Base de Corellia - missions (page 5)

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  • Avatar JanRacon

    JanRacon

    1004 Crédits

    Un filet de sang coulait de la bouche de l'homme, mais il était encore vivant, et conscient, par chance.Il me fit signe d'approcher.

    Politicien:Je ne sais pas qui vous êtes..Mais vous m'avez sauvé la vie.

    La police fit son arrivée a ce moment.Le service d'ordre, toujours lucide et compétent, me voyant penché et armé sur le politicien, degainèrent leurs armes, et me mirent en joue.Je reculais, et levais mes mains, obtempérant pour l'instant.

    Flic:Lache tes amres, crapule, tu es fait!A terre, les mains sur la tête, et plat ventre, e.....

    Moi:.....Doucement, doucement.

    Flic:Joue pas au plus malin avec moi!!

    Il me braqua avec deux fois plus de haine.....Je me demandais comment ca aller finir, lorsque le politicien se releva, et essuya le sang qui coulait de sa bouche.Il se dirigea vers le policier, qui se pavanait avec son blaster, persuadé d'avoir dejoué un supra-attentat.

    Politicien:Ca va, il m'a sauvé la vie.Il vient avec moi.

    J'oublierais pas l'air con du policier, et je ne pus m'empécher d'éclater de rire.Le politicien me fit un signe, et je m'avancais vers lui, saluant le flic.
    Un joli vaisseau nous attendait, et nous montâmes.
    A peine a l'interieur, le politicien engagea la conversation.


    Politicien:[b]Je vous remercie de m'avoir sauvé, et j'aimerais que vous preniez ceci.

    Il me fourra 3,000 crédit dans la main, que je pris.

    [b]Politicien:
    Nous allons bientot arriver chez moi.Je vous invite, et nous parlerons.Vous acceptez?

    Bien sur....

    samedi 01 avril 2006 - 20:54 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Après discussion et analyses, j'avais appris que la fille s'appellait Clara, qu'elle venait juste de plaquer son ex, avait peu de crédits, portait des bonnets C, possédait des diplômes en langues étrangères et en capitalisme divers mais révait -- étrangement -- de devenir mannequin vedette d'une firme de cosmétique. Les demoiselles ont parfois des idées bizarres...
    Après un temps, elle me demanda mon âge, je lui demandai de combien elle m'accusait. Elle me répondit 32. Tout content de son analyse flatteuse (je suis quand même arrière-grand-père), je lui dis qu'elle pouvait garder ce chiffre. Quelques baratins plus tard, je m'assurai que la voie était dégagée et l'emmenai manger dans un restocaf Corellien tenu par l'un de mes bons amis. Sur le chemin du retour, qu'elle ne fut pas ma joie d'apercevoir un certain sergent Maverick, arrivant dans notre direction. Nous étions dans une ruelle servant de dépôt aux deux magasins qu'elle permettait d'éviter, ce que j'avais coutume d'appeller un raccourçi. Afin de ne pas dévoiler nos doux visages aux Impériaux, je plaquai Clara contre un mur et l'embrassai farouchement, le temps de se faire dépasser par la patrouille. Laquelle sembla ralentir le pas lorsqu'elle fut à nos côtés. Je ne lachai la corellienne que lorsque je fus certain qu'ils aient tous passés le coin de la ruelle.

    Clara : ... Comme vous y allez... Tu as l'habitude d'éviter les patrouilles, on dirait.
    Édoras : C'est le b-a ba du manuel de survie :cli: Bon, on y va ? J'ai l'impression qu'il vaut mieux quitter Coronet ce soir. Je vais te laisser à l'hôtel pendant que je traiterai d'une affaire avec des collègues, pour financer notre décollage.

