est OK bandes de minables ?

    La persuasion marche. C’est très escorté que l’apprenti de Baaaaaaal arrive au spatioport. Il entre avec la reine, les autres restent devant les portes d’entrées. Comme prévu, pas une âme qui vive dans le terminal, sur la piste, un vaisseau est paré au décollage, PN en descend, bras en l’air…

    Spencer - Qu’est-ce tu fous ? Remonte à bord, on dégage !
    Paad - Désolé, je ne l’ai pas senti venir…
    Spencer - Quoi ?

    Une silhouette apparait derrière la clone, c’est un humain en bure qui la menace avec un sabre laser à lame rouge.

    Spencer - Le Jedi ! Je l'avais oublié ! Qu’est ce que tu nous veux ?! Hors de mon chemin !
    Le Jedi - Je suis Jorus Beku’n, relâche la reine ou j’exécute ta complice.

    La pluie commence à tomber, un orage éclate au dessus de ce nouveau face à face clair/obscur.

    jeudi 07 avril 2011 - 01:34 Modification Admin Permalien

  • Avatar Padme111

    Padme111

    27258 Crédits

    Lieu : Endor
    Localisation : Village des Ewoks Watchitis.

    Les premiers rayons de soleil inondent la couchette vide où Pad avait très peu dormi. La maître Jedi fini sa toilette et quitte le lieu qui lui a servi de chambre. Cenovii ne devait plus tarder à la rejoindre, aussi, elle prix le temps d’accepter un paquetage d’un des Ewoks âgés. C’était de la nourriture et un minuscule Ewoks tailler dans le bois. La maître Jedi était touché par l’attention du vieux sage. Elle garde l’objet de bois dans la main lorsque le chevalier la surprend.

    Ceno – Je suis prêt ! J’aimerai récupérer l’Arrow. Si cela te dérange pas de reprendre la soute seule ?
    Pad – Ah Ceno ! Euh… Oui, très bien. Je comprends qu’un vaisseau c’est aussi un peu comme un ami, non ?

    Ceno regarde la Maître un peu interloquer. Généralement, les Jedi essayent de garder un détachement sur les choses. Pourtant, Pad ne semble pas le prendre ainsi. Elle pouvait deviner sont trouble.

    Pad – Tu me connais assez pour savoir que je ne suis pas une Jedi conventionnel. Et encore de moins en moins. Je vais être très honnête, chevalier. Ces quelques heures sur Endor me rendent nostalgique. Maintenant que tu vas sur Yavin IV et que je perçois nettement le retour de Maître Terrik, il n’est plus indispensable que je reste au sein de l’Ordre Jedi.
    Ceno surprit – Quoi !? Qui… ? Je ne te comprends pas Pad ! Qui est ce maître Terrik ? Et en quoi son retour et le mien t’oblige à quitter de nouveau l’Ordre Jedi ?
    Pad – Maître Terrik, tu l’as connus il me semble. C’est la guérisseuse Mirax Terrik.
    Ceno – Oui, je m’en souviens vaguement.
    Pad – Rien ne m’oblige à quitter de nouveau l’Ordre. Cependant, je t’avoue avoir regretté plus d’une fois d’avoir quitter Phoenix et me plier aux exigences de Mimi.
    Ceno – Sans toi, j’ignore où l’Ordre Jedi en serait ! Tu ne dois pas regretter, tu es indispensable à …
    Pad – Nul n’est indispensable dans cet univers, chevalier. Je rentre à Coruscant afin que ma décision soit connu du Conseil. Je te propose de partir directement pour l’académie.
    Ceno – C’est un adieu ? Je n’arriverai pas à te faire changer d’avis ?
    Pad – C’est un au revoir. Je vais reprendre ma vie sur Phoenix. Tu y seras toujours le bienvenu. Je ne refuse pas de discuter avec les Jedi. Je me montre égoïste. J’ai consacré une grande partie de ma vie aux autres, à des inconnus, à la galaxie… Maintenant, je prends du temps pour moi.

    Ainsi les 2 Jedi se séparent après une accolâtes franche. Ils resteront amis pour la vie quoi qu’il arrive. Ceno monte dans son vaisseau. Pad engage son BluestarII dans l’espace. Elle encode les coordonnées de Coruscant.

    Cependant, juste avant de s’engager dans l’hyperespace, Pad perçoit qu’une personne est en détresse, dans le désarroi le plus total !
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    Lieu : Onderon
    Localisation : Spatiaux port.

    Paadmée Naberyy ; Sola O’Keefe ; La clone voilà comment on l’a nommé depuis qu’elle a prix vie. Et aujourd’hui, qui est-elle ? La clone l’ignorai, elle ne sait plus du tout qu’elle est le sens de sa vie. L’a-t-elle déjà su ?

    Pour l’heure, la question n’était d’actualité. Elle avait reçu l’ordre de trouver un vaisseau pour 3 personnes et qui soit capable d’échapper à tous poursuivant. Exécuter les ordres ! Voilà la seule chose vrai, la seule chose utile, la seul chose qu’elle doit faire, la seule utile pour survivre !

