Le Temple Jedi 2 (page 112)

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  • Avatar Padme111

    Padme111

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    La bure trempé et déchirée, salle et empestant les égouts, assise épuisé sur un monticule de terre à moitié sec, j’envoie le compte rendu de ce qui m’est arrivé sur la seul fréquence que je sais être sécuriser. Et pour plus de sécurité encore, je ne l’envoie qu’à Jorus_Benu_n !
    « C’est après des semaines d’enquêtes dans les bas fonds de Coruscant, que mon enquête me mène ici ! »
    Je regarde encore une fois autour de moi. Il n’y avait plus rien d’autres que des cadavres ! « Pourquoi suis-je arrivée trop tard ? Pourquoi la Force ne m’a-t-elle pas guidé plus tôt ici ? J’aurai probablement pu en sauver quelques uns. Mais non, trop tard, je suis arrivée trop tard. » Les cadavres étaient mutilés, ce qui m’indique que les hommes qui ont agit, ne désiraient pas de survivant. C’était une extermination pur et simple ! Toute une organisation réduite en un tas de chaire humaine et non humaine. La puanteur d’une Hutt éventrée fini par me motivé à me levée. « J’estime que cette horreur s’est produite hier, ou ce matin. Mais qui ? Et surtout pourquoi ? Pour quelle raison l’organisation de Mère a-t-elle été détruite de cette manière. »

    Soudain le bruit d’une planche tombant à terre me mis sur mes gardes, sabre activé ! Ne repérant plus de mouvement, je sonde avec la Force et à mon grand étonnement je perçois une faible présence. Prudemment, j’approche de l’endroit où la planche est tombée. Je ne perçois aucune pensée, ni sentiment. Je remarque seulement un bout d’aile bleuté… Un Toydarien !

    Moi – Qui est là !?
    ? – Aiiid…Jedi…

    « Ah bravo ! Bien oui, avec un sabre, je ne peux être qu’une Jedi ! Par de là la galaxie, je suis vraiment épuisée pour oublier de garder mon incognito ! » Mais devant la difficulté que le Toydarien a de se dégager, j’estime qu’il n’y a pas de danger venant de cet être. Je m’approche de lui et désactive mon sabre que j’accroche à ma ceinture. J’aide le survivant à se dégager, mais il essaye vainement de me dire quelque chose.

    ? – Droï… faut prévenir… L’ambassadeur…
    Moi – Doucement mon ami. Une chose à la fois. Gardez vos forces, je peux vous aidez.
    ? – Droïde, trou…ver… LE droïde…
    Moi – J’ignore de quel droïde vous voulez me parler. Mes vos plaies sont sérieuse.

    Je ne pouvais ni lire dans son esprit, ni connaître ses sentiments. Par contre, une chose est certaine, n’ayant pas approfondie la technique de guérison, je ne pouvais que soulager sa douleur. J’essaye de repérer un Médic mais dans un tel fouilli, ce fut impossible. Le blessé allait mourir et pourtant, il ne pense qu’à prévenir un droïde. « Le prévenir de quoi ? Quel ambassadeur ? Ici sur Coruscant, il devait en avoir plus que des puces sur un Bothan ! »

    Moi – Je trouverai le droïde pour vous. Je soulage votre douleur, mais je ne peux vous guérir. Transmettez moi le message et précisez moi à quel droïde ? Mais avant tout, quel est votre nom ?
    ? – Xillus… Droïde … piège…Od
    Moi – Le droïde est tombé dans un piège ?
    Xillus fait non de la tête – …di…Odi.
    Moi – Odi ? ODI!? REMEYODI !!! C’est de lui que tu parles !? Qu’a-t-il avoir avec tout cela ?

    Une angoisse profonde monte en moi et je fais appelle à toute ma maîtrise Jedi pour ne pas étriper ce pauvre mourrant !

    Xillus – Faut à Odi …Ambass...adeur kidnappé…Law…
    Moi – Jamais Rem ne pourrait être mêler à un tel carnage, vous faites erreur! Tant qu’à Lawbec ! Oui, je suis au courrant. Le Wookie a fait kidnappé un ambassadeur ! Mais pour qui travaille Lawbec ? Et qui est l’ambassadeur ?

    Xillus perd beaucoup trop de sang et je n’avais rien pour stopper l’hémorragie. Il ne réussi à articuler qu’un seul nom – Vyvacy
    Moi – Qui ! C’est l’homme pour qui travaille le Wookie ou l’ambassadeur ? Réponds, réponds !