    Je me retournai et fit un pas vers le bout de la rue, la tenant par la main. Elle m'attira à elle et m'offrit un pourboire en nature, je la remerciai d'un large sourire et la ramenai. Une fois à l'hôtel, je profitai qu'elle prenait sa douche pour vérifier mes chargeurs et appeller la base locale. Je m'appropriai un transport d'alcool corellien, ôtai mes bottes, m'assis sur le lit et entrepris de trouver une chaîne convenable parmi les vingt disponibles. Je m'affranchis des nouvelles locales, regardai distraîtement un vieil holofilm où un certain sergent impérial Vhi O'Lence annihilait, à lui seul, une base rebelle, armé d'un E-Web qu'il portait à bout de bras, ce que je savais par expérience impossible pour un Humain. Puis Clara sortit de la salle de bains, un essui sur la taille et un autre autour des cheveux, et je zappai sur le cours de la bourse lorsque l'eau s'arrêta, afin de donner bonne mesure à mon rôle de commerçant.

    La fille menthe à l'eau : Pas encore parti ? Tu ne devais pas voir tes collègues ?
    Missa : J'irai chercher la marchandise cette nuit, pour éviter les patrouilles... Voilà deux fois que Maverick passe dans la rue aux pieds de cet hôtel.
    Silence.
    " Il n'y a qu'un seul lit... Prends le, je dormirai à terre : je devrai me relever après minuit, de toute façon.
    Elle : Vous êtes quand même un homme extraordinaire, vous savez ? Et où m'emmenerez vous, après ?
    Édo, baratineur : La Galaxie est vaste... je pourrai te montrer des planètes d'une beauté seule comparable à la tienne, des étoiles par milliers de perles dans l'océan de l'espace... les lieux où les Impériaux ne viennent pas sont souvent les plus beaux que je connaisse.

    Elle me demanda quels mondes j'avais déjà visités. Je lui parlai de mes voyages (omettant généralement les missions qui s'y rapportaient) et elle vint les écouter, assise à mes côtés, et bientôt blottie dans mes bras.
    Trois heures plus tard, je me glisai hors du lit, reposai les draps sur ses épaules nues et sortis dans la froideur nocturne.

    :jf:

    dimanche 02 avril 2006 - 13:13 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar denis_sith_

    denis_sith_

    2336 Crédits

    Arrivé devant Tatooïne, je me dirigeais vers l' astroport de Mos Eisley.
    Descendu de mon vaisseau, trois Jawa vinrent m' harceler pour prendre mon vaisseau, je leur donnais chacun un petit coup de pied pour me laisser passer, je vous jure ces jawa..

    Je pris un landspeeder après avoir assommé l'homme qui le gardais, puis je mis les voiles vers le sud, vérifiant mon équipement.
    Tout étais prêt, mais une intuition vint me perturber, je la sentais mal cette mission, très mal...
    Après avoir parcourut les trois-quart de la distance qui séparait Mos-Eisley de la base désaffecté, je commençais à l' apercevoir...
    Une petite base mais avec de hautes installations, protéger par un vieux mur de pierre avec... un tour de garde !
    Voilà la preuve que c'est ici, j' arrêtais donc mon speeder assez loin pour ne pas qu'ils le voient et je mis mon équipements.

    Le tour de garde étant passé, je me dépêchais d' avancer jusqu'au mur, puis j 'avançais, toujours collé contre le mur.
    J' aperçus la porte, protégé par deux hommes, je sorti donc mon E-11.
    Boom, les deux hommes s' tombèrent au sol, je me dépêchais de les rejoindre pour prendre leurs corps et les cacher à l'intérieur.
    Après avoir passé la porte, j'ai juste eu le temps de me cacher contre le mur avec les corps que les gardes passèrent...

    1er garde > Tiens ils sont encore parti siroter une bière ces deux là, heureusement que personne viens ici, on perd vraiment sont temps...

    2ème garde > Oué ta raison, mais bon ma maman a besoin de moi pour de l' argent !


    Ouf, ce fut juste cette fois si...
    Après avoir caché les corps dans une petit local, je me dirigea vers la grande tour au centre de cette base, sûrement la qu'il y avais les armes...
    A peine rentré que six gardes me tiraient dessus, étant donné qu'ils étaient derrière la porte !
    Je me cachait donc derrière un container en métal pour être à l' abri tout en leur tirant dessus.
    trois minutes après, on ne parlais plus d' eux...