    Paad entre dans le spatial port sans trop de problème. Mais les gardent sont sur ses talons, elle doit réussir sa mission sinon, c’est la mort ou pire : la torture. Elle entre en courant et laisse la Force sonder les vaisseaux du hangar. Il y avait pas mal de chasseur monoplace ou des petits croiseurs. Paad cherchait encore l’idéal lorsqu’enfin elle vu un vieux vaisseau, mais qui pourrait faire l’affaire ! Un cargo léger Gymsnor-3. La technologie Corellienne est connue pour être solide et durer longtemps. Elle monte à bord et vérifie que la mécanique soit opérationnelle. Paad laisse la Force entrer en contacte avec chaque pistons, chaque boulons, chacun des circuits de ce vieux cargo.

    Tout est bon ! Elle met les moteurs en route et c’est au moment où elle se félicite de son exploit qu’elle entend le bruit familier d’une activation de sabre laser. Pendant les premières secondes, Paad pense qu’il s’agit du Cathar et se retourne sans chercher à se défendre car elle avait trop l’habitude des sauts d’humeur de son acolyte. Elle se disait qu’il ne devait pas apprécier la vétuste du cargo. Elle s’apprête à lui expliquer que la Force lui confiait que le vaisseau tiendrait la route lorsqu’elle reconnu devant elle, un maître Jedi !

    Un frisson la parcours et sa main arrive trop tard sur le pommeau de son sabre laser encore accrocher à sa ceinture.

    Paad – JORUS !!! Comm…
    Jorus – Paadmée! Je ne m’attendais pas à ce que ce carnage soit votre !
    Paad – NON, non, c’est Spencer
    Jorus – Activer ton sabre est une très mauvaise idée. Donne le moi !

    La clone ne sait si elle doit essayer de combattre le maître Jedi ou lui obéir. L’hésitation est de courte durée, elle a tellement l’habitude d’obéir qu’elle prend son sabre sans l’activer et le tend à Jorus. Qui le prend et le place à sa ceinture sans quitter la clone des yeux et la menaçant toujours de son propre sabre.

    Jorus – Qui est Spencer ?
    Paad – Mon… (Maitre ? Bourreau ? Acolyte ?... comment le définir) L’apprenti de Baaaaaaal. C’est lui qui les a massacrés.
    Jorus – Dirais-tu que tu n’as rien fait ? Que tu n’as tué personne ? La garde d’Izis a précisé qu’il y avait 2 sith !

    Paad perdu courage de s’expliquer auprès de son adversaire. Il n’aurait pas compris de toute façon. Comment le pourrait-il ? Comment expliquer deux ans d’enfer ! ? Et puis, s’en soucierait-il ? Résolue, elle se rend au maître Jedi souhaitant en secret qu’il la mette à mort. La vie auquel elle avait droit durant ses 24 mois l’avaient anéanti.
    Vide, sans aucune volonté, elle se laisse faire par le Jedi. Lorsqu’il perçoit Dark-Spencer, il lui ordonne de sortir les bras levé. Une fois dehors, le Jedi menace l’apprenti de choisir entre la reine et sa pitoyable prisonnière. Pour Paad, c’était fini. Elle était plus que certaine qu’enfin son calvaire allait s’arrêter en même temps que sa vie. Elle espère en silence que le Jedi la transpercerait de son sabre et qu’elle ne souffrirait pas trop avant que la vie ne lui échappe et qu’elle puisse enfin arrêter de souffrir.

    jeudi 07 avril 2011 - 13:29 Modification Admin Permalien

  • Avatar waren

    waren

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    Lieu : Xelos
    Localisation : Vallée des embrumes

    Les trois amis étaient enfin arrivé à la demeure du zabrak, à présent, ils étaient derrière la maison face à une grosse pièce de tissus. Le transport de Waren n'avait pas changé en deux ans, il était resté le même sous la gigantesque bâche que Zoran avait installé, pour éviter que la poussière ne s'impose. La chiss impatiente tira un grand coup sur la toile, révélant un vaisseau éclaireur de trente mètres de longueur, assez grand pour accueillir quatre passagers.

    "Merçi Zoran."
    "Pas de quoi, c'est tout naturel."
    "Bon alors, c'est quoi la suite ?"
    "On va sur la planète Coruscant."

    Cinq minutes plus tard, les six moteurs ioniques du cargo s'allumèrent, le Wrena décollait. Sa destination allait le mener droit vers le joyau de la galaxie, le cœur des hautes sphères politique, le siège de la république galactique.

    jeudi 07 avril 2011 - 22:50 Modification Admin Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

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    ~ Un endroit où l'antihéros préfèrerait ne pas être. ~



    La lumière crûe inonde le visage de l'Humain, le forçant à cligner des yeux comme une taupe sortant de son trou à la recherche de l'amour saisonnier. L'alien sauroïde qui lui fait face montre les crocs en applatissant les écailles autour de son nez. Ca doit être l'équivalent local du sourire. L'Humain répond en crachant le petit filet de sang et de salive qui lui maculait les lèvres et le menton, sur son torse nu.