    Trop tard, Xillus venait de rendre son dernier soupir. Je dépose le corps, me relève avec une grande inquiétude.
    « Vyvacy est un ami, il ne peut pas être un traître. D’un autre côté, c’est quelqu’un de très ambitieux. Lui, un traître ? Non, je ne veux pas le croire. Mais s’il est kidnappé… Pourquoi ? Mais surtout, je dois savoir en quoi Rem est impliqué ?» Perdue dans mes pensées, je m’approche des restes de Mère et une petite boite noir attire mon attention. Je prends mon courage à 2 mains et prends la petite boîte. A son contacte, j’ai une première vision*.

    Moi – Non ! C’est impossible !

    J’ouvre cette boite à bijoux et y découvre une broche en forme de Phoenix rouge vif ! Tellement vif que lorsque je la touche, j’ai une seconde vision **.

    Moi – Non, non, je ne peux, je ne veux pas croire que je ferais une chose pareil ! Non !

    A ce moment là, un gigantesque tremblement de terre*** survient ! Les murs se mettent à me tombé dessus, et la poussière envahit rapidement mes poumons déjà fragilisée par mes blessures. Un caillou me tombe sur la tête et je perds conscience.

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    * J’explique ma vision plus bas. Tyria vient perturbé mon enquête, alors j'ai du l'écourter ! MDR. :D

    ** Idem, A cause du poste de Black Baccara, j'ai du condenser ce que je pensais poster en 2 messages en 1 seul. Pardon si mon message est long. LOL :ple:

    *** Pour ceux qui n’ont pas compris, le tremblement de terre et en réalité le vaisseau qui vient de s’écraser sur le sénat. :cli:
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    Maître de Unduli et de Carth
    Les Jedi ont perdu tout sens de l'humour! Pas moi, MDR

    Ce message a été modifié par: Padme111 le 23-02-2007 20:33

    dimanche 18 février 2007 - 20:20 Modification Admin Permalien

  • Avatar Mirax_Terrik

    Mirax_Terrik

    7045 Crédits

    Je restais figée de stupeur face à l’hologramme. Comment ? Comment avais-je pu faire une chose pareille ?
    Instinctivement, j’avais serré les points. Une colère noire montait en moi sans que je puisse la retenir. Heureusement que Kaarde m’avait pris mon sabrelaser sans quoi son bureau en aurait surement souffert. Je tremblais littéralement de rage. Kaarde arrêta l’holo et se leva, me dominant de toute sa taille. Il utilisa la Force pour donner plus d’appui à son ordre :

    Kaarde : Mirax, calme-toi.

    Lentement, peu à peu, ma colère s’estompa. Restait l’incompréhension… Je dus m’asseoir. Kaarde retrouva son expression neutre habituelle.

    Kaarde : Tu comprends pourquoi ceci t’es resté caché jusque-là ? Qui plus est ta réaction confirme ce que Clickman craignait : Maléfica t’as fait quelque chose. Tu entres dans une colère noire chaque fois que l’on évoque le Seigneur Noir.

    J’étais toujours dans un tel état de stupeur que je ne répondis rien. Kaarde me fit un sourire.

    Kaarde : Ca va aller ?
    Moi : Je… Je ne sais pas. Mais merci de ton honnêteté mon ami.
    Kaarde : C’est normal. Comprends-tu pourquoi tu ne peux pas quitter Ossus pour le moment ?
    Moi : Oui. Je représente un danger pour moi et pour l’Ordre entier… Mais qu’est ce qu’il m’a pris ?
    Kaarde : La raison du cœur n’a souvent pas de logique tu sais…

    Son communicateur bipa. Pendant qu’il prenait la communication, je laissais mon regard dériver par la fenêtre. Ils avaient tous raison. Avant de repartir je devais me remettre et être prête à affronter nos ennemis… Kaarde m’avait calmé avec peine alors que j’avais seulement vu un Holo de Baaaaaaal. Que se passerait-il quand nous nous retrouverions face à face ?...

    Une perturbation dans la Force se manifesta alors. Comme un hurlement, puis un froid intense, et un grand vide… Des milliers de vies venaient de s’éteindre brusquement, nous portant à Kaarde, moi ainsi que de nombreux autres Jedi comme un coup de poignard.

    Un moment plus tard, devant la borne holonet du bureau de Kaarde, nous regardions tout deux les images terribles des décombres du Sénat…

    lundi 19 février 2007 - 19:44 Modification Admin Permalien

  • Avatar Padme111

    Padme111

    27173 Crédits

    Je sens au bout de mes doigts de la poussière, mes jambes sont lourdes et ma respiration difficile. Je sens comme un coup de poignard dans mon être. « Des vies se sont éteintes… Non, je ne peux y croire ! » J’ai repris conscience, mais n’ouvre pas encore les yeux, j’avais beaucoup de mal pour accepter ce que la Force me communiquait. J’utilise le sens du danger afin de m’assurer que je puisse me lever sans prendre de risque.