    Après avoir abattu de nombreux gardes, j' arrivais devant une immense porte, du genre porte où se cache les richesse, mais aussi une bonne défense...

    A peine l' avoir ouvrit qu'un rancor fit son apparition, là j' était vraiment mal...
    Je roula à terre pour éviter un de ses coups, tout en lui tirant dessus, mais sa semblais ne pas lui faire grand-chose...
    Je profita du moment ou il ouvrit sa grande gueule pour lui balancer mes détonateur thermique, le feu d' artifice, à part qu'après il y avait de la cervelle partout...
    Je pris la caisse puis je sorti de cette tour, pour être accueillit par une vingtaine de soldats...
    Je décida donc de retourner à l'intérieur, fermant la porte derrière moi, qui se fit vite bombarder par des salves de laser...
    Je retourna prêt du rancor, en essayant au plus vite de l' ouvrir et de retirer ses boyaux, ce qui ne sentait vraiment pas bon ...
    Après l' avoir bien vidé, je me glissa dedans, avec la caisse et essaya de fermer un peu l' ouverture que j'avais faite.

    homme> Mais zut, ou peut-il être?

    homme> Aucune idée, mais j'ai vu son speeder, allons l' attendre là-bas !


    Après qu'ils soient parti, je sorti de se rancor puant avec la caisse, puis je cherchais une sorte d' hangar à l'extérieur de la tour...
    Je vis un petit speeder volant, je le pris donc et pour le pas me faire repérer je fis un long détour pour ne pas passer au dessus des gardes.
    Arrivé à Mos Eisley je me dépêchais de revenir dans mon vaisseau pour décoller au plus vite.
    Arrivé dans l'espace, cinq chasseur Z-95 m' attendaient, sûrement les hommes de tout à l'heure.
    Je mis donc en place mes tourelles automatiques et je mis les gaz vers eux, tout en dégommant celui qui était le plus prêt. Les autres se séparèrent voyant ce que je venais de faire.
    Mon radar m' indiquais que l'un deux , qui était derrière moi, s' approchais sûrement pour faire feu.
    Je donnais l'ordre à mes tourelles de l'éliminer, ce qui fut fais trente secondes après.
    Trois autres étaient en face de moi, tous alignés comme des idiot...
    J'en profita pour faire feu sur le premier, et le deuxième s'en suivit tout comme le troisième.

    Je repris donc ma route, tapant les codes d' hyperespace puis en y passant.

    Arrivé devant Kashyyk je contacta l'homme à qui revenais ces snipers, et il me donna des coordonnées pour atterrir.
    J' atterris, je le rejoignais et je lui donnais la caisse, qui lui en contrepartie me donna les crédits de ma paye.
    Je repartis joyeux vers mon vaisseau, ayant dans la tête de passer a la cantina boire un verre.

    mardi 18 avril 2006 - 13:19 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Evitant les patrouilles, je parvins à rejoindre un fournisseur d'alcool avec lequel nous avions de très bons contacts, et je lui proposai un échange contre des armes, pour ses potes. Il accepta et je lui remis les armes, préalablement emportée depuis notre base locale. Je chargeai le tout dans un speeder (que je dus évidemment "emprunter" à ses propriétaires) et repris la route vers l'hôtel, afin de récupérer mon occupation du moment. :cli:

    Arrivé sur le slieux, quelle ne fut pas ma désagréable surprise de constater que le secteur était surpeuplé de soldats Impériaux, tous plus armés les uns que les autres, et que Maverick présidait à l'assaut. Le gérant était déjà arrêté pour "complicité de meurtre" (il n'avait pas donné d'explication satisfaisante), "entrave à la justice" (avait dissimulé involontairement des criminels), "rébellion" (avait demandé "qui dois-je annoncer ?" lorsqu'on lui avait ordonné le numéro de notre chambre) et enfin, il avait reçu une amende pour "fraude à l'emploi" (les 17 immigrés non-Humain qui étaient exploités aux cuisines). Ma chère Clara sortit dans la rue, un peignoir de bain sur les épaules, précedée et suivie par quatre hommes en armes.
    Soit huits soldats du corps d'élite pour une jeune fille désarmée... toute l'absurdité de la force impériale ! :refl:

    Enfin, bon... je ralais un peu, parce que le coin était chaud. J'avais toutes mes affaires sur moi, mais la peau de l'actrice me manquerait surement.
    Seulement voilà : il faut être complètement taré du ciboulot pour penser délivrer une poufiasse hors d'une prison de l'Empire Galactique, ou des griffes de 40 de ses soldats, allant du simple bidasse au premier lieutenant, en passant par une dizaine d'unités d'élite et un sous-officier hargneux.
    Dans ce cas, je dois être un peu fou, faut croire...

    Profitant d'un cul-de-sac sombre et humide à souhait, je sortis mon armure de mon sac et entrepris de me grimer en tueur héroïque.
    Je sortis de ma cachette, diable hurlant et tirant des salves toujours mortelles. Premier objectif : les stormtroopers.
    Ils sont peu nombreux, celà signifie qu'on est pas sur des informations de ce cher sergent, qu'on ne veut pas dégarnir toutes les garnisons de la ville pour un seul hors-la-loi, aussi célèbre et recherché soit-il, et enfin, qu'une partie d'entre eux doit fouiller le reste de la ville.
    Dîtes, je pourrais appeller des renforts, n'est-ce pas ? Seulement voilà : je vais pas déclencher une guerre civile quand je peux m'en occuper tout seul, comme un grand garçon.
    Donc, je bondis comme un diablotin de sa boite, tue six soldats d'élite en armure blanche, expédie deux détonateurs en direction de véhicules militaires gardés (qui explosent à leur tour, le résultat se chiffrant à une vingtaine de torches humaines pour le prix deux détonateurs).
    Stupeur dans les rangs !
    Panique dans la ville !
    Alerte générale !
    C'est la danse de la mort !
    La salsa du Vaurien !
    Maverick hurle à la trahison, le lieutenant ordonne une couverture, les derniers stormtroopers m'attaquent de front, un E-Web déchiquette le mur qui m'abrite. Six, huit, douze soldats impériaux se mettent entre moi et le lieutenant. Clara se jette au sol, six de ses gardiens viennent rejoindre la lutte.
    Moi, peinard malgré la grêle, ne craignant ni la foudre, ni le tonerre, je vérifie mes chargeurs, prépare ma lame, enserre les crosses de mes DS-2 à doubles canons, repère une échelle de secours, me hisse dans l'appartement du premier étage, effraie un couple déjà passablement dérangé dans ses ébats par le tumulte proche, repère la fenêtre et ouvre le feu sur l'E-Web et les stormtroopers. Je prend mon élan, saute le plus loin possible, lance mon grappin vers un balcon proche, lequel m'aide à modifier ma trajectoire. Je reprends un peu d'altitude, récupère le grappin et atterrisà cinq mètres de la garde rapprochée du lieutenant.
    Je dégomme les boucliers gênants, puis tire en visant entre les deux yeux du lieutenant, lequel s'effondre peu après, ses orbites vides fumant la mort.
    Ca, c'est l'effet double canon, papy !

    Ensuite, agile comme pas deux, j'extermine les deux gardiens, envoie un coup de pied dans les jambes de Maverick, lui plante mon couteau dans le coeur et achève les derniers types un peu trop proches.
    Je n'ai alors plus qu'à récupérer mon couteau et à ramener dans mes bras la jolie Clara, évanouie de peur, jusqu'à mon speeder.
    Ensuite, je l'installe et nous conduis en direction de mon yacht Baudo...