    L'Homme : Écoute, mon gars, c'est pas la peine de continuer cette discussion, tu vois bien qu'on n'a pas de langues communes. Le langage des coups est universel mais là, si tu t'arrêtes pas, je vais bientôt arrêter de te répondre, tu sais ?
    Le sauroïde émet un sifflement grave que l'imagination de l'Humain interprète comme un rire.
    l'Homme : J'sais même pas comment elle s'appelle, vot' planète pourrie de seconde zone. A voir vos gueules, je suppose qu'on doit être dans les Régions inconnues et que je suis vot' premier contact avec les civilisations galactiques. J'me met à vot' place : vous viviez peinard en vous demandant s'il existe ou non une vie ailleurs dans l'Univers, et sur ce un alien très différent de vous débarque et zigouille un mec pour squatter sa salle de bain. Forcément, ça secoue. En prime, j'ai pas de fringues pour vous impressionner, même un peu. Ni aucun matos genre fusil blaster ou grenade plasmique à concussion... même pas un de ces pus d'vorsnkr de gadgets yuuzhan vong qui font fureur en ce moment. Mais si vous arrêtiez de cogner deux secondes pour étudier mon anatomie avant la grande dissection scientifique finale, on pourrait p'têt' causer, nan ? Causer de la vie, de l'univers et du reste... Mer**, je l'ai déjà faites celle-la !

    Le mammifère se mit à rire, ce qui provoqua le recul du reptile.
    Cela laissa au sadique planqué dans la carcasse de l'Humain le temps de reprendre l'avantage. Le lézard termina sa course imbriqué contre les parois de la salle d'interrogatoire. L'Humain se leva, libéré de ses liens comme par magie.


    L'Humain : 'Faudra que j'apprenne à faire autre chose, ça manque de classe tout ça. Bon... une arme primitive. 'Faut pas que je moisisse ici, je commence à en avoir ma claque de me faire cogner à longueur de temps. Je me plaindrai au scénariste !
    Par ici la sortie...

    :jf:
    -------------------------------------
    Ca va chier...

    Ce message a été modifié par: Edoras le 11-04-2011 09:48

    lundi 11 avril 2011 - 09:40 Modification Admin Permalien

  • PSW
  • Avatar baaaaaaal

    baaaaaaal

    8033 Crédits

    Mirax...
    Ma chère, c'était donc toi que j'avais senti. Te voilà donc de retour ? Qu'est-ce qui t'as poussé à quitter ta retraite ? Le reconstruction du Temple des Jedi ou... moi ? J'ose espérer que tu ne te mettra pas en travers de ma route.
    Pour l'heure j'ai d'autres projets et ils ne concernent pas les Jedi.



    Le Maître Sith se tenait debout au sein même de l'immense superlaser en construction, dans une des seules sections pressurisées qui servait de quartiers à ses travailleurs. Autours de lui, apeurés, se trouvait son panel de scientifiques enlevés à la République. N'ayant pas constaté le retour de leur confrère onderonien Bortal Ogings, il avaient de quoi être nerveux.

    Baaaaaaal. - ... Je demande simplement si cela est faisable ! Peut-on associer de la biotechnologie Vong à mon superlaser ?

    un verpine. - Mais... Seigneur, tout dépend à quel usage vous destinez d'éventuelles parts Vongs. A notre connaissance... aucune arme Yuuzhan Vong connue n'a le pouvoir de détruire physiquement un corps aussi massif qu'une planète.

    Baaaaaaal. - Il ne s'agit nullement de changer le superlaser. Il s'agit seulement de développer sa défense et sa propulsion, afin d'en faire autre chose qu'un vulgaire "Sabre Noir".

    le verpine. - Ah, alors je suppose... oui,... nous n'avons aucun savoir-faire en développement de corail-yorrick, mais en contrôlant la croissance de ce matériau vivant il y a sans doute moyen de... d'entourer le superlaser d'une solide armure et dy... "greffer" des armes Vongs et des Basals-Dovin pour la propulsion... j'ajouterais même que ce mode propulsion serait avantageux dans la mesure où il ne laisse aucune signature énergétique.

    Baaaaaaal. - Excellent. Nous tenons donc le moyen d'achever la construction et de dépasser mes attentes.

    le verpine. - ... Euh... un problème demeure, Seigneur... si certain d'entre nous ont déjà étudié le sujet, aucun d'entre nous ne maîtrise la biotechnologie des Yuuzhan Vong... Pour un projet d'une telle ampleur nous n'arriverons à rien sans l'aide d'authentiques modeleurs Vongs connaissant leur art.

    Baaaaaaal. - Vous n'avez pas à vous souciez de ça. Contentez-vous de rendre l'arme principale opérationnelle. Vous aurez vos modeleurs.