    Le vide… la mort… la destruction… voilà tout ce qui reste autour de moi. J’ouvre enfin les yeux, mais il faisait très sombre. La poussière retombe encore et elle pénètre dans mes bronches, je fut prise par une quinte de toux qui m’oblige à m’assoire. Ma jambe droite me refait souffrir, mon ancienne plaie n’était pas ouverte, mais le muscle avait été beaucoup trop sollicité ses dernières semaines. Lorsque je réussi à cracher les saletés de mes poumons, j’observe autour de moi. Effectivement, la pièce avait subit d’énorme dégâts et les murs menaçaient de s’écrouler. « Il est temps que je change d’air ! » Je me lève, toussotant encore un rien, et je me fraie un chemin, en boitant, jusqu’à la sortie. Une douleur se réveil et j’essuie un filet de sang de mon front. J’ai toujours la petite boîte noire dans ma main que je place dans ma poche intérieure. De l’autre main, je m’assure que mon sabre est bien accroché à ma ceinture.

    Utilisant le sens du danger comme une sonde que j’aurai envoyée devant moi, je marche prudemment afin d’évité que tout ne s’effondre encore. « Mais qu’est-ce qui a pu se produire pour que toute cette infrastructure ne s’écroule ainsi !? » Soudain, j’eu l’impression qu’une ombre suivait un chemin parallèle au mien. L’espace d’un instant, j’avais cru ressentir le côté obscur, mais plus rien… Par prudence, je continue en essayant de faire le moins de bruit possible et d’utiliser au minimum ma Force. Je n’avais nullement envie de combattre !

    Bientôt j’aperçois une lumière qui me sert de guide pour sortir de là. Mais rien ne pouvait me préparer à découvrir ce qui m’attendait dehors ! Je sors des sous-sols et prends une bouffé d’air en fermant les yeux ! Le brouhaha des sirènes des services de secours, les cris des gens, les bruits familiers des flammes dévorant des combustibles… tout autant d’indice qui m’oblige à ouvrir les yeux avec stupeur ! Là a quelques Km de moi, là où le bâtiment du sénat aurait du s’imposer, il n’y a plus que des flammes, de la fumer des cris, des débris ! La Force m’indique un nombre incalculable d’être vivant occuper d’agoniser, la mort… la détresse… l’incompréhension… voilà tout ce qui règne ici !

    « Par les poils d’un Thernbee ! NON, c’est impossible ! » Il ne me faut que quelques minutes pour comprendre qu’un vaisseau s’est abattu sur le Sénat ! Je cours comme je le peux vers l’incendie, mais très vite un service de sécurité me barre le chemin, à moi ainsi qu’à la foule.

    Moi – Laissez moi passer, je suis Maître Jedi…
    Garde de la sécurité – Personne ne passe !
    Moi – Mais puisque je vous dis être Jedi, laissez moi allez les aider !

    Le Garde de la sécurité me regarde de la tête au pied avec méfiance et amusement. Puis, avec sérieux et fermeté, il me regarde droit dans les yeux disant :
    – Et moi, ma p’tit dame, je suis Palpatine et je vous ordonne de reculer !

    Comme pouvait-il me croire ! Dans l’état dans lequel j’étais, sale, habit déchirer, boitant, toussotant, non, je pouvais comprendre que cette homme ne voulait pas me croire. Et ce n’était pas la peine d’insister.
    Mon regard fut attiré par un ombre noir qui court de l’autre côté du barrage de sécurité. Cet ombre vêtu de noir se dirige vers… ce qui reste de l’ancien Temple Jedi ! « Oh, non ! J’ignore ce que tu cherches, mais je vais m’assurer que tu ne produises pas plus de dégâts ! » J’ignorai qui était cet ombre, mais une chose était certaine, il n’avait rien à faire sur ses lieux. Et puis, si Mirax s’était occupé de la reconstruction du Temple sur Ossus, je m’étais occupé de construire cette dalle commémorative sur les lieux tragique de notre ancien bâtiment. Personne ne connaissait les lieux aussi bien que moi.
    Unissant la Force à ma vitesse, je vais aussi vite que possible sur les lieux. Ma jambe me fait mal, elle ne supporte plus mes excès, pourtant, je devais savoir quel vaisseau venait de s’écraser. Un accident ! C’est ce que la sécurité avait raconté à la foule. Mais je ne pouvais pas y croire.
    Arriver prés de la dalle commémorative, je me dirige vers le plus proche des égouts. Je m’y introduit, marche quelques mètres en direction de l’ancien édifice. Stoppant prés d’un mur, j’active mon sabre et dégage la porte dissimulé par les quelques cailloux et déchet qui s’y sont collés sur les 2 ans ½ qui venait de s’écoulée. J’ouvre la porte, entre dans ce couloir sans aucun clarté. Je désactive mon sabre, ferme la porte derrière moi avec la Force, et la laisse guider mes pas dans cet endroit que je le connaissais bien, très bien. Tout en boitant vers ce lieu connu que part moi-même, des souvenirs revenaient, le souvenir d’avoir suivi pendant des semaines un jeune homme qui s’introduisait par ici dans le Temple afin de pouvoir s’y entraîner.
    « Oh Rem ! Merci de m’avoir montrer un jour ce couloir ! »