    :jf:
    -------------------------------------
    Leader de la Guilde
    Un Vaurien koalaphile membre du R.H.HU.M.S
    TERRIK

    [Ce message a été modifié par: Edoras le 22-04-2006 15:28]

    samedi 22 avril 2006 - 14:09 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar denis_sith_

    denis_sith_

    2336 Crédits

    EDO : Mission test !
    départ : d'où tu veux
    tu étais tranquillement en train de boire un
    verre, lorsqu'un type (que tu avais déjà repéré alors qu'il
    semblait perdu et discutait avec les gens du bar) signale
    s'intéresser à toi. Un de tes potes vient te chercher, tu
    entre en contact avec le type
    il a besoin d'un transporteur pour l'évacuer
    en urgence de la planète, car les Impériaux lui e
    veulent...
    son job : dealer
    autant dier qu'il transporte des produits
    aussi peu nets que lui
    [tu dois lui servir de taxi jusqu'à Corellia,
    où il prendra ses affaires chez lui, puis de Corellia, à
    Kessel pour écouler sa marchandise, puis tu devras parvenir
    à le convaincre de bosser pour la Guilde
    et donc, le ramener à Myrkr, Thyferra,
    Tatooïne ou Ord Mantell
    attention : le trajet Corellia-Kessel devra se
    faire par la Kessel Run



    Ah, la bière de la principale cantina de Metellos ne vaux pas celle de la cantina de ma chère mère...
    Mais bon tout n'est pas parfait, et puis qu'es-ce que je peu bien faire d'autre à Metellos avec un ami...
    Bref, je buvais et je parlais de tout et de rien avec mon ami, lorsqu'un type, avec un air paumé, fit son entrée.
    Il semblais chercher quelque chose, ou quelqu'un, ou alors c'était autre chose, mais il me paraissait quelque peu déranger du cibouleau...
    Mon ami lui avait quitté la table pour aller commander, et le mec en question l'interpela.
    Après une longue conversation, mon ami revenais avec la commande, et lui !

    - Dit Denis, ce gars là aurait besoin d'un coup de main de ta part...Je vous laisse, moi je doit y aller.
    - Ok. Bonjour, que voulez vous?
    - J'ai entendu dire que vous étiez contrebandier, et j'aurais besoin d'aide, les impériaux s'intéresse trop a ma petite personne, me faudrait de l'aide pour aller sur Corellia, puis sur Kessel.
    - Sa me rapportera?
    - Sa on verra ensuite, ne t'en fais pas.


    Après ces paroles, on sortais de la cantina et une patrouille de cinq impériaux nous attendaient.

    - Ouahhh, autant de monde parce que je n'ai pas payer mes consommations???
    - Non nous venons pour votre ami.
    - Ah? Tu n'as pas payé?
    - Arrêtez, vous savez très bien que nous ne sommes pas là pour cela !
    - Très bien, dites moi pourquoi alors...
    - Ceci ne vous concerne pas ! Le commandant de notre vaisseau voudrai le voir derrière une des cellules !
    - Bon, ok je me moque de ce qu'il a fais, mais bon il va me donner de l'argent mais tout d'abord je vous prie de m'excuser...(avec l'air de Séraphin, dans matrix pour les incultes^^)
    - Et pour quel raison??
    - Pour ceci.


    Je sorti mon E-11, mon collègue aussi, et nous fîmes feu.
    Trois des cinq soldats s'écroulèrent à terre, avec quelques trous sur eux.
    Pour les deux qui reste, on les acheva avec nos armes de corps à corps.
    Après s'en être débarrassé et avoir nettoyer, nous nous dirigions vers l'astroport pour prendre mon vaisseau.
    Après avoir décollé et être arrivé dans l'espace, j'entrais les coordonnées de la planète Corellia et je passais en hyperespace...

    dimanche 30 avril 2006 - 23:32 Modification Admin Réaction Permalien

  • PSW
  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Denis > Lorsque tu sortis de l'hyperespace, tu te retrouvas non loin de deux destroyers Impériaux Mark III. Les choses étaient comme tous les jours, rien d'inhabituel... une patrouille de trois Tie tout à fait classique se présenta à toi et te questionna sur le but de ton voyage, et si "vous n'avez rien à déclarez ?".

    :jf:

    lundi 01 mai 2006 - 10:31 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar mimimontesinos

    mimimontesinos

    4540 Crédits

    J'étais actuellement sur Tatooïne, plus precisement à la cantina en train de siroter un verre distraitement. Rien à faire, le bide total. Un homme en armure mandalorienne me tapota l'épaule. L'air absente je tournais la tête en direction de cet homme. Il enleva son casque en me souriant.