    Le Maître Sith vida d'un trait son verre de Brandy Corellien et fit volte-face dans un mouvement de cape magistral tout en retenant un sourire. Les scientifiques étaient bien tous les mêmes, à toutes les époques ! Certains de ses prisonniers, en dépit de leur condition peu enviable et de la menace de mort qui pesait sur eux, étaient réellement intéressés de mettre leurs compétence au service d'une construction si ambitieuse. Peu leur importait à quel usage Baaaaaaal la destinait. Sans était-ce pour ça qu'un engin de mort tel que l'Etoile Noire originale avait vu le jour dans des esprit ingénieux et pacifiques : pour relever un simple défit scientifique ! Avec un tel état d'esprit ces individus étaient faciles à manipuler, et le Seigneur des Sith ne craignait pas d'actes de sabotages.
    Baaaaaaal réintégra le cockpit de son Aile X et, tout en regagnant la Main Ecarlate, se mit à songer à son passé. Non seulement il avait vécu au temps où les Etoiles Noires avaient démontré leur puissance, mais il avait encore combattu les Yuuzhan Vong par la suite. Il avait toujours méprisé ces aliens sans cervelle misant sur l'usage d'armes bactériologiques et dénués du pouvoir de la Force, mais il pouvait reconnaître les avantages de leur technologie pour l'avoir combattue.
    Mais où dénicher des modeleurs Yuuzhan Vong ? Zonama Sekot était le choix le plus évident. Baaaaaaal s'était déjà montré capable de débusquer la planète vivante et y avait posé le pied. Malheureusement Zonama Sekot n'avait pas bien toléré sa présence et l'aurait sans doute chassé s'il n'avait été à ce moment l'allié temporaire d'une mission Jedi. Baaaaaaal ne pouvait encore rivaliser avec cette planète consciente, du moins tant que son superlaser était inachevé, mais il restait une autre solution : la Coalition Galactique !
    La Guerre du SEZ avait poussé les forces Yuuzhan Vong à sortir de l'ombre et à s'associer à la République et l'Empire. Désormais ils n'étaient plus tous abrités sur Zonama Sekot.
    Baaaaaaal n'avait plus autant d'espions au Sénat qu'autrefois, mais il savait que Gaius Mahan tramait quelques grands projets navals en associations avec les Vongs. Des modeleurs talentueux se trouvaient donc à portée de main.

    Baaaaaaal. - Baaaaaaal à la Main Ecarlate, affrétez le Saint Brandy pour un trajet vers Coruscant. Je sors de ma retraite !


    Salut à tous les retraités ! :x

    -------------------------------------
    Seigneurs Noir des Sith
    Grand Intendant, membre des FF
    salut a tous les FF au passage
    Fou allié
    ADRIEEEEENNE!!
    PIOU!! PIOU!!

    Ce message a été modifié par: baaaaaaal le 12-04-2011 21:48

    mardi 12 avril 2011 - 21:47 Modification Admin Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    ~ Quelque part sur une planète insignifiante ~


    Le crâne du lézard éclata en une myriade d'éclats d'os, de sang et de cervelle, maculant les "costumes" d'apparat des officiels présents. Leurs costumes étaient faits de pièces de métal incrustées directement dans leurs écailles. Étrange société de piercings et de violence artistique.

    L'Humain : De toute évidence, même votre cerveau reptilien est capable de comprendre que la situation vous échappe. Vous n'êtes pas capables de comprendre ce que je dis mais ce n'est pas grave, on fera avec.
    « Je n'ai pas la moindre idée de la façon dont je suis arrivé sur votre monde merdique. Pas d'accès à l'Holonet, un matériel spatial ne dépassant même pas les limites de votre propre système et même pas de gouvernement planétaire ! Bande de primitifs. Pour un peu, je parierais que votre seule forme de pouvoir globalisé consiste en des lobbys commerciaux et quelques groupes idéalistes prônant l'égalité des races. Voire un monde gouverné par les proprios des maisons de disques ou les programmeurs, hein ?
    « Bande de minables lézards. C'est vraiment vot' jour de chance ! Figurez-vous que j'ai besoin de me casser de votre planète et que pour ça, j'suis prêt à vous échanger de la technologie issue de la civilisation, contre un aller simple au pays des Twi'leks.

    L'humain ricana. Il venait de comprendre que sur ce monde, les femelles composaient le genre dominant et que le chef de groupe était automatiquement le plus agile "chasseur". Un peu comme chez les Barabels, ou les adolescents humains.
    Mais comment les forcer à l’aider ? Il ne pouvait pas massacrer les lézards un par un en espérant qu’il s’en trouverait un qui comprendrait soudainement une langue galactique. Il songea à projeter dans l’esprit d’un saurien une image technique, mais il se rendit rapidement compte que cela était totalement hors de sa portée. Ou bien le cerveau saurien était trop différent du cerveau humain. La chose devrait être retentée.
    Il soupira et se laissa tomber sur le siège jadis occupé par l’officiel qu’il venait de faire éclater. Sans doute un ministre, un maire ou un chef de police quelconque. Il lui faudrait rapidement des notions de la géographie locale.
    Il sourit soudain et releva la tête, provoquant un net recul dans les rangs de la douzaine de sauriens qui l’observaient craintivement. Il s’empara d’une espèce d’ancêtre primitif du flimsi, et d’un épais pointeur incrusté d’une mine de graphite, puis commença à tracer des traits précis. Il savait qu’il était capable de dessiner des plans mécaniques, sans chercher à savoir d’où lui venait cette capacité, ni sans même en douter une seule seconde.