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    Maître de Unduli et de Carth
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    Ce message a été modifié par: Padme111 le 19-02-2007 20:22

    lundi 19 février 2007 - 20:20 Modification Admin Permalien

  • Avatar clickman

    clickman

    4417 Crédits

    J’étais à l’infirmerie, soignant quelques bobos de padawan ou faisant des examens divers quand nous ressentîmes tous cet évènement.

    Douleur, mort violente, peine, … Quelque chose de grave venait de se produire. Je fonce vers la salle du conseil encore en travaux, confiant l’infirmerie à un jeune guérisseur, et perçoit que Kaarde est dans son bureau avec Mirax. Je rentre en m’excusant, et voit les images.

    Un vaisseau sur le sénat.

    Un vaisseau que je reconnais.

    Le vaisseau ou Mirax était enfermée. Le vaisseau amiral de Maléfique.

    Moi : C’est…
    Kaarde : Une catastrophe, oui.
    Moi : Non, je veux dire… C’est le vaisseau amiral de Maléfique.
    Kaarde : Quoi ?
    Moi : Oui, c’est dans ce vaisseau que tu étais enfermée, Maman.
    Kaarde : Je vois.
    Mirax : Kaarde, il faut…
    Kaarde : Mirax, Tu connais le risque…

    Mon comlink bippe, Fréquence Nema. Obitom.

    Je m’isole dans un coin, laissant Kaarde et Mirax débattre.

    Obitom : C’est une catastrophe ici ! Un vaisseau est tombé sur le sénat. De nombreux sénateurs sont portés disparus. Des milliers de blessés.
    Moi : C’est un vaisseau Sith ca !
    Obitom : Ca confirme l’impression que j’ai eue. Une présence obscure dans les environs. Et celle de Pad aussi.
    Moi : Pad est sur Coruscant ?
    Obitom : Il semblerait. Envoyez du monde rapidement !
    Moi : Je fonce ! Il y a quelques Jedi dans le coin. Fait appel à eux, déjà. Je te retrouve là-bas.

    Je transmets les informations sur les Jedi présent sur place – pour lesquels nous étions au courant, au moins. Puis je coupe le comlink. Je retourne vers Kaarde.

    Moi : Désolé. Des nouvelles de Coruscant justement. Les nouvelles sont graves.
    Kaarde : Je m’en doute.
    Moi : Demande permission de prendre une équipe pour aller à l’aide de la Capitale.
    Kaarde : Accordé. Fait vite.
    Moi : Kaarde… J’aurais besoin de Mirax. Ses talents nous serons précieux. Je sais quel est le risque. J’en suis plus que conscient. Mais elle reste une Jedi et la meilleure guérisseuse que nous ayons. Je prendrais des mesures pour éviter tout… débordement, je te le promets.

    Mirax me regarde, se demandant ce que j’ai en tête…
    Kaarde réfléchit à ma demande…

    lundi 19 février 2007 - 22:21 Modification Admin Permalien

  • Avatar Jorus-Beku-n

    Jorus-Beku-n

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    J’étais plongé dans un sommeil réparateur lorsqu’une présence se signala au travers de la force. Gardant les yeux fermés, je reconnus Kiad, un Jedi que je connaissais peu mais dont la disparition récente avait beaucoup inquiété. Lumi dut ressentir aussi cette présence car elle se réveilla, puis reconnaissant son ami, elle se jeta dans ses bras, rassurée de le voir à nouveau en vie. Puis les 2 jeunes Jedi se racontèrent leurs péripéties respectives. C’était le petit matin et nous devions reprendre nos investigations. En arrivant vers nos vaisseaux, je reçus divers messages de Pad111 sur la fréquence Nema. Elle était sur Coruscant. Alors que je méditais sur la situation, un message urgent du conseil arrivant sur la console de l’Aîle-B. C’était un message prioritaire de Kaarde : nous apprîmes qu’un attentat avait eu lieu sur Coruscant

    Kaarde : « Message à tous les Jedi… Un attentat vient d’avoir lieu sur Coruscant. Le vaisseau Amiral de Dark Maléfica s’est jeté sur le Sénat Galactique… »

    J’écoutai à peine le reste du message, le fait que plusieurs maîtres et Chevaliers se rendaient sur la capitale... Quelle catastrophe, cela dépassait l’entendement. Mais pourquoi ? Et qui manoeuvrait ?