    Edo: Bonjour Mimi.
    Moi: Coucou. Assieds-toi.

    Il s'executa, et commanda un verre.

    Edo: Tu as quelques projets en ce moment?
    Moi: Non, rien, pourquoi?
    Edo: J'aurais une mission à te confier...
    Moi: De quel genre?
    Edo: Attaquer un convoi d'épice et d'esclaves par exemple.
    Moi: Oui, ça pourrait m'interresser...
    Edo: Un convoi partant de Ryloth, chargé d'andris et d'esclaves passe par la piste corellienne pour échanger quelques esclaves et épices contre du matériel technologique sur Nubia. Ils feront d'abors une halte sur Druckenwell pour laisser une partie des esclaves et un peu d'épices. Puis, après Nubia, ils irons sur Corellia pour décharger le reste. Alors interressée?
    Moi: Hum... très bien, ça marche pour moi. Dans combien de temps sera-t-il sur Druckenwell?
    Edo: Dans exactement 2jours.
    Moi: Ok P'pa sa roule!
    Ed': Fais attention à toi...
    Moi:Atta, tu m'as pris pour une blonde?

    Je quittai la cantina, pour rejoindre mon vaisseau. Je m'adressais au droïde:

    Moi: Euh… comment tu t’appelles toi déjà ? Baba ?

    Le droïde le pris mal.
    Moi[b] : Aka ? Voilà, Aka…calcules notre saut hyperspacial, direction la base de la Corporation du Hunting Vornskr.

    Le droïde émit une stride de Bip bruyant.

    [b]Moi:
    Dans combien de temps sera-t'on arrivés?

    Maka bipa une réponse:

    Moi: Quatre heures et demi? Ca me laisse le temps de préparer notre attaque...

    Le voyage fut paisible. J'élaborais notre attaque, tranquillement, en bidouillant sur mon databloc, lorsqu'Nika me prévint que nous venions d'arriver. Le hangar était énorme, et malgrès les quelques vaisseaux s’y trouvant , le « Vornskr » était sans nul doute le plus beau. Un jeune homme se tourna à mon arrivée.

    Janou: Momaaaaaaaaan!
    Moi: LAPINOU!

    Après de longues embrassades, je lui demandais, où se cachait Nagounet.

    Jan: Hum... Sais pas^^.

    Le temps qu'il choppe son comlink, qu'il échange deux, trois mots avec son paternel, et voilà notre cheeeeeeeeeeeeer naga qui se pointe.

    Naga: Mimi...
    Moi: Nagounet!
    Naga: D'accord, tu veux? De l'argent?
    Moi: Meeeeeeeeuh non...Juste, tu me prête le "Hunting Vornskr"?
    Naga: Hum...non^^.

    Après une longue disscution...(véridique) il finit par céder... devant mon charme légendaire, il n'y avait là aucuns doutes! Juste le temps de me changer et d'avaler un morceau, de brieffer l'équipage, nous étions déjà prêts à décoller. Direction Druckenwell.
    Le vaisseau quitta la base dans un vrombissement assourdissant. Tandis que nous passions en vitesse lumière, j'éprouvais un sentiment d'exitation poignant...ma première attaque, menée par mes soins! Espérons que tout ce passe bien...

    lundi 22 mai 2006 - 20:55 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Le voyage en hyperespace se passa comme il doit se passer en théroie : sans aucun problème. Une heure fila sans que rien ne se produise, hormi des allées et venues classiques de marchands et de planétaires. Puis, six Pinook sortirent de l'hyperespace, en formation, aussitôt suivis de deux Maraudeurs, trois convoyeurs modulables, un transporteur de Bacta B-12, deux Gallofree et quelques Y-Wings. Sans hésiter, tu ionises les Pinook, lesquels se retrouvent immobilisés sur al trajectoire du convoi, détruisant les boucliers, déjà endommagés par le voyage, des Maraudeurs...