    L’Homme : Je veux ça ! Ici ! Vous, amenez-moi ça.
    Les sauriens clignèrent des yeux en poussant forces grondements, claquements de mâchoires et sifflements divers. Puis, l’un d’eux (un mâle, visiblement) prit la feuille et l’observa attentivement, avant de s’adresser à grands gestes à une femelle qui lui semblait supérieure.
    Trois lézards sortirent en courant. Le couloir était rempli de ces créatures puant la peur. Mû par une envie soudaine, l’Humain couvrit deux autres feuilles de dessins. L’une chargée d’images de nourriture et l’autre, de vêtements. Seule la feuille réclamant de la nourriture sembla susciter une réaction.


    Lui : C’est ça, allez me chercher à daller. Et grouillez-vous ! J’aime bien la viande de lézard, marinée aux fleurs et grillée.
    De frustration, il fit exploser les organes internes d’une jeune femelle qui le regardait avec trop d’insistance.
    Bientôt, le matériel demandé fut mis à sa disposition. Cela ne ressemblait que de loin à ce qu’il connaissait dans les coins les plus reculés, mais c’était jouable. L’appareil prit forme peu à peu et, après une nuit blanche, le créateur pu se reposer sur sa création.

    Le Créateur : Maintenant, saleté, tu vas m’aider à apprendre leur langue. Ca ne vaut pas un bon vieux droïde protocolaire mais, un craqueur de code à pistes aléatoires basé sur les signaux vocaux au lieu des signaux numériques, ça fera l’affaire. Pus d’vorsnkr, heureusement que j’en ai réparé plein sur les vaisseaux marchands. L’ancêtre du vocodeur de l’ancienne république…

    Ce fut un ratage monumental. Le problème de la source d’énergie retarda les progrès de l’Humain de trois jours supplémentaires. Trois jours durant lesquels il apprit de toute manière des mots de base du parler local.
    On n’est pas aidé…


    :jf:
    -------------------------------------
    Ca va chier...

    Ce message a été modifié par: Edoras le 13-04-2011 13:18

    mardi 12 avril 2011 - 22:53 Modification Admin Permalien

  • Avatar Padme111

    Padme111

    27258 Crédits

    Lieu : hyperespace
    Localisation : à bord du BluestarII

    Pad était très intriguée par cette sensation qu’elle ressent depuis son départ d’Endor. La Force semble vouloir la prévenir de plusieurs choses. Elle était perturbée et comme agitée. Lorsque Pad essaye d’envoyé ses sens vers Coruscant, vers son frère, vers Mirax… tous semble calme dans le présent. Pourtant, la perturbation venait de plus loin encore. Étrangement, si au départ de la planète des Ewoks, la Jedi cru que le sentiment de désespoir pouvait venir du noyau, plus elle se rapproche et plus l’idée de la mort semble provenir de plus à l’Est. Pad avait malgré tout encodée les coordonnées de Coruscant. Elle est à hauteur de Coreilla et doit bientôt confirmer son cap et donc quitter la voie commerciale Corellienne et s’engager sur la Piste Coreillienne. Pourtant la Force semble renforcer le sentiment de désespoir d’une personne familière. Pad décide que quitter l’hyperespace.

    Lieu : Espace dans système de Corellia.
    Localisation : à bord du BluestarII

    Le BluestarII se place en position géostationnaire. Elle avait fait attention de ne pas se trouver dans l’orbite de la planète de la Guilde, elle ne voulait pas attirer l’attention sur elle. La maître Jedi se place en méditation et essaye de sonder son frère là-bas au loin.

    L’empathie de la jedi est certainement un atout, mais là, en ce moment, elle avait l’impression que ce pouvoir lui était insupportable. En cherchant un contact avec Coruscant, Pad perçu nettement la vision d’un vaisseau éclaireur. Elle ne se souvient pas l’avoir déjà vu, pourtant dans cette vision elle peut y lire son nom : Wrena. La maître Jedi n’a pas le temps de se poser d’autres questions sur celui-ci qu’un sentiment sombre l’inonde. Elle perçu le côté obscur, tel une ombre au loin… très loin… comme un futur possible. Au milieu de se brouillard de sensation, seul la détermination, la haine et la délectation sont palpables. Est-ce Baaaaaaal ? Est-ce un autre Sith ? Il est encore trop loin pour être certaine de quoi que ce soit. Son lien avec Kaarde et Mirax avait toujours été fort. Mais la distance était plus qu’importante pour envoyé un message télépathique, même pour un maitre Jedi. Aussi, elle pianote sur le tableau de bord et ouvre une communication avec le Temple Jedi.