    Unduli : J’espère que mon Maître n’a rien eu. Nous devons aller là-bas.
    Jorus : Pas encore, le conseil nous a confié une mission et Kaarde ne l’a pas annulé. Nous devons démasque ce Seigneur Sith
    Unduli : Comment veux-tu faire, nous n’avons aucun indice
    Jorus : Si le gouvernement de Kuat est tombé sous sa coupe, les dirigeants doivent avoir beaucoup d’informations à fournir. Peut-être même ont-ils vu directement notre nouvel ennemi
    Unduli : Si je te comprends bien, tu suggères d’interroger les membres du gouvernement de Kuat !
    Jorus : Exactement !
    Unduli : Ils ne se laisseront pas atteindre facilement
    Jorus : Mais nous avons une occasion en or de connaître l’identité du Seigneur Sith qui sème la terreur et la mort dans la galaxie. Et maintenant, nous sommes trois, si Kiad veut bien nous accompagner
    Kiad : Et comment

    A bord de nos 2 vaisseaux, nous prîmes la direction du siège du gouvernement de Kuat…

    mardi 20 février 2007 - 13:35 Modification Admin Permalien

  • PSW
  • Avatar Padme111

    Padme111

    27173 Crédits

    Je travers le couloir en posant mes mains contre les murs. Ayant été aveugle et connaissant ces lieux, je parviens à retrouver mon chemin et à me servir de ces coursives comme raccourcis. De nombreux souvenirs m’envahissent et le contact sous mes doigts active le pouvoir du pressentiment . Des voies du passé, des cris de joie ou de douleur, l’incrédulité devant ces lieux qui s’embrasent… Autant de souvenirs qui recèle dans ses murs, autant de cicatrice de se réveille en moi.

    Enfin, j’arrive devant ce qui fut une porte. J’active mon sabre et la déverrouille avec le plus grand soin. Je l’ouvre, la clarté de l’extérieur, la fumée de l’incendie qui n’est pas encore maîtrisé et un gigantesque brasier m’éblouissent pendant quelques secondes. J’étais arrivé exactement où je le voulais… face à ce qui reste du Sénat ! Je referme la porte, la scelle de mon sabre que je replace à ma ceinture une fois terminer. J’avance vers le désastre, comme hypnotisée par les flammes. J’avance sans aucun service de sécurité ne m’en empêche pour la simple et bonne raison que personne n’aurait pu ce trouver là !

    ? – Vous ! Que faites vous… non, c’est pas important. Quitter les lieux, c’est dangereux ici !
    Moi – Qui êtes vous ?
    ? – Je suis le responsable des pompiers ! Et je vous ordonne de quitter les lieux au plus vite !
    Moi – Je suis Maître Jedi et vous avez besoin de moi. Je peux contenir l’incendie en un seul endroit. A vous de me dire où ?

    L’homme me regarde de la tête au pied. Il était très très difficile d’accorder de la crédibilité à mes paroles vue mon état physique déplorable. Je sentais les égouts, mes vêtements déchiré et sale, les cheveux en bataille et mon visage devait refléter la fatigue.

    Le responsable – Vous ? Une Jedi ? Quittez les lieux petits.
    ? – Faites-lui confiance ! Elle sort p’être des égouts, mais elle peut faire ce qu’elle vient de vous dire.
    Le responsable – Chevalier Nabery ? Heureux que vous ayez pu répondre à mon appel. Mais euh… vous connaissez vraiment cette femme ?

    Le Jedi était arrivé sans que je ne l’aie senti. Probablement étais-je trop concentré sur le brasier. Sans le quitter des yeux, j’avais reconnu sa voie. Et ensemble nous répondîmes au responsable :

    Lui et moi – Oui ! Nous nous connaissons !
    Le responsable septique – Bon, elle est sous votre responsabilité.
    Moi jetant un oeil sur mon frère – Contente que tu sois là Obitom ! (Regardant le responsable des pompiers) Où dois-je concentrer ces flammes ?
    Le responsable encore hésitant – Et bien… Là, le plus prés des pompes à eau.
    Obitom inquiet – Je t’ai connu dans de meilleur condition soeurette ! Es-tu certaine que ton état te permettra de…
    Moi – Si tu me sens faiblir tu n’auras qu’à te joindre à moi. Mais je devrais parvenir à concentrer l’incendie en un seul point. Diminuer son intensité ne devrait pas me poser de problème. Mais le contenir jusqu’à ce que les pompiers l’aient maîtrisé, ne sera pas évident.