    À toi. Ne quitte pas le système. Empèche les vaisseaux transportant du ryll de s'enfuire. Les esclaves, le Bacta et les chasseurs sont des cibles secondaires, tu pourras les retrouver plus tard, en orbite de Corellia.
    Ta peau, ton vaisseau (ou plutôt celui de Naga), ainsi que ton anonymat vis-à-vis des planétaires sont des conditions sine qua nonpour la réussite de cette mission.


    :jf:

    mardi 30 mai 2006 - 19:41 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar darkscorpionw

    darkscorpionw

    3935 Crédits

    Mission Alliance.

    Le Magasin de la Guilde. Il est trois heures de l’après-midi. Le soleil ? Je ne sais même pas si il y en a… il caille aujourd’hui !
    Je suis allé voir Edo ce matin, et il m’a confié une mission. L’Alliance, c’est le nom qu’il lui a donné. Enfin, son nom, moi, je m’en fiche complètement, c’est le contenu qui importe.
    Mon but ? Transporter trois rebelles aux chantiers Navals Kuat. Encore faudrait-il que je sache où ils sont.
    M’enfin, j’vais me balader, je trouverais bien.
    Je sortis du magasin. De l’eau. Encore de l’eau. Saleté de pluie !
    Est-ce réellement le moment de se lamenter ? Je ne crois pas…
    J’arrivais à la cantina. Un bon cotyg, ça me réchaufferait. J’entrais, sous le regard des clients attablés. Oui, j’étais trempé…et ça, ça attire les regards. Ou peut-être étais-je simplement…beau ^^.
    Un homme est accoudé au bar. Pas un Imperial, celui-là, ça se voit. Ni même un Guildeur. Curieux, je m’approchais de lui. Je sais, ça y est ! Ce Duro, c’est…oui ! c’est Kennan Djorgins, le recruteur Rebelle…
    C’est à lui qu’il fallait que je m’adresse, pour savoir où étaient les trois zigotos.


    Moi: Monsieur Djorgins ?

    Il pose une main sur son blaster, puis se retourne.


    Djorgins : Ah ! Vous m’avez fait peur ! Les Impers’ me cherchent…

    Moi : C’est pour une toute autre chose que je viens vous voir… mais nous devrions en parler plus…discrètement.

    Djorgins : C’est d’accord.

    Il avala son verre cul-sec, le posa sur la table, ainsi que les crédits nécessaires à régler l’addition, puis nous sortîmes par la porte de derrière.
    Arrivés dans la rue, je me mis à réfléchir un peu. Discrétion, discrétion…où est-ce que ça se trouve, ça…
    Mais oui ! On dit que ce que l’on cherche se trouve toujours en dessous de son nez… Nous restâmes donc dans la ruelle, où quelques habitants corelliens, revenant des courses, passaient.
    Je commençais alors…


    Moi : Il paraît que vous…

    Djorgins : Tutoie-moi, je supporte pas qu’on me vouvoie. Pourquoi ? Parce que ça me fait penser aux Impers’ qui viennent m’arrêter…

    Moi : D’acc’ ! Donc, il paraît que tu aurais quelque chose pour moi…à faire livrer à Kuat.

    Djorgins : Ouaip’ ! Mais…avant…je voudrais une preuve que tu es bien celui à qui je dois dévoiler leur cachette…

    Moi : Vous n’aurez rien d’autre que ma parole. Mon parrain, Edoras, m’a toujours enseigné de ne pas engager autre chose que sa parole, et je crois que j’ai retenu la leçon.

    Djorgins : Edoras…Edoras Konnix ?? Tu le connais ?

    Moi : Oui, il m’a formé et initié aux arts de la contrebande…et je l’en remercie.

    Djorgins : Alors, c’est bon…te crois. Mais, je préfèrerais aller avec toi jusqu’aux petits Rebs’ qui t’attendent.