    Pad – Ici, maître Nabery. J’appelle le Temple.
    Jedi aux communications – Maître Pad, ici le Temple Jedi. Nous vous attendions plutôt mais …
    Pad – Mettez moi en communication avec mon frére.
    Jedi aux communications – Impossible pour le moment, Maître Nabery. Il est en réunion avec Maitre Terrik et le modeleur Yuuzhan Vong. Cependant, laissez-lui un message, je me ferai un plaisir de lui communiquer dès que possible.

    Pad n’aime pas cette situation, mais elle n’a pas beaucoup de choix. – Dit-lui que … (comment donner un message d’alerte sans faire paniquer tout le Temple ?) Dit-lui que ma mission est un succès mais que je ne rentre pas immédiatement. Dit-lui que… (elle hésite à nouveau et prend soin de choisir ses mots) Que je suis hyper heureuse que maître Terrik soit à ses côtés, qu’il prenne bien soin de l’écouter cette fois-ci ! Elle a de très très bonne perception et il doit s’y fier.
    Jedi aux communications – Euh… bien maitre, je lui donnerai votre message.

    Dans la voie du jedi, il était clair qu’il ne partage pas le même enthousiasme sur le retour de Mirax. Pad coupe la communication. Elle prend son comlink, il est fermé alors elle laisse un message sur le répondeur.

    "Kaarde, j’ai un mauvais, très mauvais pressentiment pour Coruscant. Au moins deux vaisseaux viennent vers vous. Soyez sur vos gardes. Je ressens aussi un appelle, un désespoir au Nord-Est de Correllia, ma position actuelle. Je vais voir ce que c’est. "

    Pad reste un moment songeuse, laissant un silence sur le répondeur du comlink de Kaarde. Elle hésite à lui parler maintenant de son désir de quitter l’Ordre Jedi. Pourtant, elle devra le faire. Néanmoins, elle jugea que le moment n’était pas approprié. Et puis, c’est une discussion qu’elle doit avoir avec lui face à face. Elle se contente de rajouter :

    "Il faudra que l’on se parle d’un point important. Je dois te voir, prend soin du Temple. "

    Elle coupe la communication. Elle use une dernière fois de son empathie vers Kaarde. Il devait être en bonne santé physique, mais sous tension. La proximité de maître Terrik ne fait plus de doute et elle semble plus en phase avec la Force que jamais. Déterminée et en excellente condition physique. Tout confirme qu’ils vont bien. Pad pianote encore sur le tableau de Bord du BluestarII et réfléchit à la destination qu’elle doit prendre. C’est alors qu’elle sent la Force en elle. Comme si son inconscient prend le relais, les doigts de Pad entre des coordonner. Une fois enregistré, Pad constate que c’est celle d’Exodeen. Ignorant pourquoi la Force lui indique une planète au Sud-Est, la Jedi est plus déconcerté que jamais. Cela n’a pas de sens, l’appel à l’aide, le désespoir vient du Nord-Est. Néanmoins, Pad avait appris une chose importante depuis toutes ses années dans la Force. Toujours se fier à elle ! Sans comprendre, Pad engage son Yacht Naboo dans l’hyperespace.
    -----------------------------------------------------------------------------------------------------
    Lieu : Ondéron
    Localisation : Spatio-port

    Une éternité ! Voilà comment Paad perçu ses 5 minutes ! Jorus-Beku-n la menace de son sabre et lance un ultimatum à Dark-Spencer :

    Spencer - Le Jedi ! Je l'avais oublié ! Qu’est ce que tu nous veux ?! Hors de mon chemin !
    Le Jedi - Je suis Jorus Beku’n, relâche la reine ou j’exécute ta complice.

    La pluie commence à tomber, un orage éclate au dessus de ce nouveau face à face clair/obscur. La clone garde les bras levé, mais la tête basse. En secret, elle souhaite tellement que le Jedi la tue, d’un seul coup ! Elle ne recherche pas le regard du Cathar, ce n’est pas la peine, il est fou de rage et déçu qu’elle se soit laisser prendre. Si elle s’en sortira vivante, c’est un nouveau calvaire qui l’attend ! Des reproches de l’apprenti du seigneur des sith où pire encore : une torture en guise de punition pour sa non-vigilance. Un lourd silence est brisé seulement par le bruit de la pluie et de l’orage. Le maître Jedi et l’apprenti Sith se regardent avec mépris. Le Cathar laisse un grognement que la clone connaissait que trop bien. Un grognement qu’il fait toujours juste avant de la torturer.

    Le Cathar – Tue-là et ôte toi de mon vaisseau, Jedi ! La Reine est à moi !