    J’étais heureuse de revoir mon frère, pourtant, j’aurai franchement aimé le revoir dans d’autre circonstance. Pas le temps pour des longs discours, je mets mon plan à exécution !
    Je ferme les yeux et me concentre dans la Force. Le Feu ! Matière en combustion ; Dégagement simultané de chaleur, de lumière et de flamme produit par la combustion vive de certains corps tel que le bois, les tapisseries, les sièges moelleux, les décorations rustiques, les tissus, les corps d’êtres vivants,… Voilà la seule définition du Feu qui se dresse devant moi ! Je peux le ressentir dans tout mon être et pour la première fois depuis que je maîtrise cet élément, je ressens la peur d’être brûlé !

    Obitom – Pad ? Est-ce que ça va ? Tu sembles incertaine.
    Moi – Ca va, frérot. J’ai besoin de plus de temps pour me concentrée.

    J’ignore les protestations du responsable des pompiers. Je savais très bien que chaque minute était précieuse ! Je plonge plus profondément dans la Force et essaye d’ignorer ma peur. Les flammes se dirigent lentement vers un seul point. Il me faut diminué son intensité, mais le brasier semble vouloir me résister, il devient plus fort, je recule d’un pas. Je sens la main d’Obitom se poser sur moi, sa Force s’allie à la mienne et les efforts conjuguaient entre mon frère, les pompiers et moi finissons par donner le résultat voulu. L’incendie diminue, mais avant qu’il ne soit complètement maîtrisé, je m’effondre par terre. Je tremble de froid ou de peur, difficile à dire.

    Obitom – Pad ! Pad !

    Il ordonne au service de secours de venir. Il m’enveloppe dans une couverture et veut m’emmener dans à l’hôpital. Je laisse la Force sonder mes plaies, mais ce n’est rien qu’un excès de fatigue. J’ouvre les yeux. Je suis sur une civière, on me transporte vers une ambulance, mon frère à mes côtés. Je lui prends la main.

    Moi – Non, Obitom. Non, laisse moi et vas ! Vas les sauvés ! Occupe toi des survivants.

    Il se contente de me sourire puis s’arrête pendant que les infirmiers mon font monter dans l’ambulance. Soudain, avant que les portes du véhicule ne se referme, je ressens le côté obscur et là-bas sur l’horizon, là-bas à la limite de ma vue, sur le toit d’autre bâtiment, une ombre se tient debout, nappé dans une grande cape noir, regardant dans ma direction ou celle du sénat, je n’aurais pu le dire.

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    Ce message a été modifié par: Padme111 le 20-02-2007 18:49

    mardi 20 février 2007 - 18:47 Modification Admin Permalien

  • Avatar Kaarde

    Kaarde

    17436 Crédits Modo

    ;) Quel que soit ce nouvel ennemi il avait réussi à renverser Dark Maléfica, s'emparer de sa flotte et détruire le Sénat en très, très peu de temps. Nous assistions impuissants à une terrible démonstration de force.

    Click : - Kaarde... ?

    Moi : - Allez-y tous les deux, emmenez autant de Jedi dont vous aurez besoin.

    Mirax : - Je peux donc y aller ?

    Moi : - Oui, comme Click l'a dit, tes dons de guérisseuse vont s'avérer indispensable là-bas. Et puis... si Baaaaaaal est à ta recherche il viendra certainement au Temple. En t'éloignant d'Ossus tu seras certainement plus en sécurité. Click, combien de Jedi sont déjà sur les lieux ?

    Click : - Il y a normalement Obitom ainsi que les trois Jedi du Bureau Local. Mais les Jedi en mission sur Coruscant ne doivent pas manquer, c'est le cas de Pad...

    Comment, Pad est sur Coruscant ?

    Click : - ... ils doivent déjà tous être sur les lieux du sinistre, il faut nous dépêcher !

    Moi : - Oui, allez vite les rejoindre. Mirax, si Edoras cherche à te rencontrer je lui dirai où te trouver. Que la Force soit avec vous !

    Click et Mirax se hâtèrent aussitôt vers leur mission urgente. De mon côté j'essayai de communiquer avec Pad par comlink. N'obtenant pas de réponse je contactai alors Obitom.

    Moi : - Hello, Nouchi, désolé de te déranger. Tu dois sûrement être très occupé, là, mais as-tu des nouvelles de notre soeur ?

    Obitom : - Oui, elle est sur Coruscant avec moi sur les lieux de... ben, tu sais. Elle vient de nous aider à maîtriser un incendie. Son aide a été précieuse mais elle a tout donné et a perdu ses forces. Elle est allongée inconsciente sur un lit d'hôpital près de moi. Tu veux que je lui transmette un message quand elle se réveillera ?

    Moi : - Non, embrasse-la de ma part. Merci, que la Force soit avec toi, les renforts te rejoignent bientôt.