    Moi : Pas de pro…

    Nous fûmes interrompus par des bruits de tirs. Puis nous entendîmes clairement, à travers l’acier de la porte de service…

    « Nous venons chercher Kennan Djorgins ! Nous savons qu’il est ici ! Toute résistance est inutile… ! »

    Sans hésiter, nous nous mîmes à courir dans la rue. J’aperçus un vendeur de bières, sur le bord de la route. A côté de lui… un speeder ! Je n’hésitai pas. Je saisis une bouteille de bière, et la lui lançai au visage. Un hurlement. Des bouts de verre dans le visage. M’en fiche, j’avais besoin de ce speeder. J’ordonnais à Kennan de monter. Le speeder…pas très rapide, mais, assez puissant. Le vendeur, affolé, parlait à une patrouille impériale, et bientôt, nous nous retrouvâmes avec deux speeder-bikes au troufion .Résultat, ils ne nous lâchaient pas.

    Moi : Dis Djorgins, si tu me disais au moins sur quelle planète ils sont ?

    Djorgins : …hum…je sens que ça va pas te plaire…Nal Hutta.

    Moi : Ben voyons ! Pourquoi pas dans le palais de Jabba tant qu’a faire !

    Djorgins : Enfin…si tu veux pas aller les chercher…t’auras pas de prime, c’est tout.

    Moi, toujours en conduisant : Tout dépend de combien elle est !

    Djorgins : En fonction de ta réussite...

    Moi : Tu pouvais pas le dire plus tôt, hey, primate !

    Je dégainais ma vibro-lame. Je freinais. Le speeder-bike qui était à ma gauche, ne freinant pas, passa ma hauteur. Je le décapitai. Un de moins. Restait l’autre. A droite, la rue à droite, elle m’aiderait à regagner l’astroport. Par chance, je tournai au moment où le speeder allait continuer tout droit. Renversé, l’Imper’. Par terre, il gueulait. L’astroport en vue. Le visa d’entrée !Bon Dieu ! J’lai pas, celui-là.
    Deux gardes. Deux blasters donc. Deux chances de se faire plomber. Je sais !
    Je regardai Kennan, puis lui demandai de sauter du speeder. Sans poser de question, et me faisant confiance, il s’exécuta. Je fis de même. Le speeder écrasa les deux gardes. Furtivement, nous passâmes. Personne ne s’en rendit compte. Et puis même, à la limite, que nous feraient de simples passants.
    Dix minutes après, nous avions décollé. Direction Nal Hutta. Le pilote automatique enclenché, je pouvais pioncer un peu…
    Des bruits me réveillèrent…
    On venait d’atterrir. Déjà un Hutt était aux portes de mon Vaisseau : Le Grotesk.
    Je sortis , il m’observa, puis commença, se faisant relayer par son interprète pour que je puisse comprendre.
    Il me demandait de payer…une taxe d’atterrissage.
    Deux chasseurs de primes à côté de lui. Me fallait agir vite et bien. Je dégainais mes deux vibro-lames, les envoyant dans le ventre de chacun des chasseurs de primes. Le Hutt, je le tuai au E-11, d’une petite rafale. Abattus, tous les trois. Le droïde de protocole ? Tué, enfin, en pièces détachées, grâce à Djorgins.
    Ceci était réglé, espérant que je ne me retrouve pas avec la police aux fesses pour meurtre. Enfin, qui se soucierait d’un Hutt ? J’avais dû, par cet acte, rendre service à bien des gens.
    Sur une plate forme adjacente, je vis Jes’ en train d’atterrir accompagné de sa ribambelle d’amis.
    Un petit signe de main. Il me répond. Il semble assez préoccupé.


    Tout allait commencer maintenant…

    jeudi 15 juin 2006 - 19:10 Modification Admin Réaction Permalien

  • Avatar Edoras

    Edoras

    7665 Crédits

    Les rebelles étaient tous les trois là, visiblement en bonne santé.
    Seul problème : "Qui se soucierait d'un Hutt ?"
    Réponse : son patron, qui aime pas qu'on tue ses employés à s aplace ! Et paf, au même instant, des gardes du Seigneur Hutt, qui employait le dégénéré que tu as flingué, accourent dans ta direction et celle des rebelles, dans la ferme intention de vous faire la peau !

    :jf:

    vendredi 16 juin 2006 - 11:10 Modification Admin Réaction Permalien

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