    Voilà comment en l’espace de 5 minutes, Paad perçu ce temps comme une torture. Quand Jorus allait-il enfin la libérer! Quand allait-il enfin la tuer ! 300 secondes, c’est une éternité !

    vendredi 15 avril 2011 - 11:51 Modification Admin Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    ~ Deux mois plus tard, au moment précis où
    le conseil des Jedi s'apercevait de la disparition d'Obitom ~



    Il pleut des cordes sur la grand’ place de Taril City, anciennement nommée Degresga et nouvelle capitale planétaire de Taril, monde des Régions inconnues récemment unifié par la force et la diplomatie. La statue colossale d'un Humain nu trône, le poing brandi vers le ciel, hissant ses quarante-six mètres de hauteur au-dessus de son socle de quarante-six mètres virgule neuf. Deux-cent vingt-cinq tonnes d'acier et de cuivre. Une idée comme ça : "Une statue représentant la Civilisation éclairant le monde, qui consiste, fondamentalement en un Humain masculin nu, avec un bras levé, au poing serré, alors que l'autre tient un faisceau de commandement (...)". Une vision impressionnante pour que chaque Tarilien sache que son rôle est de servir le pouvoir en place, pour conduire Taril à la gloire.

    Le seigneur humain a promis de se retirer du pouvoir pour laisser la place à un gouvernement démocratique dès que Taril sera prête pour cela. Il a pris des mesures énergiques pour asseoir son pouvoir, après la mise en place du gouvernement planétaire : exécution des anciens dirigeants et de leurs familles jusqu'au dernier membre, proclamation d'une loi martiale, travaux d'intérêt général obligatoires. Ses lois sont dures mais justes : peine de mort pour les crimes de sang, égalité de droit et de devoir totale des sexes et des races, sécurité sociale planétaire financée par les propriétaires de grandes entreprises, expropriation de tous les propriétaires terriens, etc. Les lois locales ont été globalement conservées. Grâce à cela, il s’est attiré la sympathie du petit peuple, manne de son armée. Une armée qui a donc l’avantage du nombre et de la technologie : source d’une puissance imparable à l’échelle de ce monde.

    De la baie de transpacier de son bureau de la plus haute tour du palais gouvernemental, le seigneur humain observe le monde en adolescence. Taril s’agite sous la pluie, indifférente à la météo quand il s’agit de bâtir son avenir galactique. Le spacioport s’achève à l’est de la capitale, alors qu’en orbite le chantier naval produit ses premiers chasseurs stellaires. De la technologie spatiale primitive, sans hyperdrive, mais suffisante pour jeter les assises du programme spatial planétaire.
    « Suffisante pour que je me casse d’ici avec le premier vaisseau. » L’Humain sourit dans son manteau neuf. Ses projets avancent bien. Depuis deux semaines il n’est plus nu, contrairement à sa statue : ses vêtements de cuir arborent les clous et les piercings dont s’enorgueillissent les Tariliens. Il ne s’est par contre pas rasé et arbore, tranquillement, cheveux et barbe qui le rendent si différent de ses sujets à écailles.
    La différence physique s’est rapidement effacée sur la route de sa légitimité, devant la puissance des bombes soniques, des torpilles à proton et des turbolasers. La plupart des pays se sont inclinés sans combattre. Certains peuples ont même offert eux-mêmes la tête de leurs anciens dirigeants.

    L’Humain serre les poings. On a rapidement découvert la capsule de son arrivée sur Taril, qui a trouvé sa place dans un musée. Ses souvenirs sont revenus peu à peu et, avec eux, le désir de vengeance, brûlant comme un aiguillon venimeux.

    Edoras : Je ne sais pas qui tu es, enfoiré. Mais je vais te retrouver et te saigner comme un nerf, chiure de mynock que tu es. Et te remercier au passage pour ce fantastique cadeau que tu m’as offert… la véritable Force. Hum ! Ensuite, il faudra que j’en apprenne plus sur le sujet. Baaaaaaal et les Jedi n’ont qu’à bien se tenir. D’abord, devenir l’apprenti de Baaaaaaal. Ensuite, le tuer. Puis prendre le pouvoir que je n’aurais pas du laisser à d’autres que moi.

    Galaxy is mine ! Muahahahahahahaaa !

    :jf:

    Salut à tous les ambitieux maléfiques peu conscient des réalités ! ^^ :x
    -------------------------------------
    Ca va chier...

    Ce message a été modifié par: Edoras le 18-04-2011 14:10

    lundi 18 avril 2011 - 14:06 Modification Admin Permalien

  • Avatar Kaarde

    Kaarde

    17491 Crédits Modo

    ;) Mirax et moi avions rendez-vous au sein du QG de la Coalition Galactique. C'est là que nous allions rencontrer les modeleurs Yuuzhan Vong affectés au projet de colonisation des Régions Inconnues. Si globalement les Vong étaient mieux tolérés dans la galaxie qu'un siècle plus tôt ils quittaient peu Zonama Sekot et, craintifs, peinaient à se confronter au reste de la galaxie. Cela ne les avaient pas empêchés de se liguer courageusement à la République et les Vestiges de l'Empire contre le SEZ.
    Nous profitions du chemin à faire à pied pour partager nos informations respectives sur Baaaaaaal.