    Je me rappelais alors du dernier message de Pad, quand j'avais reçu de ses nouvelle pour la dernière fois. Elle avait dit devoir partir précipitament sur Melida/Daan après avoir été contactée par JB. Je me souvenais d'une partie en particulier.
    « ... J’ignore si j’aurais la possibilité de revenir, mais je mettrai tout en œuvre pour vous faire parvenir de l’aide dès que je le pourrai.
    Merci pour tous, Ainsi va la vie, ainsi va la Force ! »
    Et elle avait tenu parole, elle étais en ce moment sur Coruscant, là et quand on avait justement le plus besoin d'elle !
    Quant à moi... le devoir me forçait à rester sur Ossus alors que je voulais tellement agir, mettre mes pouvoirs au service de la Force. Mais avec la menace Sith actuelle, que pouvais-je faire d'autre ? Pourtant certaines missions me tenaient à coeur.
    Quand toute cette histoire sera finie et le successeur de Maléfica arrêté, je partirai enfin à la recherche de Tyria...

    -------------------------------------
    Kaarde, maître de JoranCorv
    Frère d'Obitom0, Macematu et Padmé111
    FF Powaaa

    Ce message a été modifié par: Kaarde le 20-02-2007 23:51

    mardi 20 février 2007 - 23:47 Modification Admin Permalien

  • Avatar Tyria

    Tyria

    8000 Crédits

    Je repassais en boucle les images qui étaient passées sur l’holonet. J’avais besoin de les voir et de les revoir. Une partie de moi ne croyait toujours pas que je l’avais fait. Une partie de moi ne voulait pas admettre que je l’avais fait. Je le regrettais amèrement. Je regrettais aussi ma vie de Jedi. Une autre partie de moi savait aussi que je devais aussi me débarrasser de mes regrets avant que ceux-ci ne viennent me perdre.
    Je soupirais et me frottais les yeux. Mon plan était loin d’être fini. Je pourrais avoir tous les regrets que je voudrais quand tout serai fini. Il était temps de passer à une nouvelle étape. Je m’étais changée et je profitais du fait que je n’avais pas dormi depuis de trop nombreuses d’heures pour en ajouter à mon personnage. L’air parfait du petit Jedi tout honteux de son départ. J’en serais presque trop crédible. J’utilisais la Force pour me réveiller un peu.
    Je branchais l’Holocom.

    Moi : Ici, Tyria Sarkin. Ancienne Maître Jedi. Je souhaite parler au Maître Kaarde Naberry. J’ai des informations qui concerne le successeur de Maléfica.

    mercredi 21 février 2007 - 00:22 Modification Admin Permalien

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    Padme111

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    Rien qu’à l’odeur, j’étais certaine d’être dans un hôpital. Une frustration mélangé à de la peur essaye de m’envahir, mais je parviens à maîtriser mes sentiment. Lentement, j’ouvre les yeux et voulu m’assoire, mais une mains me retient.

    Obitom – Hé ! Pas si vite grande sœur !
    Moi – Obitom !? Mais… Je t’avais dit de rester…
    Obitom – Jusqu’à ce que l’incendie soit maîtrisé. Il a flambé encore 2H mais les pompiers l’on enfin éteint. Sans toi, j’ignore s’ils y seraient parvenus.
    Moi – Arrête de me flatter Nouchi ! J’ai p’être aider un peu, mais j’aurai du rester là jusqu’à la fin de l’incendie ! J’aurai pu le faire avant… Je n’ai pas été à la hauteur.
    Obitom – Pad, tu as vu la taille de ce brasier ? Je trouve que tu t’en tires à bon compte vu ton état. Et puis avant quoi ? Hein ?
    Moi – Avant Ossus, avant… (Des brides de souvenir me revenaient enfin) Avant le brasier de la Tarentule. Et en ce qui concerne mon état ! Parons-en. Puis-je sortir de l’hôpital !? J’étais épuisé, mais j’ai récupéré. Tu le voies bien, non ?
    Obitom – C’est au médecin à te répondre. Tu parles de l’attaque ou tu as encore joué avec le feu ? C’est pas t’as spécialité ? Kaarde a sonné, il s’inquiète pour toi et il nous envoie du renfort.

    Je n’avais nullement l’intention de lui répondre au sujet de mes souvenirs. Ils revenaient peu à peu et dans le désordre. La frustration se fit sentir un peu plus, mon frère me regarde interrogateur, il avait du sentir que je lui cachais quelque chose.

    Moi – Bonne nouvelle. Qui compose l’équipe ?
    Obitom – Il ne l’a pas dit, pourquoi ? C’est important ?
    Moi – Non, pas vraiment. Mais tu devrais demander au médecin de venir et toi, vas accueillir les nôtres.
    Obitom après une hésitation – Ok, je vais faire tout ce que tu demandes. Mais… J’ai reçu ton message, il m’a inquiété. Pad, tu as besoin de te confier, je suis là. Tu n’as rien à prouver à personne.
    Moi – Sauf à moi. Vas maintenant.

    Il hésita, mais fini par partir. Je me lève et constate que vus le nombre de blesser, seule ma bure m’avait été retirée. Elle n’était nulle part, probablement qu’ils ont jugés qu’elle n’était plus qu’une loque. Je réajuste ma tunique et plonge ma main dans la poche intérieure. La petite boîte noire et là où je l’avais laissée. Le souvenir de ma vision me revient alors :

    Vision*:
    Un rideau de Feu ! Des flammes, un incendie ! Je peux le contempler mais du haut, je suis dans un jet… non, je suis dans le Phoenix d’Or, mon jet. Je survole l’incendie. Les Flammes m’empêche de voir le paysage, je suis figé devant le spectacle. Mais pire que tout, je ressens au fond de moins, de la peur, de la souffrance, je suis en larmes. De la Colère, de la rage… de la Haine ?

    ? – Vous devriez rester couché…

    Je me retourne arracher de mes pensées et replace la boîte dans ma poche sans qu’il ne l’aperçoive.

    Moi – Je vais beaucoup mieux docteur. Je suis Jedi et ma transe curative à porter ses fruits. Je sors d’ici.
    Docteur – Mais…
    Moi – Vous êtes débordé de travaille. Je suis en état de quitter l’hôpital !
    Docteur – Je suis débordé de travaille. Vous êtes en état de quitter l’hôpital.

    Sans demander mon reste, je quitte me chambre. Joue à cache cache avec Obitom, jusqu’à ce que je trouve enfin la sortie.



    -------------------------------------
    Maître de Unduli et de Carth
    Les Jedi ont perdu tout sens de l'humour! Pas moi, MDR

    Ce message a été modifié par: Padme111 le 22-02-2007 16:36

    mercredi 21 février 2007 - 08:36 Modification Admin Permalien

  • Avatar Jorus-Beku-n

    Jorus-Beku-n

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    Lumi avait repris place avec moi à bord de l’Aîle-B tandis que Kiad se maintenait dans notre sillage. Nous avions pris la direction du siège gouvernemental.

    Jorus : Kiad, nous allons abaisser les boucliers du vaisseau, comme signe de paix et de non agressivité
    Kiad : Mais nous allons être sans défense
    Jorus : Reste dans nos 6 heures et sois vigilant, fais appel à la Force

    Nous fîmes appel à notre sens du danger pour prévenir un mauvais coup et effectivement, l’orbite basse de nos 2 vaisseaux fut vite repérée par le contrôle aérien de Kuat

    Contrôle aérien : Vaisseaux inconnus, vous êtes en infraction avec le code aérien de Kuat, veuillez regagner l’orbite
    Jorus : Je suis le Chevalier Jedi Jorus Beku’n, je suis envoyé en mission diplomatique par le conseil des Jedi

    Un groupe de 4 chasseurs fonça sur nous et se plaça dans notre sillage

    Jorus : Contrôle aérien, nos boucliers sont abaissés comme le veulent les accords galactiques en matière de diplomatie
    Contrôle aérien : Aucune mission diplomatique n’est annoncée
    Jorus : Votre gouvernement vient de changer son statut par rapport à la république. Les Jedi respectent n’interviennent pas dans vos décisions, mais notre caste est aussi indépendante de la République. C’est pour cela que nous sollicitons un entretien avec vos dirigeants pour discuter de nos relations futures

    Après un long silence, les chasseurs quittèrent notre sillage et se portèrent à nos côtés comme escorte. Le contrôle aérien nous informa que notre requête avait été prise en compte et nous fûmes conduit à un astroport de la capitale. Une solide escorte nous attendait et nous fûmes conduit dans le palais gouvernemental. Nous marchions dans d’immenses couloirs…

    Kiad : Tout cela me paraît trop facile
    Unduli : Pourtant je ne ressens pas de danger
    Jorus : Restons sur nos gardes. Si le côté obscur contrôle désormais le gouvernement de Kuat, il est à même de perturber notre jugement. N’oubliez pas. Nous sommes là pour découvrir qui est le nouveau Seigneur Sith.
    Unduli : Donc pas de grabuge !
    Kiad : Dis-tu cela pour moi ? J’attendrai jusqu’au moment où nous devrons fuir !

    J’appréciais la décontraction apparente de mes compagnons car je savais qu’ils étaient concentrés dans l’instant présent, ouverts à la Force...


    mercredi 21 février 2007 - 12:06 Modification Admin Permalien

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