    Moi. - ... et lors de ce bref voyage dans le temps Thore et Macematu ont rencontré Baaaaaaal en pleine guerre des clones ! Cela confirme ce que je craignais sur son âge.

    Mirax. - Je confirme également. Lorsque je le côtoyais il s'est souvent vanté d'avoir été l'élève de Dark Tyranus, d'avoir volé dans la Rébellion... et même d'avoir combattu les Yuuzhan Vong. Mais je n'ai pas la moindre idée de son âge réel. J'ai peur que si nous ne l'arrêtons pas aujourd'hui il nous survive et demeure une menace pour les prochaines générations.

    Moi. - Il faudrait trouver l'origine de sa longévité. Peut-être des techniques Sith, ou des séjours en stase...

    Mirax. - Non. Je ne l'ai jamais vu faire usage d'une de ces méthodes, ni employer aucun moyen médical. J'ai peur que son exceptionnelle longévité soit... héréditaire. Il faut donc qu'il ne soit pas tout à fait humain. (elle se mit à sourire) Mais je ne pourrai pas le confirmer avant de l'avoir disséqué.

    Entretemps nous avions passé l'enceinte du QG de la CG et marchions vers les quartiers des forces Yuuzhan Vong.

    Mirax. - Je n'ai encore jamais été confrontée à ces êtres. Si je me souviens bien... tu avais fait une mission sur Zonama Sekot, non ? (voir ici )

    Moi. - Oh, oui. C'était lorsque nous enquêtions sur cette maladie que Mister X avait lâchée sur nous. Tu te souviens ? Il s'était associé à une ex-apprentie de Baaaaaaal et avait enlevé des modeleuses Vong pour créer le virus. Jorus faisait partie de la mission... et Baaaaaaal aussi, tant qu'il était notre allié temporaire.

    Mirax. - Ah oui, si je me souviens bien il était persona non grata sur Zonama Sekot.

    Moi. - Oui, en partant j'avais laissé mon propre holocron, et depuis cette mission je suis devenu un interlocuteur privilégié pour les Vong. Tu n'as pas à t'inquiéter. La seule chose qui puisse te déranger chez eux est leur absence dans la Force. Mais depuis un siècle ils n'ont de cesse de vouloir faire oublier le mal que leurs ancêtres ont causé et manifestent un immense respect envers les Jedi. Tu vas voir, ils sont très courtois.

    Mirax. - Pourquoi n'ont-ils pas un siège au Sénat Galactique ?

    Moi. - Ils n'osent pas, tout simplement. Et aussi parce que Zonama Sekot conserve une certaine distance avec les affaires courantes de la galaxie. Mais leur présence sur Coruscant en tant que membres de la CG est déjà un grand pas en avant.

    Des gardes Yuuzhan Vong vinrent à notre rencontre, nous saluèrent, et nous escortèrent jusqu'au bureau du Commandeur Sakanga, représentant des forces Yuuzhan Vong à la CG.
    Le Chancelier Mahan et Thore étaient présent également sous formes holographiques. L'usage de l'holocom m'indiqua d'ailleurs que les Vong commençaient à surpasser leur aversion pour les technologies non-organiques. En retrait se tenaient trois autres Yuuzhan Vong, deux femelles et un mâle, que j'identifiai à leurs prothèses comme des membres de la caste des modeleurs.

    Sakanga. - Salutations, Maîtres Jeedaï ! Nous sommes très honorés de votre venue.

    Mahan. - Heureux de vous voir enfin, Maître Terrik ! Bien, commençons. Tous ce qui sera dit au cours de cet entretien devra demeurer secret. Le projet est bien trop important.

    Sakanga. - Voici trois de nos meilleurs modeleurs, qui se sont portés volontaires et ont quitté leur retraite de Zonama Sekot pour concevoir le vaisseau-monde dont dépend la louable entreprise du Chancelier.

    Mahan. - Maître Terrik et Maître Naberry auront pour charge de les escorter jusqu'au chantier du vaisseau-monde, qui est... Maréchal, je vous prie... ?

    Thore. - Nous avons choisi le système de Wayland, pour les ressources en biotechnologie Vong demeurées sur la planète. Mais l'info doit demeurer strictement confidentielle.

    Alors que la discussion se poursuivait un doute m'assaillit. C'était Pad, inquiète, qui projetait ses sens vers moi. Presque au même moment un message de sa part arriva sur mon comlink. J'y jetai discrètement un oeil et le montrai à Mirax.

    "Kaarde, j’ai un mauvais, très mauvais pressentiment pour Coruscant. Au moins deux vaisseaux viennent vers vous. Soyez sur vos gardes. Je ressens aussi un appel, un désespoir au Nord-Est de Correlia, ma position actuelle. Je vais voir ce que c’est. Il faudra que l’on se parle d’un point important. Je dois te voir, prend soin du Temple. "

    -------------------------------------
    I've a baaad feeling about this !


    Ce message a été modifié par: Kaarde le 19-04-2011 10:33

    mardi 19 avril 2011 - 10:23 Modification Admin Permalien

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